Tabligbo, 3 juil. (ATOP) – L’ONG « Adventist Aid and Development » (ADRA) dans le première étape de réalisation de son projet hydraulique dans la préfecture, a remis provisoirement le mardi 24 juin, respectivement aux villages de Esse-Nadjè, Sigakopé, Tchèkpo Dévé, Tétékpo-Kopé et Essè-Zogbédji, quatre forages d’eau potable et un mini réseau d’adduction d’eau dans le cadre de son projet d’hydraulique dans la préfecture.
La cérémonie qui s’est déroulée à la place publique du village de Essè-Nadjè, a regroupé les chefs et les populations des villages bénéficiaires en présence du secrétaire général de la préfecture, M. Kugnido Ablam.
En remettant les clés des ouvrages au secrétaire général de la préfecture, le représentant de ADRA-Togo, M. Kwosi Gameti, a rappelé à l’assistance, les défis majeurs qui ont motivé ces réalisations. Ceux-ci s’appuient sur l’identification des problèmes de chaque milieu, problèmes liés aux maladies courantes qui nuisent à la productivité des populations.
D’un coût total de 55 millions de francs CFA, la réalisation de ces ouvrages a été entièrement financée par ADRA Royaume-Uni. Ceci, a-t-il dit, est un projet pilote qui donne l’opportunité de réaliser prochainement ces ouvrages dans quatre autres villages dans le Yoto et le Zio.
Avant l’exécution du projet des formations dans le domaine de l’hygiène, ont été données aux chefs des villages, aux membres des CVD, au comité d’eau, de santé des femmes et à celui des filles pour la bonne gestion de l’eau et des forages.
Le directeur de l’entreprise « Triple Bottom lines ressources » (TBL), M. Apénouvor Ayawo, maître d’œuvre du projet, a informé les populations de la capacité des débits de chaque forage et leur a expliqué comment l’utiliser afin de sauvegarder le mécanisme. Il leur a en outre demandé de signaler les problèmes éventuels qui pourront subvenir au cours de leur utilisation pour des interventions ponctuelles durant une période d’un an.
Le secrétaire général de la préfecture a remercié ADRA-Togo et son partenaire ADRA-Royaume-Uni pour avoir trouvé une solution au problème d’eau potable dans ces milieux. Il a précisé que ces ouvrages viennent en appui au programme du gouvernement visant à approvisionner les milieux ruraux en eau potable afin de réduire au maximum les maladies hydriques. Il a émis le vœu de voir ce projet atteindre les autres villages pour le bien-être de tous.
C’était en présence du coordinateur du projet, M. Sodahlon Vincent et des responsables de ADRA-Togo. ATOP/AZ/AYH/MD
jeudi 3 juillet 2008
L’AST A RENOUVELE LES MEMBRES DE SES INSTANCES DIRIGEANTES
Kara, 3 juil. (ATOP) – L’Association Scoute du Togo (AST) a tenu du 27 au 29 juin à Kara, sa sixième assemblée générale ordinaire placée sous le thème « Ensemble pour une bonne gouvernance dans le scoutisme ».
La rencontre a abouti au renouvellement des membres des instances dirigeantes de l’AST. Aussi, le bureau national de l’AST a-t-il à sa tête comme commissaire général des scouts du Togo, M. Ayim Palamwè, reconduit dans ses fonctions. Deux membres du commissariat aux comptes de l’association ont également été élus.
Outre le renouvellement des membres des différentes instances, les deux cents participants ont suivi un exposé-débat sur la notion de la bonne gouvernance. Ils ont aussi analysé et adopté les rapports moral et financier du mandat écoulé avant de reboiser la cour de l’EPP de Tchintchinda dans la banlieue-Est de la ville de Kara.
Avant les travaux, les participants ont salué la mémoire de feu président Eyadèma qui a fait reconnaître la structure togolaise en juillet 1977 par le bureau mondial du scoutisme. La même attention a été observée pour le frère marianiste Katin du collège Charminade-Kara, et pour les nombreux prêtres et religieuses, pasteurs évangéliques, et des personnes physiques de bonnes volontés qui ont l’esprit de l’action communautaire, le désir de servir Dieu et de se rendre utile à la société par le mouvement scout.
Des partenaires de l’AST ainsi que des délégations étrangères d’associations scoutes d’Afrique et d’Europe, le président du Comité Africain du Scoutisme, l’ivoirien Marcel Ledjou Blaguet et le représentant de la Belgique, M. Schiltz Jean-Marie ont pris part aux travaux de Kara.
A l’ouverture des assises, le secrétaire général de la préfecture de la Kozah, M. Palanga Kolu-Edjowou a félicité les responsables de l’AST pour la forte mobilisation des membres et pour la pertinence du thème choisi. Il a émis le vœu que jaillissent des idées constructives au terme de la rencontre pour un meilleur devenir de l’Association Scoute du Togo.
Le commissaire général des scouts du Togo a, pour sa part, souligné que son institution entend par le thème de cette session, répondre aux exigences de l’heure et de la nouvelle politique des autorités togolaises. Aussi, a-t-il convié ses camarades à traduire dans la réalité leur promesse de 2007 qui est de créer un monde meilleur sans guerre, dans une culture de paix et d’acceptation des autres. ATOP/PKI/KEK/MD
La rencontre a abouti au renouvellement des membres des instances dirigeantes de l’AST. Aussi, le bureau national de l’AST a-t-il à sa tête comme commissaire général des scouts du Togo, M. Ayim Palamwè, reconduit dans ses fonctions. Deux membres du commissariat aux comptes de l’association ont également été élus.
Outre le renouvellement des membres des différentes instances, les deux cents participants ont suivi un exposé-débat sur la notion de la bonne gouvernance. Ils ont aussi analysé et adopté les rapports moral et financier du mandat écoulé avant de reboiser la cour de l’EPP de Tchintchinda dans la banlieue-Est de la ville de Kara.
Avant les travaux, les participants ont salué la mémoire de feu président Eyadèma qui a fait reconnaître la structure togolaise en juillet 1977 par le bureau mondial du scoutisme. La même attention a été observée pour le frère marianiste Katin du collège Charminade-Kara, et pour les nombreux prêtres et religieuses, pasteurs évangéliques, et des personnes physiques de bonnes volontés qui ont l’esprit de l’action communautaire, le désir de servir Dieu et de se rendre utile à la société par le mouvement scout.
Des partenaires de l’AST ainsi que des délégations étrangères d’associations scoutes d’Afrique et d’Europe, le président du Comité Africain du Scoutisme, l’ivoirien Marcel Ledjou Blaguet et le représentant de la Belgique, M. Schiltz Jean-Marie ont pris part aux travaux de Kara.
A l’ouverture des assises, le secrétaire général de la préfecture de la Kozah, M. Palanga Kolu-Edjowou a félicité les responsables de l’AST pour la forte mobilisation des membres et pour la pertinence du thème choisi. Il a émis le vœu que jaillissent des idées constructives au terme de la rencontre pour un meilleur devenir de l’Association Scoute du Togo.
Le commissaire général des scouts du Togo a, pour sa part, souligné que son institution entend par le thème de cette session, répondre aux exigences de l’heure et de la nouvelle politique des autorités togolaises. Aussi, a-t-il convié ses camarades à traduire dans la réalité leur promesse de 2007 qui est de créer un monde meilleur sans guerre, dans une culture de paix et d’acceptation des autres. ATOP/PKI/KEK/MD
DES MANIFESTATIONS SPORTIVES, CULTURELLES ET SOCIALES ONT MARQUE L’EVENEMENT A SOKODE
Sokodé, 3 juil. (ATOP)- La direction de l’Action sociale, de la Promotion de la Femme, de la Protection de l’Enfant et des Personnes âgées de la région centrale a organisé du 27 au 30 juin dans la préfecture de Tchaoudjo, une série de manifestations sportives, culturelles dans le cadre de la célébration le 16 juin de la journée de l’enfant africain.
Il s’agit des émissions radiophoniques synchronisées sur les radios locales, un gala de football, une opération de salubrité et une conférence débat sur le thème de la journée « Droit à la participation, que les enfants soient vus et entendus ».
Développant ce thème, la coordinatrice de la participation et la Protection des droits de l’Enfant de Plan Togo section de Sokodé, Mme Tchapide-Traoré Mola, a invité l’assistance à œuvrer quotidiennement pour la sauvegarde des idéaux de la dignité de cette couche vulnérable que constitue les enfants. Elle a insisté pour que la protection, la participation et le développement de chaque enfant soient assurés.
Plusieurs sous-thèmes relatifs à l’historique de la journée et au droit à la participation ont également meublé la conférence.
Pour le directeur régional de l’Action Sociale, de la Protection de la Femme, de la Protection de l’Enfant et des Personnes âgées, M. Batchabani Kossi le respect de l’opinion, la liberté d’association et de prise de décision de l’enfant doivent être observés afin de susciter sa participation à la vie sociale. ATOP/MK/TD/GL-------------
Il s’agit des émissions radiophoniques synchronisées sur les radios locales, un gala de football, une opération de salubrité et une conférence débat sur le thème de la journée « Droit à la participation, que les enfants soient vus et entendus ».
Développant ce thème, la coordinatrice de la participation et la Protection des droits de l’Enfant de Plan Togo section de Sokodé, Mme Tchapide-Traoré Mola, a invité l’assistance à œuvrer quotidiennement pour la sauvegarde des idéaux de la dignité de cette couche vulnérable que constitue les enfants. Elle a insisté pour que la protection, la participation et le développement de chaque enfant soient assurés.
Plusieurs sous-thèmes relatifs à l’historique de la journée et au droit à la participation ont également meublé la conférence.
Pour le directeur régional de l’Action Sociale, de la Protection de la Femme, de la Protection de l’Enfant et des Personnes âgées, M. Batchabani Kossi le respect de l’opinion, la liberté d’association et de prise de décision de l’enfant doivent être observés afin de susciter sa participation à la vie sociale. ATOP/MK/TD/GL-------------
LES CLUBS DES ENFANTS DE SOKODE ONT PRODUIT ET ANIME L’EMISSION « DEVIWO BE RADIO »
Sokodé, 3 juil. (ATOP) – Les clubs des enfants de la ville de Sokodé ont, dans le cadre de la journée de l’enfant africain célébrée le 16 juin de chaque année, produit et animé en direct le vendredi 27 juin dans le studio de la « Radio venus », une radio privée de la place, l’émission « Déviwo bé radio » sur le thème droit à la participation : que les enfants soient vus et entendus.
Organisée par l’ONG Plan Togo en collaboration avec la direction régionale de l’Action sociale, l’ONG Programme d’Appui à la Femme et l’Enfance déshérité (PAFED), cette manifestation selon les organisateurs vise à promouvoir les droits des enfants et leur prise de décisions.
L’émission a été présentée par le duo Ouro Sama Chami et Djéri Fati qui faisaient office d’animateurs principaux d’antenne. Ceux-ci ont mené le débat sous forme de questions réponses autour du thème sus mentionné.
Les responsables de plan Togo, de PAFED, de la direction régionale de l’Action sociale et les représentants des chefs traditionnels, des associations féminines et les autorités religieuses ont répondu aux questions posées par des enfants sur les raisons de la célébration de cette journée de l’enfant africain, sur le choix du thème, le droit à la participation de l’enfant, les causes de la non participation et ses conséquences, la place de l’enfant dans la société.
Les enfants ont aussi promis accomplir avec dévouement leurs devoirs envers leurs parents pour mériter leur confiance.
Auparavant, la coordinatrice de la Participation et la Protection des Droits de l’Enfant à Plan Togo de Sokodé, Mme Tchapidé-Traoré Mola, avait situé le contexte de cette journée en retraçant les événements survenus ce 16 juin 1976 à Soweto en Afrique du Sud. Elle est revenue sur les faits qui ont engendré le massacre par les forces de l’ordre des élèves qui manifestaient pacifiquement en faveur de leur éducation en anglais au lieu de l’afrikaner comme le voulaient les autorités de l’apartheid. ATOP/ATC/AYH/GL
Organisée par l’ONG Plan Togo en collaboration avec la direction régionale de l’Action sociale, l’ONG Programme d’Appui à la Femme et l’Enfance déshérité (PAFED), cette manifestation selon les organisateurs vise à promouvoir les droits des enfants et leur prise de décisions.
L’émission a été présentée par le duo Ouro Sama Chami et Djéri Fati qui faisaient office d’animateurs principaux d’antenne. Ceux-ci ont mené le débat sous forme de questions réponses autour du thème sus mentionné.
Les responsables de plan Togo, de PAFED, de la direction régionale de l’Action sociale et les représentants des chefs traditionnels, des associations féminines et les autorités religieuses ont répondu aux questions posées par des enfants sur les raisons de la célébration de cette journée de l’enfant africain, sur le choix du thème, le droit à la participation de l’enfant, les causes de la non participation et ses conséquences, la place de l’enfant dans la société.
Les enfants ont aussi promis accomplir avec dévouement leurs devoirs envers leurs parents pour mériter leur confiance.
Auparavant, la coordinatrice de la Participation et la Protection des Droits de l’Enfant à Plan Togo de Sokodé, Mme Tchapidé-Traoré Mola, avait situé le contexte de cette journée en retraçant les événements survenus ce 16 juin 1976 à Soweto en Afrique du Sud. Elle est revenue sur les faits qui ont engendré le massacre par les forces de l’ordre des élèves qui manifestaient pacifiquement en faveur de leur éducation en anglais au lieu de l’afrikaner comme le voulaient les autorités de l’apartheid. ATOP/ATC/AYH/GL
DES CHEFS DE CANTONS DE LA PREFECTURE INSTRUITS
Kpalimé, 3 juil. (ATOP) – Une réunion a regroupé le mardi 1er juillet, autour du préfet de Kloto, M. Lémou Pilakani en même temps président de la commission locale de délivrance de certificat d’origine et d’établissement de certificat de nationalité togolaise, les chefs cantons de la préfecture.
Il s’agit d’expliquer aux chefs cantons, qui à leur tour en feront une plus large diffusion, de la nouvelle procédure d’établissement du certificat de nationalité togolaise et les exigences qui s’y attachent.
Pour le président de la commission, l’obtention du certificat de nationalité togolaise est un droit du citoyen ; mais doit respecter les lois de la république. Pour lui, il n’est plus question de passer par des intermédiaires mais de s’adresser directement à la commission.
Après lecture et explication article par article de l’arrêté interministériel portant création d’une commission d’établissement des certificats d’origine et d’étude des dossiers de certificat de nationalité par le procureur de la république près le tribunal de Kpalimé, Me Talaka Mawama, l’assistance a posé des questions de compréhension dont l’éclaircissement a satisfait les uns et les autres. ATOP/AKM/MEK/GL
Il s’agit d’expliquer aux chefs cantons, qui à leur tour en feront une plus large diffusion, de la nouvelle procédure d’établissement du certificat de nationalité togolaise et les exigences qui s’y attachent.
Pour le président de la commission, l’obtention du certificat de nationalité togolaise est un droit du citoyen ; mais doit respecter les lois de la république. Pour lui, il n’est plus question de passer par des intermédiaires mais de s’adresser directement à la commission.
Après lecture et explication article par article de l’arrêté interministériel portant création d’une commission d’établissement des certificats d’origine et d’étude des dossiers de certificat de nationalité par le procureur de la république près le tribunal de Kpalimé, Me Talaka Mawama, l’assistance a posé des questions de compréhension dont l’éclaircissement a satisfait les uns et les autres. ATOP/AKM/MEK/GL
L’AJAAH MOBILISE DES ASSOCIATIONS ET ORGANISE UNE MARCHE A AGBODRAFO
Aného, 3 juil. (ATOP) – L’Association des Jeunes pour Assistance et Actions Humanitaires (AJAAH), en collaboration avec la fondation King Mensah, a organisé, le mercredi 2 juillet à Agbodrafo, à une vingtaine de km à l’ouest d’Aného, une marche contre toutes les formes d’atteinte aux droits de l’enfant, dans le cadre de la journée de l’Enfant africain, célébrée le 16 juin de chaque année.
Par cette marche, les organisateurs entendent confirmer leur engagement aux côtés du gouvernement, des partenaires en développement et des autres associations de la société civile dans le combat pour les droits des enfants et réfléchir ensemble pour l’harmonisation d’une stratégie commune dans la sauvegarde de l’avenir des enfants, relève de demain.
Outre la marche des enfants venus de Lomé et d’Agbodrafo, jusqu’au siège de la Fondation King Mensah, la célébration a été marquée par la réclamation des enfants sur la protection de leurs droits, l’information sur le document de plaidoyer pour un apprentissage à visage humain au Togo de l’ONG « Solidarité et Action pour le Développement Durable » (SADD) et un pique-nique.
Les enfants ont à cette occasion, condamné la misère, la maltraitance, l’exploitation, le viol et les tortures diverses qui leur sont infligés par les adultes. Ils souhaitent l’établissement systématique des certificats de naissance, leur visibilité en tant que personne humaine, la gratuité de l’école surtout au primaire ; la vulgarisation du code de l’enfant et d’autres mesures visant à lutter efficacement contre toute violation de leurs droits.
L’animateur à l’ONG SADD, M. Firmin Apédo, a dénoncé les conditions difficiles d’apprentissage au Togo, notamment les longues heures de travail, les sévices corporels, les travaux domestiques et champêtres pour les patrons d’atelier, les conditions d’hygiène et de sécurité précaires. Il a exhorté le gouvernement à prendre un arrêté pour la création d’une commission interministérielle pour une mise en application et un suivi des textes réglementant l’apprentissage au Togo. M. Apédo a souhaité des interventions radiotélévisées pour informer les populations, les patrons et les apprentis sur les enjeux de l’organisation des examens officiels de fin d’apprentissage ; le recyclage périodiques des patrons formateurs pour un meilleur encadrement des apprentis et la mise en place du dispositif du diplôme de graduation des patrons artisans.
De leur côté, le président et la marraine de l’AJAAH, respectivement M. Louis Attiogbé et Mme Claudine Assiba Akakpo, ainsi que le responsable de l’orphelinat King Mensah, ont estimé que le chantier de la lutte contre la violation des droits des enfants est très vaste et qu’il faudrait des efforts pour atteindre des résultats efficients. Ils ont déploré l’absence de textes juridiques ou parfois leur inefficacité dans certains pays du continent ; absence due à l’héritage colonial, aux conflits ou à un désintérêt politique. Ce qui entraîne une situation de précarité des conditions de vie des enfants.
Avec comme slogan ‘‘Les enfants à l’école ; les adultes au travail’’, ils ont invité tout un chacun au respect des droits et de la dignité de l’enfant ; à une mobilisation du gouvernement, des ONG, de tous les acteurs sociaux, économiques, politiques, des chefs traditionnels et religieux, des medias pour agir car « Les enfants doivent être nos héritiers, pas nos survivants ». Ils ont exprimé leur gratitude à la trentaine d’associations qui se sont impliquées à leur côté dans l’organisation de cette marche.
Les chants des élèves et la musique de la fanfare ‘‘Notre-Dame de Togoville’’ ont égayé l’assistance à cette occasion. ATOP/KAA/AYH
Par cette marche, les organisateurs entendent confirmer leur engagement aux côtés du gouvernement, des partenaires en développement et des autres associations de la société civile dans le combat pour les droits des enfants et réfléchir ensemble pour l’harmonisation d’une stratégie commune dans la sauvegarde de l’avenir des enfants, relève de demain.
Outre la marche des enfants venus de Lomé et d’Agbodrafo, jusqu’au siège de la Fondation King Mensah, la célébration a été marquée par la réclamation des enfants sur la protection de leurs droits, l’information sur le document de plaidoyer pour un apprentissage à visage humain au Togo de l’ONG « Solidarité et Action pour le Développement Durable » (SADD) et un pique-nique.
Les enfants ont à cette occasion, condamné la misère, la maltraitance, l’exploitation, le viol et les tortures diverses qui leur sont infligés par les adultes. Ils souhaitent l’établissement systématique des certificats de naissance, leur visibilité en tant que personne humaine, la gratuité de l’école surtout au primaire ; la vulgarisation du code de l’enfant et d’autres mesures visant à lutter efficacement contre toute violation de leurs droits.
L’animateur à l’ONG SADD, M. Firmin Apédo, a dénoncé les conditions difficiles d’apprentissage au Togo, notamment les longues heures de travail, les sévices corporels, les travaux domestiques et champêtres pour les patrons d’atelier, les conditions d’hygiène et de sécurité précaires. Il a exhorté le gouvernement à prendre un arrêté pour la création d’une commission interministérielle pour une mise en application et un suivi des textes réglementant l’apprentissage au Togo. M. Apédo a souhaité des interventions radiotélévisées pour informer les populations, les patrons et les apprentis sur les enjeux de l’organisation des examens officiels de fin d’apprentissage ; le recyclage périodiques des patrons formateurs pour un meilleur encadrement des apprentis et la mise en place du dispositif du diplôme de graduation des patrons artisans.
De leur côté, le président et la marraine de l’AJAAH, respectivement M. Louis Attiogbé et Mme Claudine Assiba Akakpo, ainsi que le responsable de l’orphelinat King Mensah, ont estimé que le chantier de la lutte contre la violation des droits des enfants est très vaste et qu’il faudrait des efforts pour atteindre des résultats efficients. Ils ont déploré l’absence de textes juridiques ou parfois leur inefficacité dans certains pays du continent ; absence due à l’héritage colonial, aux conflits ou à un désintérêt politique. Ce qui entraîne une situation de précarité des conditions de vie des enfants.
Avec comme slogan ‘‘Les enfants à l’école ; les adultes au travail’’, ils ont invité tout un chacun au respect des droits et de la dignité de l’enfant ; à une mobilisation du gouvernement, des ONG, de tous les acteurs sociaux, économiques, politiques, des chefs traditionnels et religieux, des medias pour agir car « Les enfants doivent être nos héritiers, pas nos survivants ». Ils ont exprimé leur gratitude à la trentaine d’associations qui se sont impliquées à leur côté dans l’organisation de cette marche.
Les chants des élèves et la musique de la fanfare ‘‘Notre-Dame de Togoville’’ ont égayé l’assistance à cette occasion. ATOP/KAA/AYH
LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE A RENCONTRE LES PRODUCTEURS AGRICOLES, LES ELEVEURS ET LES COMMERÇANTS DE BETAIL DE KPENDJAL
Dapaong, 3 juil. (ATOP) – Le ministre de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche, Kossi Messan Ewovor, dépêché par le chef de l’Etat, a séjourné les 2 et 3 juillet dans la région des Savanes pour s’informer de l’évolution de la situation de la fièvre charbonneuse réapparue ces derniers temps dans la préfecture de kpendjal. Il a rencontré à Mandouri et Koundjouaré les producteurs agricoles, les éleveurs, les commerçants et l’équipe de vétérinaires de la préfecture.
Dans les deux localités visitées, le ministre s’est assuré que les mesures de lutte contre le charbon bactéridien fonctionnent bien sur le terrain et que le mal est en train d’être circonscrit. Il a informé et sensibilisé les producteurs et éleveurs sur la nécessité de vacciner leur bétail, l’Etat ayant mis actuellement en place les vaccins pour faire face à cette maladie. Le ministre Ewovor a mis surtout l’accent sur la disponibilité suffisante des vaccins contre le charbon bactéridien grâce à l’appui de la FAO et souligné que ces vaccins sont subventionnés et reviennent à 150 FCFA pour les bœufs et 50 FCFA pour les moutons et chèvres au lieu de 450 FCFA la dose vaccinale.
Parlant des conséquences fâcheuses de la maladie sur la santé humaine, le ministre a mis en garde ceux qui tenteraient d’abattre les animaux agonisants, de manipuler et de consommer la viande infectée. Il leur a demandé d’éviter les lieux traditionnellement infectés et de signaler tous les cas d’infection aux services vétérinaires pour qu’un diagnostic soit fait.
Abordant le problème de la crise alimentaire et de la cherté de la vie, le ministre a informé les producteurs agricoles que l’agriculture constitue une opportunité à saisir parce que le Togo est dans une dynamique de reprise économique et les bailleurs de fonds veulent soutenir les producteurs dans leurs activités.
Le gouvernement met déjà à la disposition des producteurs 16.000 tonnes d’engrais subventionnés pour la campagne 2008-2009 malgré l’absence de moyens financiers, a-t-il insisté.
Auparavant le préfet par intérim de Kpendjal, Cdt Awaté Hodabalo, avait exprimé la gratitude des populations de Kpendjal au ministre pour sa visite qui témoigne de l’attention particulière que les plus hautes autorités du pays portent à la préfecture de Kpendjal. Il a remercié le chef de l’Etat pour sa prompte réaction face aux foyers déclarés de charbon bactéridien dans la préfecture de Kpendjal.
Déclaré depuis le 16 juin par un éleveur de Donga, 95 bœufs ont déjà péri de cette maladie et les villages de Donga, tiliendi, Nakpafouaga, Penchéri, Bouldjoari et Mandouri sont mis sous surveillance active.
Le ministre a aussi visité la parcelle de Production de suivi (PPS), les champs de maïs dénommés Test en Milieu Paysan (TMP) du canton de Panapagou et les champs de coton de Ogarou pour constater les difficultés des producteurs et leur prodiguer des conseils. Il est également allé voir l’état d’avancement de travaux de réfection de la route de Nano, financés par le Fonds STABEX.
Au deuxième jour de son séjour dans les savanes, le ministre a eu une séance de travail avec les agents relevant de son département pour leur donner des instructions sur les conduites à tenir notamment leur présence sur le terrain, les conseils à apporter aux producteurs et les appuis qu’ils doivent donner aux paysans dans leur organisation, concernant la gestion de la campagne agricole 2008-2009.
A cette occasion, le directeur régional de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche des Savanes, M. Abdoulaye Idrissou, a présenté la situation des activités et les contraintes liées à la production, au sol, à la production animale et à la mécanisation de l’agriculture.
ATOP/AE/KEK/GL
Dans les deux localités visitées, le ministre s’est assuré que les mesures de lutte contre le charbon bactéridien fonctionnent bien sur le terrain et que le mal est en train d’être circonscrit. Il a informé et sensibilisé les producteurs et éleveurs sur la nécessité de vacciner leur bétail, l’Etat ayant mis actuellement en place les vaccins pour faire face à cette maladie. Le ministre Ewovor a mis surtout l’accent sur la disponibilité suffisante des vaccins contre le charbon bactéridien grâce à l’appui de la FAO et souligné que ces vaccins sont subventionnés et reviennent à 150 FCFA pour les bœufs et 50 FCFA pour les moutons et chèvres au lieu de 450 FCFA la dose vaccinale.
Parlant des conséquences fâcheuses de la maladie sur la santé humaine, le ministre a mis en garde ceux qui tenteraient d’abattre les animaux agonisants, de manipuler et de consommer la viande infectée. Il leur a demandé d’éviter les lieux traditionnellement infectés et de signaler tous les cas d’infection aux services vétérinaires pour qu’un diagnostic soit fait.
Abordant le problème de la crise alimentaire et de la cherté de la vie, le ministre a informé les producteurs agricoles que l’agriculture constitue une opportunité à saisir parce que le Togo est dans une dynamique de reprise économique et les bailleurs de fonds veulent soutenir les producteurs dans leurs activités.
Le gouvernement met déjà à la disposition des producteurs 16.000 tonnes d’engrais subventionnés pour la campagne 2008-2009 malgré l’absence de moyens financiers, a-t-il insisté.
Auparavant le préfet par intérim de Kpendjal, Cdt Awaté Hodabalo, avait exprimé la gratitude des populations de Kpendjal au ministre pour sa visite qui témoigne de l’attention particulière que les plus hautes autorités du pays portent à la préfecture de Kpendjal. Il a remercié le chef de l’Etat pour sa prompte réaction face aux foyers déclarés de charbon bactéridien dans la préfecture de Kpendjal.
Déclaré depuis le 16 juin par un éleveur de Donga, 95 bœufs ont déjà péri de cette maladie et les villages de Donga, tiliendi, Nakpafouaga, Penchéri, Bouldjoari et Mandouri sont mis sous surveillance active.
Le ministre a aussi visité la parcelle de Production de suivi (PPS), les champs de maïs dénommés Test en Milieu Paysan (TMP) du canton de Panapagou et les champs de coton de Ogarou pour constater les difficultés des producteurs et leur prodiguer des conseils. Il est également allé voir l’état d’avancement de travaux de réfection de la route de Nano, financés par le Fonds STABEX.
Au deuxième jour de son séjour dans les savanes, le ministre a eu une séance de travail avec les agents relevant de son département pour leur donner des instructions sur les conduites à tenir notamment leur présence sur le terrain, les conseils à apporter aux producteurs et les appuis qu’ils doivent donner aux paysans dans leur organisation, concernant la gestion de la campagne agricole 2008-2009.
A cette occasion, le directeur régional de l’Agriculture, de l’Elevage et de la Pêche des Savanes, M. Abdoulaye Idrissou, a présenté la situation des activités et les contraintes liées à la production, au sol, à la production animale et à la mécanisation de l’agriculture.
ATOP/AE/KEK/GL
mercredi 2 juillet 2008
LES ORGANISATIONS DES PRODUCTEURS DE VIVRIERSDE LA REGION MARITIME ONT REFLECHI SUR L’IMPACT DU GENRE SUR LA PRODUCTIVITE AGRICOLE
Vogan 1er juil. (ATOP) – Un atelier rural sur le genre a réuni le mardi 24 juin à Vogan, les délégués des organisations paysannes, des unions et faîtières des producteurs de vivriers de la région maritime.
Organisé par l’Institut Togolais de Recherche Agronomique/Centre de Recherche Agronomique du Littoral (ITRA/CRAL), en partenariat avec l’IFDC-A, cet atelier a porté sur le thème « Analyse de l’impact genre sur l’amélioration de la productivité agricole dans la région maritime ».
Il vise à lever les obstacles sociologiques qui constituent un frein à l’émancipation de la femme rurale en vue de sécuriser la production agricole. Il s’agit également d’échanger les expériences, de consolider les acquis en matière de genre, de renforcer l’adhésion des producteurs au concept « genre » dans leurs unions et groupements villageois et d’impliquer les dignitaires ruraux et les dirigeants des unions dans la dynamique de ce concept pour les amener à accroître la représentativité des femmes dans les instances de prise de décision.
Au cours des travaux, les participants ont discuté de la définition du genre, de la division du travail fondée sur le sexe, de la participation des femmes à la prise de décision et du VIH/SIDA.
Le genre et développement a fait également l’objet de débat et les femmes ont été invitées à s’impliquer plus efficacement dans le développement aux côtés des hommes en vue d’améliorer la productivité agricole.
A l’ouverture des travaux, le secrétaire général de la préfecture de Vo, M. Koupogbé Manèkpo, a souhaité que de ces assises sortent de grandes décisions pour améliorer la productivité.
ATOP/JA/KEK/MD
Organisé par l’Institut Togolais de Recherche Agronomique/Centre de Recherche Agronomique du Littoral (ITRA/CRAL), en partenariat avec l’IFDC-A, cet atelier a porté sur le thème « Analyse de l’impact genre sur l’amélioration de la productivité agricole dans la région maritime ».
Il vise à lever les obstacles sociologiques qui constituent un frein à l’émancipation de la femme rurale en vue de sécuriser la production agricole. Il s’agit également d’échanger les expériences, de consolider les acquis en matière de genre, de renforcer l’adhésion des producteurs au concept « genre » dans leurs unions et groupements villageois et d’impliquer les dignitaires ruraux et les dirigeants des unions dans la dynamique de ce concept pour les amener à accroître la représentativité des femmes dans les instances de prise de décision.
Au cours des travaux, les participants ont discuté de la définition du genre, de la division du travail fondée sur le sexe, de la participation des femmes à la prise de décision et du VIH/SIDA.
Le genre et développement a fait également l’objet de débat et les femmes ont été invitées à s’impliquer plus efficacement dans le développement aux côtés des hommes en vue d’améliorer la productivité agricole.
A l’ouverture des travaux, le secrétaire général de la préfecture de Vo, M. Koupogbé Manèkpo, a souhaité que de ces assises sortent de grandes décisions pour améliorer la productivité.
ATOP/JA/KEK/MD
LA POPULATION DU CANTON DE FARENDE SENSIBILISEE SUR LES RISQUES DES IST/VIH/SIDA LIES A LA PRATIQUE DU LEVIRAT
Pagouda, 1er juil. (ATOP) – Le centre de Formation pour le Développement des Ruraux (CFDR), en collaboration avec l’ONG « Population Service International » au Togo (PSI-Togo), a sensibilisé le samedi 21 juin à Farendè, la population sur les risques des IST/VIH/SIDA liés à la pratique du Lévirat.
Cette manifestation qui a porté sur la pratique du lévirat sans le test de dépistage, source de propagation des IST/VIH/SIDA, a pour but de conscientiser et d’exhorter la population du canton de Farendè à un changement de comportement face à la pratique du lévirat et les éclairer sur les conséquences de cette pratique liées au VIH/SIDA.
Développant le thème, le chef du projet VIH/SIDA au CFDR, M. Pirali Koffi, a souligné que le lévirat avait un avantage, selon la tradition parce qu’elle permettait d prendre en charge la famille du défunt, mais aujourd’hui avec la pandémie du SIDA et la promotion des droits humains et surtout du droit de la femme, il n’est plus admis que la veuve soit soumise à cette pratique contre son gré. Au cas où elle donne son consentement, les deux parties doivent faire le test de dépistage au VIH. M. Pirali a lancé un appel à toute la population à se soumettre au test de dépistage au VIH/SIDA afin de mieux conduire sa vie.
Le préfet de la Binah, M. N’Faba N’Bighé, a témoigné sa gratitude aux responsables du CFDR pour leur initiative qui vient en appui aux efforts du gouvernement dans sa politique de lutte contre les IST/VIH/SIDA.
Le président du Centre de Formation pour le développement des Ruraux, M. Padayodi Abalo, a pour sa part demandé à l’auditoire de faire tâche d’huile des enseignements reçus.
Une série de questions-réponses dotée de prix a permis de distribuer des enveloppes et des préservatifs masculins et féminins aux différents groupes prestataires.
ATOP/JLT/AYH/MD
Cette manifestation qui a porté sur la pratique du lévirat sans le test de dépistage, source de propagation des IST/VIH/SIDA, a pour but de conscientiser et d’exhorter la population du canton de Farendè à un changement de comportement face à la pratique du lévirat et les éclairer sur les conséquences de cette pratique liées au VIH/SIDA.
Développant le thème, le chef du projet VIH/SIDA au CFDR, M. Pirali Koffi, a souligné que le lévirat avait un avantage, selon la tradition parce qu’elle permettait d prendre en charge la famille du défunt, mais aujourd’hui avec la pandémie du SIDA et la promotion des droits humains et surtout du droit de la femme, il n’est plus admis que la veuve soit soumise à cette pratique contre son gré. Au cas où elle donne son consentement, les deux parties doivent faire le test de dépistage au VIH. M. Pirali a lancé un appel à toute la population à se soumettre au test de dépistage au VIH/SIDA afin de mieux conduire sa vie.
Le préfet de la Binah, M. N’Faba N’Bighé, a témoigné sa gratitude aux responsables du CFDR pour leur initiative qui vient en appui aux efforts du gouvernement dans sa politique de lutte contre les IST/VIH/SIDA.
Le président du Centre de Formation pour le développement des Ruraux, M. Padayodi Abalo, a pour sa part demandé à l’auditoire de faire tâche d’huile des enseignements reçus.
Une série de questions-réponses dotée de prix a permis de distribuer des enveloppes et des préservatifs masculins et féminins aux différents groupes prestataires.
ATOP/JLT/AYH/MD
UN LYCEE ISLAMIQUE INAUGURE A BAFILO
Bafilo, 1er juil. (ATOP) – Un lycée islamique a été inauguré le mercredi 25 juin à Bafilo.
ce nouvel établissement financé par « le ministère des legs pieux et des affaires islamiques », une association koweitienne, comprend trois classes, un bureau du proviseur, une salle de conférence et des sanitaires, assurera à la rentrée scolaire prochaine, un programme d’enseignement du français, de l’arabe et de l’anglais. Il est le fruit du partenariat entre l’association koweitienne et l’ONG « Fondation de bienfaisance du Togo à Bafilo » basée dans la localité, laquelle a exécuté les travaux.
A l’occasion, le secrétaire général de la préfecture, M. Gramsim Piniouwè, a loué l’excellence des relations entre le Koweit et le Togo et souligné les efforts consentis par les partenaires de ce pays pour l’amélioration des conditions de vie des populations togolaises. Il a exhorté les bénéficiaires à en faire bon usage.
Le président de l’ONG « Fondation de Bienfaisance du Togo à Bafilo », El Hadj Abdou-Salami Ahamadou, a remercié les donateurs Koweitiens et a réaffirmé la détermination de son ONG a renforcé ce partenariat avec eux pour le développement de la préfecture.
ATOP/GKJ/MEK/MD
ce nouvel établissement financé par « le ministère des legs pieux et des affaires islamiques », une association koweitienne, comprend trois classes, un bureau du proviseur, une salle de conférence et des sanitaires, assurera à la rentrée scolaire prochaine, un programme d’enseignement du français, de l’arabe et de l’anglais. Il est le fruit du partenariat entre l’association koweitienne et l’ONG « Fondation de bienfaisance du Togo à Bafilo » basée dans la localité, laquelle a exécuté les travaux.
A l’occasion, le secrétaire général de la préfecture, M. Gramsim Piniouwè, a loué l’excellence des relations entre le Koweit et le Togo et souligné les efforts consentis par les partenaires de ce pays pour l’amélioration des conditions de vie des populations togolaises. Il a exhorté les bénéficiaires à en faire bon usage.
Le président de l’ONG « Fondation de Bienfaisance du Togo à Bafilo », El Hadj Abdou-Salami Ahamadou, a remercié les donateurs Koweitiens et a réaffirmé la détermination de son ONG a renforcé ce partenariat avec eux pour le développement de la préfecture.
ATOP/GKJ/MEK/MD
DES RELAIS COMMUNAUTAIRES ONT REÇU LEURS ATTESTATIONS DE FIN DE FORMATION
Tabligbo, 1er juil. (ATOP) – Une cérémonie de remise d’attestations de fin de formation à vingt six femmes servant de relais en santé communautaire s’est déroulée le vendredi 20 juin à Zouvi, village situé à environ 30 km au nord de Tabligbo, dans le canton de Gboto.
Venues de Zouvi et des villages voisins, ces femmes ont suivi pendant trois jours, une formation donnée par une équipe d’encadreurs dans les domaines d’assainissement, de salubrité et d’hygiène pour un changement de comportement visant à sécuriser la santé humaine et dans la microfinance pour une autopromotion.
Selon le directeur exécutif du Programme Intégré pour la Santé et l’Autopromotion des Femmes (PISAF), M. Atohoun Kokou Gérard et son assistante Mlle Bohui Fidèle, cette formation relève du volet santé du Programme Méthodiste de Développement Communautaire au Togo (PMDCT) qui voudrait centrer sa formation sur les femmes, fondement du foyer conjugal.
Celles-ci serviront de relais pour sensibiliser, éduquer et former leurs communautés respectives, afin de réduire dans les milieux les risques de contamination des maladies, surtout celles de mains sales et hydriques.
Ils ont souhaité que cette formation ne reste pas une formation d’archive, mais qu’elle soit active et participative à tous les niveaux.
Le chef du village Togbui Noviabou Klolly 1er a, au nom des populations, exprimé sa gratitude aux responsables nationaux et occidentaux de l’Eglise Méthodiste surtout leur partenaire d’Angleterre la « Méthodist Relief Und Developpement Fund » (MRDF) qui ont toujours œuvré pour le bien-être des populations.
Il a également témoigné sa reconnaissance à l’Eglise qui par le passé leur a réalisé deux forages pour l’eau de boisson et rappelé enfin à ses administrés que le développement communautaire n’est pas l’affaire d’une seule personne mais de tous.
Le pasteur Afanvi Michel qui a présidé les prières d’ouverture et de clôture s’est inspiré du psaume 93 pour glorifier Dieu, louer sa puissance et son règne car, a-t-il dit, les réalisations de l’homme sont de sa volonté.
ATOP/AZ/MEK/MD
Venues de Zouvi et des villages voisins, ces femmes ont suivi pendant trois jours, une formation donnée par une équipe d’encadreurs dans les domaines d’assainissement, de salubrité et d’hygiène pour un changement de comportement visant à sécuriser la santé humaine et dans la microfinance pour une autopromotion.
Selon le directeur exécutif du Programme Intégré pour la Santé et l’Autopromotion des Femmes (PISAF), M. Atohoun Kokou Gérard et son assistante Mlle Bohui Fidèle, cette formation relève du volet santé du Programme Méthodiste de Développement Communautaire au Togo (PMDCT) qui voudrait centrer sa formation sur les femmes, fondement du foyer conjugal.
Celles-ci serviront de relais pour sensibiliser, éduquer et former leurs communautés respectives, afin de réduire dans les milieux les risques de contamination des maladies, surtout celles de mains sales et hydriques.
Ils ont souhaité que cette formation ne reste pas une formation d’archive, mais qu’elle soit active et participative à tous les niveaux.
Le chef du village Togbui Noviabou Klolly 1er a, au nom des populations, exprimé sa gratitude aux responsables nationaux et occidentaux de l’Eglise Méthodiste surtout leur partenaire d’Angleterre la « Méthodist Relief Und Developpement Fund » (MRDF) qui ont toujours œuvré pour le bien-être des populations.
Il a également témoigné sa reconnaissance à l’Eglise qui par le passé leur a réalisé deux forages pour l’eau de boisson et rappelé enfin à ses administrés que le développement communautaire n’est pas l’affaire d’une seule personne mais de tous.
Le pasteur Afanvi Michel qui a présidé les prières d’ouverture et de clôture s’est inspiré du psaume 93 pour glorifier Dieu, louer sa puissance et son règne car, a-t-il dit, les réalisations de l’homme sont de sa volonté.
ATOP/AZ/MEK/MD
L’ONG « AMIS DE POUBELLES » A ASSAINI LES LIEUX PUBLICS D’AHEPE
Tabligbo, 1er juil. (ATOP) – L’ONG Amis de Poubelles (ADP) section d’Ahépé en collaboration avec le comité villageois de développement (CVD) a organisé le lundi 23 juin une opération de salubrité au marché, au dispensaire et au rond point central de la localité.
Cette opération qui se veut hebdomadaire vise à réduire au maximum les risques de propagation et de contamination des maladies hydriques diarrhéiques et le paludisme.
Selon M. Kessougbo Kodjo, président national de l’ADP, le développement d’une localité est strictement lié à l’état de santé de ses habitants. Il a de ce fait plaidé pour la promotion et la mise en place des structures appropriées d’assainissement.
L’ADP d’Ahépé qui compte 85 personnes dont 80 femmes entend étendre ses activités dans les domaines de l’éducation, de la protection de l’environnement, de la gestion des eaux et de la promotion des moyens de conservation et de la protection des biens consommables dans les centres commerciaux.
ATOP/AZ/SAS/GL
Cette opération qui se veut hebdomadaire vise à réduire au maximum les risques de propagation et de contamination des maladies hydriques diarrhéiques et le paludisme.
Selon M. Kessougbo Kodjo, président national de l’ADP, le développement d’une localité est strictement lié à l’état de santé de ses habitants. Il a de ce fait plaidé pour la promotion et la mise en place des structures appropriées d’assainissement.
L’ADP d’Ahépé qui compte 85 personnes dont 80 femmes entend étendre ses activités dans les domaines de l’éducation, de la protection de l’environnement, de la gestion des eaux et de la promotion des moyens de conservation et de la protection des biens consommables dans les centres commerciaux.
ATOP/AZ/SAS/GL
LES CHEFS DES VILLAGES DU CANTON DE ESSE-GODJIN REFLECHISSENT SUR LE DEVELOPPEMENT DE LEUR CANTON
Tabligbo, 1er juil. (ATOP) – Les chefs des villages de Essè-Ana, Essè-Godjimè, Esse-Gblé de Témanou Kopé et de Domèzé-Kopé ainsi que leurs notables, ont discuté le lundi 23 juin à Essè-Godjin, des différents problèmes de leurs milieux et examiné des stratégies pour le développement et l’amélioration des conditions de vie de leurs populations.
Les discussions ont porté sur les feux de brousse occasionnels qui endommagent la forêt sacrée « Kové », les intrusions inopinées de certaines personnes dans la forêt. Ils ont aussi abordé les points relatifs au reboisement, à la réhabilitation des voies de déserte dans le canton, à l’assainissement et à la salubrité aux abords de la forêt et dans les agglomérations.
Au cours de la concertation, il a été demandé à chaque chef de village de faire des sorties périodiques pour recenser les problèmes de chaque village, rassembler les comités villageois de développement (CVD) afin de les relancer dans leurs activités. Ils ont également demandé aux CVD d’élaborer des plans d’actions visant à reboiser la forêt sacrée en proie à la désertification avec l’appui et le concours de la préfecture.
Le chef canton, Togbui Moussa Kotiko Abessan III qui a présidé la rencontre, a énuméré les atouts du canton qui font la fierté du milieu et permis d’oeuvrer pour la protection du patrimoine et de voir un jour ces richesses contribuer à la reconctruction de la localité.
ATOP/AZ/AYH/GL
Les discussions ont porté sur les feux de brousse occasionnels qui endommagent la forêt sacrée « Kové », les intrusions inopinées de certaines personnes dans la forêt. Ils ont aussi abordé les points relatifs au reboisement, à la réhabilitation des voies de déserte dans le canton, à l’assainissement et à la salubrité aux abords de la forêt et dans les agglomérations.
Au cours de la concertation, il a été demandé à chaque chef de village de faire des sorties périodiques pour recenser les problèmes de chaque village, rassembler les comités villageois de développement (CVD) afin de les relancer dans leurs activités. Ils ont également demandé aux CVD d’élaborer des plans d’actions visant à reboiser la forêt sacrée en proie à la désertification avec l’appui et le concours de la préfecture.
Le chef canton, Togbui Moussa Kotiko Abessan III qui a présidé la rencontre, a énuméré les atouts du canton qui font la fierté du milieu et permis d’oeuvrer pour la protection du patrimoine et de voir un jour ces richesses contribuer à la reconctruction de la localité.
ATOP/AZ/AYH/GL
UN CULTE D’ACTION DE GRACE MARQUE L’EVENEMENT A PYA
Kara, 1er juil. (ATOP) – Le 24e anniversaire du rappel à Dieu de maman N’Danidaha, mère du père de la nation, feu président Gnassingbé Eyadéma, a été commémoré le samedi 28 juin dans la Kozah.
L’événement a été marqué par un culte d’action de grâce au temple œcuménique de Pya, dit pour du repos de l’âme de la disparue en présence du président de la République Faure Gnassingbé. Le Premier ministre Komlan Mally, des membres du gouvernement, des députés ainsi que plusieurs personnalités civiles et militaires y étaient.
Peu avant de se rendre au culte, le président de la République s’était rendu au caveau familial où il a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de maman N’Danidaha, un geste suivi de la sonnerie aux morts exécutée par un détachement des Forces Armées Togolaises (FAT).
Les manifestations se sont poursuivies dans l’après-midi au stade municipal de Kara avec la finale de la coupe de football féminin « Maman N’Danidaha », remportée par l’équipe « Bella FC de Kara » face à son homologue « Eternelle FC de Sokodé » sur un score de 4 buts à zéro au temps réglementaire de 40 mn x 2.
Elles ont pris fin par une soirée spectacle au palais des congrès de Kara avec la finale de l’élection de la plus belle fille traditionnelle « Miss Us et Coutumes 2008 » organisée par le Club des Amis de Maman N’Danidaha.
La couronne de cette septième édition de la beauté de la femme togolaise a été portée par Mlle Kpémissi Tchariè Pirénam, 18 ans, élève au collège privé le Savoir de Kara, devant quatorze autres concurrentes des régions Savanes, Centrale et Kara.
Le culte anniversaire avait été précédé le vendredi 27 juin d’une veillée de prières et de chants au grand hall du domicile du président de la République à Pya.
Des offices religieux catholique, protestant le dimanche 22 juin et musulman le vendredi 27 juin avaient été dits à Kara dans le cadre de ce 24e anniversaire du rappel à Dieu de Maman N’Danidaha, à la demande de l’UNFT-Kozah.
ATOP/PKI/MEK/MD
L’événement a été marqué par un culte d’action de grâce au temple œcuménique de Pya, dit pour du repos de l’âme de la disparue en présence du président de la République Faure Gnassingbé. Le Premier ministre Komlan Mally, des membres du gouvernement, des députés ainsi que plusieurs personnalités civiles et militaires y étaient.
Peu avant de se rendre au culte, le président de la République s’était rendu au caveau familial où il a déposé une gerbe de fleurs sur la tombe de maman N’Danidaha, un geste suivi de la sonnerie aux morts exécutée par un détachement des Forces Armées Togolaises (FAT).
Les manifestations se sont poursuivies dans l’après-midi au stade municipal de Kara avec la finale de la coupe de football féminin « Maman N’Danidaha », remportée par l’équipe « Bella FC de Kara » face à son homologue « Eternelle FC de Sokodé » sur un score de 4 buts à zéro au temps réglementaire de 40 mn x 2.
Elles ont pris fin par une soirée spectacle au palais des congrès de Kara avec la finale de l’élection de la plus belle fille traditionnelle « Miss Us et Coutumes 2008 » organisée par le Club des Amis de Maman N’Danidaha.
La couronne de cette septième édition de la beauté de la femme togolaise a été portée par Mlle Kpémissi Tchariè Pirénam, 18 ans, élève au collège privé le Savoir de Kara, devant quatorze autres concurrentes des régions Savanes, Centrale et Kara.
Le culte anniversaire avait été précédé le vendredi 27 juin d’une veillée de prières et de chants au grand hall du domicile du président de la République à Pya.
Des offices religieux catholique, protestant le dimanche 22 juin et musulman le vendredi 27 juin avaient été dits à Kara dans le cadre de ce 24e anniversaire du rappel à Dieu de Maman N’Danidaha, à la demande de l’UNFT-Kozah.
ATOP/PKI/MEK/MD
LES POPULATIONS DU CANTON DE PYA ONT BENEFICIE DE CONSULTATIONS MEDICALES GRATUITES
Kara, 1er juil. (ATOP) – Les populations du canton de Pya et de ses environs (Kozah) ont bénéficié les 23 et 24 juin de deux journées de consultations médicales gratuites et de produits pharmaceutiques offerts par l’institution américaine « Kipuke Ministries West Africa Francophone » (KMWAF) en collaboration avec « United Methodist Church » des Etats-Unis d’Amérique.
Estimée à 50.000.000 de F CFA, cette opération qui a essentiellement concerné les domaines de l’ophtalmologie, de l’audiologie, de la pédiatrie et de la médecine générale, a été effectuée par une équipe de 40 médecins américains en mission au Togo depuis le samedi 21 juin.
L’objectif est de venir en aide aux couches déshéritées notamment dans le domaine de la santé.
Outre la santé, le KMWAF intervient au Togo dans les domaines confessionnels, du développement communautaire et de la formation professionnelle des jeunes filles et garçons démunis. L’institution dispose à son actif de deux centres de formation à Lomé et à Pya. Elle s’occupe également des orphelins placés dans des familles d’accueil.
ATOP/JLT/SAS/GL
DES PRODUCTEURS DE CEREALES DE LA CENTRALE ORGANISES EN UNION
Lomé, 1er juil. (ATOP) – Les organisations de producteurs de céréales des préfectures de Tchamba, Sotouboua, Blitta et Tchaoudjo ont tenu le mercredi 25 juin à Sokodé, l’assemblée constitutive de l’Union Régionale des Organisations de Producteurs de Céréales de la Centrale (UROPC-C).
Au cours des travaux, ils ont adopté les statuts et le règlement intérieur de leur union et élu sept membres du conseil d’administration. Celui-ci est présidé par M. Olou-Adara Salifou pour un mandat de trois ans.
A cette occasion, le secrétaire général de la préfecture de Tchaoudjo, M. Fama Tchatchibara, a salué la naissance de cette union qui permettra aux paysans d’améliorer leur condition de vie. Il a exprimé sa reconnaissance à ceux qui ont œuvré pour l’émergence de cette organisation.
Le directeur régional de l’Institut de Conseil et d’Appui Technique (ICAT) de la Centrale, M. Sourou Koffi et le directeur de l’Institut Africain de Développement Economique et Social (INADES-Formation), M. Kossi Séna Adufu, ont fait la genèse du mouvement de producteurs de céréales et souligné leur importance dans le maillon des acteurs du développement.
Auparavant, M. Olou-Adara Salifou avait affirmé que l’Union se veut un cadre de concertation dynamique pour organiser les producteurs de la région Centrale en matière d’approvisionnement des intrants et de la vente groupée des produits céréaliers. Il s’attellera également à la promotion des intérêts des paysans pour aboutir à la sécurité et la souveraineté alimentaire.
ATOP/ATC/KEK/GL
Au cours des travaux, ils ont adopté les statuts et le règlement intérieur de leur union et élu sept membres du conseil d’administration. Celui-ci est présidé par M. Olou-Adara Salifou pour un mandat de trois ans.
A cette occasion, le secrétaire général de la préfecture de Tchaoudjo, M. Fama Tchatchibara, a salué la naissance de cette union qui permettra aux paysans d’améliorer leur condition de vie. Il a exprimé sa reconnaissance à ceux qui ont œuvré pour l’émergence de cette organisation.
Le directeur régional de l’Institut de Conseil et d’Appui Technique (ICAT) de la Centrale, M. Sourou Koffi et le directeur de l’Institut Africain de Développement Economique et Social (INADES-Formation), M. Kossi Séna Adufu, ont fait la genèse du mouvement de producteurs de céréales et souligné leur importance dans le maillon des acteurs du développement.
Auparavant, M. Olou-Adara Salifou avait affirmé que l’Union se veut un cadre de concertation dynamique pour organiser les producteurs de la région Centrale en matière d’approvisionnement des intrants et de la vente groupée des produits céréaliers. Il s’attellera également à la promotion des intérêts des paysans pour aboutir à la sécurité et la souveraineté alimentaire.
ATOP/ATC/KEK/GL
LA MAIRIE D’ANEHO ORGANISE UNE CAMPAGNE DE SENSIBILISATION
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Aného, 1er Juil. (ATOP) – La mairie de la commune d’Aného avec la collaboration technique de l’ONG « Association des Volontaires Togolais pour le Développement » (Avotode) sa partenaire, a organisé du 2 au 23 juin, une campagne de sensibilisation dans tous les quartiers de la ville, dans la perspective de la décentralisation.
L’objectif visé par la mairie est de préparer les citoyens à l’accompagner tout le long du processus de décentralisation à venir, dont les textes ont été votés par l’Assemblée nationale.
une trentaine d’agents répartis en cinq groupes ont fait le porte à porte pour convaincre les ménages de la nécessité de suivre avec un esprit critique les actions de la mairie et d’établir une synergie d’action entre les responsables de la commune, les Comités de Développement de Quartiers (CDQ), les chefs traditionnels et de quartiers.
Pour ce faire, les exécutants se sont appesantis sur l’environnement, la santé communautaire, l’éducation et la culture, l’information et la communication, l’organisation de la base, l’économie locale.
Ils ont développé des modules relatifs à la salubrité publique, la gestion des ordures ménagères, la défécation dans la nature, l’extraction abusive des gravillons marins, au reboisement urbain, au danger de l’utilisation anarchique des engrais et pesticides par les maraîchers et à la pollution des puits.
Ils ont également abordé des sous thèmes tels que le sida, la tuberculose, le paludisme, les maladies diarrhéiques, la sexualité précoce, l’usage des drogues, la promotion des valeurs morales et culturelles, l’éducation scolaire, le combat contre les rumeurs, la création d’une police municipale destinée à la protection de l’environnement, les sources de financement et les activités génératrices de revenus.
Cette campagne a été appréciée par la population qui a interpellé les responsables communaux sur des problèmes de chômage, de divagation des animaux domestiques sur la voie publique, l’affermage du marché Elavagnon à des particuliers et son entretien, la réhabilitation d’infrastructures sanitaires et routières, le payement de taxes municipales.
Par ailleurs, dans la droite ligne de ces actions, le maire de la commune d’Aného, M. Patrice Ayayi Ayivi, a symboliquement mis en terre le 26 juin, des plants de Kaya senegalensis et Grandifolia au péage de Vodougbé, dans l’optique du reboisement urbain des abords de la route nationale n°2, avec 650 plants sur une distance de 3 km jusqu’au quartier de Nlensi.
Cette opération qui s’est faite avec le concours de l’ «Avotode », est destinée à promouvoir le reboisement et à donner un panorama attrayant à la nature. Elle a reçu le soutien du chef de division du contrôle phytosanitaire et du responsable du service des Pêches des Lacs, respectivement MM. Ablam Guénoukpati et Séwa Wilson, du président des groupements de maraîchers de Vodougbé, M. Komi Aziaba et du chargé de programmes à « Avotode », M. Bernard Koffi Djokoto.
ATOP/KAA/MEK
L’objectif visé par la mairie est de préparer les citoyens à l’accompagner tout le long du processus de décentralisation à venir, dont les textes ont été votés par l’Assemblée nationale.
une trentaine d’agents répartis en cinq groupes ont fait le porte à porte pour convaincre les ménages de la nécessité de suivre avec un esprit critique les actions de la mairie et d’établir une synergie d’action entre les responsables de la commune, les Comités de Développement de Quartiers (CDQ), les chefs traditionnels et de quartiers.
Pour ce faire, les exécutants se sont appesantis sur l’environnement, la santé communautaire, l’éducation et la culture, l’information et la communication, l’organisation de la base, l’économie locale.
Ils ont développé des modules relatifs à la salubrité publique, la gestion des ordures ménagères, la défécation dans la nature, l’extraction abusive des gravillons marins, au reboisement urbain, au danger de l’utilisation anarchique des engrais et pesticides par les maraîchers et à la pollution des puits.
Ils ont également abordé des sous thèmes tels que le sida, la tuberculose, le paludisme, les maladies diarrhéiques, la sexualité précoce, l’usage des drogues, la promotion des valeurs morales et culturelles, l’éducation scolaire, le combat contre les rumeurs, la création d’une police municipale destinée à la protection de l’environnement, les sources de financement et les activités génératrices de revenus.
Cette campagne a été appréciée par la population qui a interpellé les responsables communaux sur des problèmes de chômage, de divagation des animaux domestiques sur la voie publique, l’affermage du marché Elavagnon à des particuliers et son entretien, la réhabilitation d’infrastructures sanitaires et routières, le payement de taxes municipales.
Par ailleurs, dans la droite ligne de ces actions, le maire de la commune d’Aného, M. Patrice Ayayi Ayivi, a symboliquement mis en terre le 26 juin, des plants de Kaya senegalensis et Grandifolia au péage de Vodougbé, dans l’optique du reboisement urbain des abords de la route nationale n°2, avec 650 plants sur une distance de 3 km jusqu’au quartier de Nlensi.
Cette opération qui s’est faite avec le concours de l’ «Avotode », est destinée à promouvoir le reboisement et à donner un panorama attrayant à la nature. Elle a reçu le soutien du chef de division du contrôle phytosanitaire et du responsable du service des Pêches des Lacs, respectivement MM. Ablam Guénoukpati et Séwa Wilson, du président des groupements de maraîchers de Vodougbé, M. Komi Aziaba et du chargé de programmes à « Avotode », M. Bernard Koffi Djokoto.
ATOP/KAA/MEK
LES LAUREATS DU CONCOURS DE DESSIN ET D’ORTHOGRAPHE RECOMPENSES A KLOUVIDONNOU
Aného, 1er juil. (ATOP) – Une cérémonie de remise de prix aux lauréats du concours de dessin et d’orthographe organisé par l’école privée laïque « Virgo-Regina » pour les écoliers du secteur d’Agouègan s’est déroulée le samedi 28 juin à Klouvidonnou-Awouno Kondji, à une dizaine de km à l’est d’Aného.
Par ce concours, les organisateurs entendent redonner une importance au dessin, développer l’esprit de créativité et d’imagination des élèves tout en les aidant à maîtriser le français.
Ainsi, des élèves des Cours Elémentaires (CE) et des Cours Moyens (CM) de plusieurs écoles des villages de Djéta, Agokpamé, Séko, Zanvé, Agouègan, Sivamé et Klouvidonnou ont, après une présélection, composé le 21 mai à Agouègan en dessinant un moyen d’éclairage ou en faisant une dictée sur les droits des enfants. A l’issue des épreuves, les trente meilleurs au CE et au CM en dessin et les trente autres en dictée ont été retenus comme lauréats.
La cérémonie de remise de prix a été marquée par un sketch sur les droits des enfants et des femmes ainsi que par les chants et déclamations de poèmes des lauréats.
Outre un diplôme d’honneur remis par l’organisateur à l’inspecteur de l’Enseignement primaire et secondaire, M. Séméglo Komlan, pour son engagement dans la réussite du concours, les lauréats ont reçu des jouets, des magazines et bandes dessinées, des gommes, des feutres et stylos, des gants et chaussettes, des pâtes dentifrices, des peignes et miroirs, des biscuits et chocolats offerts par les ONG ‘‘ Credo-Action’’ et Comité de Soutien de la Famille Internationale (CSFI-Togo).
‘‘Credo-Action’’ a également attribué des prix spéciaux aux lauréates et aux participantes du concours pour la promotion des jeunes filles à l’éducation scolaire.
A l’occasion, l’inspecteur Séméglo a souligné l’importance du dessin et de l’orthographe à l’école primaire ; importance liée à la communication orale ou écrite pour le français et aux arts plastiques constituant de vastes champs d’impulsions permettant à l’Homme de s’adapter à l’univers à travers les croyances et son imagination. Il a exprimé le soutien de son institution à l’école ‘‘Virgo-Regina’’ et aux ONG bienfaitrices pour la réussite des prochains concours, avec l’espoir qu’il s’étende à toute la préfecture.
De leur côté, la secrétaire générale de CSFI-Togo et la présidente de ‘‘Credo-Action’’, respectivement Mmes Mareva Tumahai et Benedicta Assagba, ont promis de soutenir davantage l’école ‘‘Virgo-Regina’’ pour ce concours. Ils ont encouragé les élèves à y participer et à une scolarité assidue, sans paresse, pour leur réussite dans la vie.
Pour sa part, le directeur pédagogique de ‘‘Virgo-Regina’’ et organisateur du concours, M. Amévi Gbadoé, a indiqué que le but de son action est de permettre aux enfants de s’intéresser à ces deux disciplines et faire en sorte que l’être humain s’intègre au mieux dans le processus de son propre développement. Aussi, a-t-il remercié les ONG ‘‘Credo-Action’’ et CSFI-Togo pour leurs soutiens technique et financier dans l’organisation du concours et l’inspecteur pour ses conseils et sa disponibilité.
ATOP/KAA/MEK
Par ce concours, les organisateurs entendent redonner une importance au dessin, développer l’esprit de créativité et d’imagination des élèves tout en les aidant à maîtriser le français.
Ainsi, des élèves des Cours Elémentaires (CE) et des Cours Moyens (CM) de plusieurs écoles des villages de Djéta, Agokpamé, Séko, Zanvé, Agouègan, Sivamé et Klouvidonnou ont, après une présélection, composé le 21 mai à Agouègan en dessinant un moyen d’éclairage ou en faisant une dictée sur les droits des enfants. A l’issue des épreuves, les trente meilleurs au CE et au CM en dessin et les trente autres en dictée ont été retenus comme lauréats.
La cérémonie de remise de prix a été marquée par un sketch sur les droits des enfants et des femmes ainsi que par les chants et déclamations de poèmes des lauréats.
Outre un diplôme d’honneur remis par l’organisateur à l’inspecteur de l’Enseignement primaire et secondaire, M. Séméglo Komlan, pour son engagement dans la réussite du concours, les lauréats ont reçu des jouets, des magazines et bandes dessinées, des gommes, des feutres et stylos, des gants et chaussettes, des pâtes dentifrices, des peignes et miroirs, des biscuits et chocolats offerts par les ONG ‘‘ Credo-Action’’ et Comité de Soutien de la Famille Internationale (CSFI-Togo).
‘‘Credo-Action’’ a également attribué des prix spéciaux aux lauréates et aux participantes du concours pour la promotion des jeunes filles à l’éducation scolaire.
A l’occasion, l’inspecteur Séméglo a souligné l’importance du dessin et de l’orthographe à l’école primaire ; importance liée à la communication orale ou écrite pour le français et aux arts plastiques constituant de vastes champs d’impulsions permettant à l’Homme de s’adapter à l’univers à travers les croyances et son imagination. Il a exprimé le soutien de son institution à l’école ‘‘Virgo-Regina’’ et aux ONG bienfaitrices pour la réussite des prochains concours, avec l’espoir qu’il s’étende à toute la préfecture.
De leur côté, la secrétaire générale de CSFI-Togo et la présidente de ‘‘Credo-Action’’, respectivement Mmes Mareva Tumahai et Benedicta Assagba, ont promis de soutenir davantage l’école ‘‘Virgo-Regina’’ pour ce concours. Ils ont encouragé les élèves à y participer et à une scolarité assidue, sans paresse, pour leur réussite dans la vie.
Pour sa part, le directeur pédagogique de ‘‘Virgo-Regina’’ et organisateur du concours, M. Amévi Gbadoé, a indiqué que le but de son action est de permettre aux enfants de s’intéresser à ces deux disciplines et faire en sorte que l’être humain s’intègre au mieux dans le processus de son propre développement. Aussi, a-t-il remercié les ONG ‘‘Credo-Action’’ et CSFI-Togo pour leurs soutiens technique et financier dans l’organisation du concours et l’inspecteur pour ses conseils et sa disponibilité.
ATOP/KAA/MEK
LES CHEFS TRADITIONNELS DES VILLAGES DE BONOUGBE ET KUVE ONT REÇU LEURS ARRETES DE RECONNAISSANCE
Tsévié, 1er juil. (ATOP)- Togbui Hodo Adégbédzi 1er et Togbui Koffi Agboli Kaba II, désignés par voie coutumière, ont reçu le samedi 28 juin à Wli-Centre, localité située à une dizaine de km à l'ouest de Tsévié, leurs arrêtés de reconnaissance comme chefs des villages de Wli-Kuvé et Wli-Bonougbé.
C'est le préfet du Zio, M. kouvahè Anoumou Yom qui a remis les documents aux récipiendaires en présence des personnalités administratives, traditionnelles et des députés.
A l’occasion, le préfet du Zio a souligné que la remise de ces arrêtés est un événement heureux non seulement pour le récipiendaire mais aussi aux deux villages qui désormais disposent d'un interlocuteur auprès de l'administration publique.
Il a rappelé aux nouveaux gardiens des us et coutumes les vertus cardinales d'un chef traditionnel qui sont entre autres, la loyauté envers l'Etat, l'impartialité et l'équité.
M. Kouvahé leur a demandé d'être à l'écoute de leurs populations et d'exercer leur fonction dans le respect des attributions qui incombent à la chefferie traditionnelle. Le préfet a exhorté les populations au respect de leur chef et à travailler en collaboration avec eux pour le développement harmonieux et durable de leurs localités respectives.
Le vice-président de l'union des chefs traditionnels du Zio, Togbui Adonsou Gbogla III, a exhorté les nouveaux chefs au respect de la hiérarchie et à se conformer aux lois qui régissent la chefferie traditionnelle au Togo.
Pour leur part, les récipiendaires ont témoigné leur gratitude au gouvernement pour l'importance et l'intérêt qu'il accorde à la chefferie traditionnelle.
Ils ont réitéré leur volonté d’oeuvrer pour le raffermissement de la cohésion sociale dans leurs milieux respectifs et sollicité le concours des populations pour mener à bien la mission.
ATOP/DK/MEK
C'est le préfet du Zio, M. kouvahè Anoumou Yom qui a remis les documents aux récipiendaires en présence des personnalités administratives, traditionnelles et des députés.
A l’occasion, le préfet du Zio a souligné que la remise de ces arrêtés est un événement heureux non seulement pour le récipiendaire mais aussi aux deux villages qui désormais disposent d'un interlocuteur auprès de l'administration publique.
Il a rappelé aux nouveaux gardiens des us et coutumes les vertus cardinales d'un chef traditionnel qui sont entre autres, la loyauté envers l'Etat, l'impartialité et l'équité.
M. Kouvahé leur a demandé d'être à l'écoute de leurs populations et d'exercer leur fonction dans le respect des attributions qui incombent à la chefferie traditionnelle. Le préfet a exhorté les populations au respect de leur chef et à travailler en collaboration avec eux pour le développement harmonieux et durable de leurs localités respectives.
Le vice-président de l'union des chefs traditionnels du Zio, Togbui Adonsou Gbogla III, a exhorté les nouveaux chefs au respect de la hiérarchie et à se conformer aux lois qui régissent la chefferie traditionnelle au Togo.
Pour leur part, les récipiendaires ont témoigné leur gratitude au gouvernement pour l'importance et l'intérêt qu'il accorde à la chefferie traditionnelle.
Ils ont réitéré leur volonté d’oeuvrer pour le raffermissement de la cohésion sociale dans leurs milieux respectifs et sollicité le concours des populations pour mener à bien la mission.
ATOP/DK/MEK
L’ASSOCIATION « CMR » SE FAIT CONNAÎTRE A TOHOUN
Tohoun, 1er juil. (ATOP) – L’association « la Colombe du Monde Rural » (CMR) basée à Lomé a organisé une réunion de prise de contact et d’information sur ses activités de lutte contre la pauvreté et le chômage le samedi 21 juin à Tohoun.
Cette rencontre qui a regroupé une cinquantaine de jeunes a permis de présenter le projet d’amélioration des conditions de vie de la population du Moyen-Mono en général et de Tohoun en particulier. Il consiste à offrir à celle-ci des opportunités de prise en charge pour un développement harmonieux de la préfecture.
Faisant l’historique de la CMR créée le 25 janvier 2000, son président, M. Homanou Edoh Albert, a rendu hommage au préfet du Moyen-Mono, Cdt Djato Nadjindo Dana, pour les actes de développement qu’il ne cesse de poser dans la préfecture. Il a invité la jeunesse à former des groupements en vue de bénéficier des aides de son association. M. Homanou a précisé que la CMR intervient dans l’agriculture, la scolarisation de la jeune fille, l’environnement, la construction des infrastructures, la communication, le financement des projets, la promotion féminine et surtout dans la lutte contre le Sida et le trafic des enfants. L’association appuie également les efforts du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et le chômage.
A la fin de la rencontre, un bureau local de neuf membres dirigé par M. Lokossou Yaovi Innocent, a été élu. Celui-ci a invité les jeunes à un changement de comportement et les a rassurés de sa disponibilité à travailler de concert avec toutes les bonnes volontés.
ATOP/GEK/TD/MD
Cette rencontre qui a regroupé une cinquantaine de jeunes a permis de présenter le projet d’amélioration des conditions de vie de la population du Moyen-Mono en général et de Tohoun en particulier. Il consiste à offrir à celle-ci des opportunités de prise en charge pour un développement harmonieux de la préfecture.
Faisant l’historique de la CMR créée le 25 janvier 2000, son président, M. Homanou Edoh Albert, a rendu hommage au préfet du Moyen-Mono, Cdt Djato Nadjindo Dana, pour les actes de développement qu’il ne cesse de poser dans la préfecture. Il a invité la jeunesse à former des groupements en vue de bénéficier des aides de son association. M. Homanou a précisé que la CMR intervient dans l’agriculture, la scolarisation de la jeune fille, l’environnement, la construction des infrastructures, la communication, le financement des projets, la promotion féminine et surtout dans la lutte contre le Sida et le trafic des enfants. L’association appuie également les efforts du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté et le chômage.
A la fin de la rencontre, un bureau local de neuf membres dirigé par M. Lokossou Yaovi Innocent, a été élu. Celui-ci a invité les jeunes à un changement de comportement et les a rassurés de sa disponibilité à travailler de concert avec toutes les bonnes volontés.
ATOP/GEK/TD/MD
LES ACTIVITES VIADUC LANCEES A GADZEPE
Gadzepé, 1er juil. (ATOP) – Les activités de l’association des volontaires Internationaux pour l’Aide au Développement et l’unité des communautés (VIADUC) ont été lancées le mercredi 25 juin au cours d’une soirée culturelle à Gadzépé.
Cette association entend promouvoir les initiatives locales en matière de protection de l’environnement, vulgariser les nouvelles technologies de l’information et la communication et lutter pour la protection du droit de l’enfant et son épanouissement.
Le représentant du préfet d’Agou, Togbui Peby V a salué à l’occasion, cette initiative et invité d’autres partenaires de développement à appuyer l’association dans ses activités afin que les hameaux les plus reculés puissent en tirer profit.
Le président de VIADUC, M. Nestor Klutsé, a pour sa part fait l’historique de son association et sollicité une collaboration de toute la population d’Agou afin que les objectifs assignés à son institution soient atteints.
Il a remercié ses partenaires canadiens pour tout ce qu’ils font pour l’association.
ATOP/TFK/AYH/GL
Cette association entend promouvoir les initiatives locales en matière de protection de l’environnement, vulgariser les nouvelles technologies de l’information et la communication et lutter pour la protection du droit de l’enfant et son épanouissement.
Le représentant du préfet d’Agou, Togbui Peby V a salué à l’occasion, cette initiative et invité d’autres partenaires de développement à appuyer l’association dans ses activités afin que les hameaux les plus reculés puissent en tirer profit.
Le président de VIADUC, M. Nestor Klutsé, a pour sa part fait l’historique de son association et sollicité une collaboration de toute la population d’Agou afin que les objectifs assignés à son institution soient atteints.
Il a remercié ses partenaires canadiens pour tout ce qu’ils font pour l’association.
ATOP/TFK/AYH/GL
LA MAISON FAMILIALE DE FORMATION RURALE INSTALEE A ADETA
Kpalimé 1er juil. (ATOP)- Une nouvelle structure rurale dénommée « Maison Familiale de Formation Rurale » (MFFR) a pris corps le vendredi 27 juin à Adeta dans la sous préfecture de Kpélé-Akata au terme d’une assemblée générale qui a regroupé les membres fondateurs, des responsables d’associations sœurs et sympathisants.
Cette Maison, la vingt-cinquième du genre au Togo, est composée de neuf membres dirigés par M. Apédzi Kodjo Koku.
Elle se veut un cadre de formation et de renforcement des capacités des acteurs du monde rural en matière de production en quantité et en qualité des produits agricoles, de lutte contre la spéculation et d’initiation à la création des activités génératrices de revenus.
La cérémonie a été présidée par le représentant du sous-préfet de Kpélé-Akata, M. Maglo Yao. Celui-ci a exhorté les paysans à créer les conditions pour l’amélioration de leur vie.
Le président des MFFR des régions maritimes et des Plateaux, M. Koffi Améganvi, a loué les mérites de la formation qui, a-t-il dit, permet de réveiller les facultés et de s’ouvrir sur l’extérieur.
ATOP/AKM/SAS/GL
Cette Maison, la vingt-cinquième du genre au Togo, est composée de neuf membres dirigés par M. Apédzi Kodjo Koku.
Elle se veut un cadre de formation et de renforcement des capacités des acteurs du monde rural en matière de production en quantité et en qualité des produits agricoles, de lutte contre la spéculation et d’initiation à la création des activités génératrices de revenus.
La cérémonie a été présidée par le représentant du sous-préfet de Kpélé-Akata, M. Maglo Yao. Celui-ci a exhorté les paysans à créer les conditions pour l’amélioration de leur vie.
Le président des MFFR des régions maritimes et des Plateaux, M. Koffi Améganvi, a loué les mérites de la formation qui, a-t-il dit, permet de réveiller les facultés et de s’ouvrir sur l’extérieur.
ATOP/AKM/SAS/GL
DES ACTEURS IMPLIQUES SE SONT CONCERTES A KPALIME
Kpalimé, 1er juil. (ATOP)- Une cinquantaine d’anciens ministres du tourisme, de la Culture et des Loisirs, des experts et responsables des institutions concernés ainsi que des acteurs du secteur touristique, des conseillers préfectoraux et communaux ont échangé du 25 au 27 juillet à Kpalimé sur les stratégies de relance des activités touristiques au Togo.
Organisée par le ministère de l’Environnement, du Tourisme et des Ressources forestières, cette rencontre a permis de doter le secteur touristique d’un instrument d’orientation et d’intervention pour aider les professionnels du tourisme à franchir l’étape de l’improvisation.
Le ministre de l’Environnement, du Tourisme et des Ressources forestières, M. Issifou Okoulou-Kantchati, a dénoncé les obstacles qui freinent le financement et la valorisation du tourisme au Togo. Il a notamment cité l’absence d’une politique de développement touristique à long terme, la vétusté des infrastructures et des voies de communication.
ATOP/AY/SAS/CA
Organisée par le ministère de l’Environnement, du Tourisme et des Ressources forestières, cette rencontre a permis de doter le secteur touristique d’un instrument d’orientation et d’intervention pour aider les professionnels du tourisme à franchir l’étape de l’improvisation.
Le ministre de l’Environnement, du Tourisme et des Ressources forestières, M. Issifou Okoulou-Kantchati, a dénoncé les obstacles qui freinent le financement et la valorisation du tourisme au Togo. Il a notamment cité l’absence d’une politique de développement touristique à long terme, la vétusté des infrastructures et des voies de communication.
ATOP/AY/SAS/CA
LE PROGRAMME « WORKPLACE » LANCE A L’AEROPORT INTERNATIONAL DE NIAMTOUGOU
Niamtougou, 1er juil. (ATOP) – Un programme de prévention du VIH/SIDA dénommé « Workplace » a été lancé le 27 juin à l’intention du personnel de l’aéroport international de Niamtougou et de leurs familles.
Ce programme est initié par la direction générale de la Société Aéroportuaire de Lomé Tokoin (SALT) en collaboration avec l’ONG Population Service International (PSI) dans le cadre d’un partenariat en matière de prévention et de lutte contre le VIH en milieu du travail.
Il vise à sensibiliser et à informer les travailleurs sur leurs lieux de travail afin d’améliorer leur niveau de connaissance sur les IST, le VIH, le Sida, les services et la stigmatisation des personnes infectées ou affectées par le VIH.
La cérémonie de lancement présidée par le secrétaire général de la préfecture de Doufelgou, M. Afandalo Kokou, s’est déroulée en présence de la coordinatrice du programme « Workplace » Mme Christine Anersen Béhanzin, représentant PSI/Togo.
Pour la circonstance, la coordinatrice de « Workplace, a situé les objectifs visés par son programme et estimé que le VIH/SIDA est un problème fondamental de santé et le monde du travail doit être en première ligne dans le combat contre ce fléau. Elle a dit que la majorité des personnes vivant avec le VIH se situe entre 15 et 49 ans, donc des adultes touchés au moment où ils sont plus productifs. Mme Béhanzin a salué l’engagement et le dévouement des collaborateurs de la SALT et adressé sa reconnaissance au « Fonds Mondial » pour son soutien au gouvernement togolais dans la lutte contre le VIH/SIDA et la réduction du taux de prévalence.
La cérémonie de lancement a été également marquée par la présentation des pairs conseillers et des superviseurs de l’aéroport de Niamtougou, du point focal de la SALT-Niamtougou et d’un témoignage la vie d’une PVVIH.
Un sketch présenté par les pairs conseillers suivi des questions réponses ont mis fin à la manifestation.
ATOP/PK/KEK/MD
Ce programme est initié par la direction générale de la Société Aéroportuaire de Lomé Tokoin (SALT) en collaboration avec l’ONG Population Service International (PSI) dans le cadre d’un partenariat en matière de prévention et de lutte contre le VIH en milieu du travail.
Il vise à sensibiliser et à informer les travailleurs sur leurs lieux de travail afin d’améliorer leur niveau de connaissance sur les IST, le VIH, le Sida, les services et la stigmatisation des personnes infectées ou affectées par le VIH.
La cérémonie de lancement présidée par le secrétaire général de la préfecture de Doufelgou, M. Afandalo Kokou, s’est déroulée en présence de la coordinatrice du programme « Workplace » Mme Christine Anersen Béhanzin, représentant PSI/Togo.
Pour la circonstance, la coordinatrice de « Workplace, a situé les objectifs visés par son programme et estimé que le VIH/SIDA est un problème fondamental de santé et le monde du travail doit être en première ligne dans le combat contre ce fléau. Elle a dit que la majorité des personnes vivant avec le VIH se situe entre 15 et 49 ans, donc des adultes touchés au moment où ils sont plus productifs. Mme Béhanzin a salué l’engagement et le dévouement des collaborateurs de la SALT et adressé sa reconnaissance au « Fonds Mondial » pour son soutien au gouvernement togolais dans la lutte contre le VIH/SIDA et la réduction du taux de prévalence.
La cérémonie de lancement a été également marquée par la présentation des pairs conseillers et des superviseurs de l’aéroport de Niamtougou, du point focal de la SALT-Niamtougou et d’un témoignage la vie d’une PVVIH.
Un sketch présenté par les pairs conseillers suivi des questions réponses ont mis fin à la manifestation.
ATOP/PK/KEK/MD
L’ASSOCIATION DES FEMMES DES ENSEIGNANTS DE DOUFELGOU PREOCCUPEE PAR L’INSALUBRITE PUBLIQUE
Niamtougou 1er juil. (ATOP) – L’Association des Femmes des Enseignants de Doufelgou (AFEED) a mené du 23 au 27 juin, une opération de salubrité publique dans la commune de Niamtougou.
Au cours de cette opération, les membres de l’AFEED ont nettoyé les services administratifs et places publiques. Munies de balais, de houes, de coupe-coupe, de râteaux, de paniers, et autres outils aratoires, ces femmes ont sarclé, balayé et dégagé les tas d’immondices qui encombraient les services et les places publiques. Il s’agit de l’hôpital, des jardins de la préfecture de Doufelgou, le marché de la ville et autres services périphériques de la commune surtout dans les structures sanitaires.
La présidente de l’AFEED, Mme Kpayou Marguerite a souligné que cette opération, qui s’est déjà déroulée dans d’autres services, est l’une des séries d’activités du plan d’action de son association. Elle compte poursuivre ses actions si ses moyens, le permettent. Mme Kpayou a lancé un appel aux bonnes volontés pour un appui matériel et ou financier.
Créée le 28 juillet 2007, l’AFEED a pour objectifs de participer aux activités de développement communautaire ; de sensibiliser leurs camarades femmes sur l’éducation des enfants et la prévention des IST/VIH/SIDA. Elle œuvre pour la promotion des activités génératrices de revenus et la protection de l’environnement pour un développement humain durable.
ATOP/PK/TD/GL
Au cours de cette opération, les membres de l’AFEED ont nettoyé les services administratifs et places publiques. Munies de balais, de houes, de coupe-coupe, de râteaux, de paniers, et autres outils aratoires, ces femmes ont sarclé, balayé et dégagé les tas d’immondices qui encombraient les services et les places publiques. Il s’agit de l’hôpital, des jardins de la préfecture de Doufelgou, le marché de la ville et autres services périphériques de la commune surtout dans les structures sanitaires.
La présidente de l’AFEED, Mme Kpayou Marguerite a souligné que cette opération, qui s’est déjà déroulée dans d’autres services, est l’une des séries d’activités du plan d’action de son association. Elle compte poursuivre ses actions si ses moyens, le permettent. Mme Kpayou a lancé un appel aux bonnes volontés pour un appui matériel et ou financier.
Créée le 28 juillet 2007, l’AFEED a pour objectifs de participer aux activités de développement communautaire ; de sensibiliser leurs camarades femmes sur l’éducation des enfants et la prévention des IST/VIH/SIDA. Elle œuvre pour la promotion des activités génératrices de revenus et la protection de l’environnement pour un développement humain durable.
ATOP/PK/TD/GL
DES PROMOTEURS DE SANTE FORMES SUR LE SYSTEME DE DESINFECTION SOLAIRE DE L’EAU
Lomé, 1er juil. (ATOP)- Quatre-vingt promoteurs de santé de huit préfectures pilotes à raison de quatre dans la région de la Kara (Assoli, Binah, Doufelgou, et Kozah) et quatre dans les régions Maritime et des Plateaux (Avé, Golfe, Haho, et Kloto) ont été formés sur la désinfection de l’eau par la méthode « SODIS » (Solar Water Disinfection ou désinfection solaire de l’eau) au cours de deux ateliers tenus les 21 et 25 juin respectivement à Koka dans la préfecture de Doufelgou et à Lomé.
Organisée par l’ONG « Amitié et Action pour le Développement » (2AD), cette formation a bénéficié de l’appui des partenaires SODIS-Suisse, Cawag, des Lions clubs de Suisse et du ministère de la Santé du Togo.
Elle a permis d’apprendre aux promoteurs de santé comment rendre une eau potable grâce aux rayons ultraviolets du soleil.
Les participants ont été renseignés sur le cycle de contamination de l’eau par les microbes et les procédés habituels de sa désinfection notamment l’ébullition et l’utilisation des produits désinfectants. Les coordonnateurs du projet de traitement et d’amélioration de la qualité de l’eau par la méthode SODIS qui est en phase d’expérimentation au Togo après certains pays africains, MM. Bogra Koumana et Toussah Koffi, ont insisté sur le fait que le nouveau procédé de désinfection de l’eau vient s’ajouter aux deux autres. Son avantage ont-ils dit, c’est d’être moins coûteux, car le soleil dont on se sert est gratuitement offert par la nature. Les orateurs se sont attardés sur le comportement à adopter dans l’utilisation de la méthode SODIS, notamment l’hygiène, car reconnaissent-ils, une moindre indélicatesse rend l’eau désinfectée de nouveau insalubre.
La méthode SODIS consiste à remplir des bouteilles vides, propres non colorées d’eau minérale et portant en fond l’inscription PET ou 1, de l’eau de boisson non trouble, à bien les boucher et à les exposer au soleil pendant au moins six heures. Sous l’action des rayons ultraviolets du soleil qui pénètrent la bouteille et son contenu, 80% des microbes pathogènes qui s’y trouvaient avant l’opération, sont détruits rendant ainsi cette eau propre à la consommation.
A Niamtougou, le préfet de Doufelgou, M. Kadjama Di-Rem a remercié les organisateurs de l’atelier pour avoir choisi sa préfecture comme cadre de travail de cette formation et pour l’initiative de SODIS, première du genre au Togo. Il a exhorté les participants à être des relais de cette formation auprès de leurs communautés respectives afin de faire reculer les maladies liées à l’eau.
Du matériel de sensibilisation et des attestations ont été distribués aux participants à la fin des ateliers.
Les promoteurs de la santé ainsi formés s’occuperont dans leurs localités, de cinquante familles qu’elles suivront dans l’expérimentation de la méthode.
ATOP/KBK/TD
Organisée par l’ONG « Amitié et Action pour le Développement » (2AD), cette formation a bénéficié de l’appui des partenaires SODIS-Suisse, Cawag, des Lions clubs de Suisse et du ministère de la Santé du Togo.
Elle a permis d’apprendre aux promoteurs de santé comment rendre une eau potable grâce aux rayons ultraviolets du soleil.
Les participants ont été renseignés sur le cycle de contamination de l’eau par les microbes et les procédés habituels de sa désinfection notamment l’ébullition et l’utilisation des produits désinfectants. Les coordonnateurs du projet de traitement et d’amélioration de la qualité de l’eau par la méthode SODIS qui est en phase d’expérimentation au Togo après certains pays africains, MM. Bogra Koumana et Toussah Koffi, ont insisté sur le fait que le nouveau procédé de désinfection de l’eau vient s’ajouter aux deux autres. Son avantage ont-ils dit, c’est d’être moins coûteux, car le soleil dont on se sert est gratuitement offert par la nature. Les orateurs se sont attardés sur le comportement à adopter dans l’utilisation de la méthode SODIS, notamment l’hygiène, car reconnaissent-ils, une moindre indélicatesse rend l’eau désinfectée de nouveau insalubre.
La méthode SODIS consiste à remplir des bouteilles vides, propres non colorées d’eau minérale et portant en fond l’inscription PET ou 1, de l’eau de boisson non trouble, à bien les boucher et à les exposer au soleil pendant au moins six heures. Sous l’action des rayons ultraviolets du soleil qui pénètrent la bouteille et son contenu, 80% des microbes pathogènes qui s’y trouvaient avant l’opération, sont détruits rendant ainsi cette eau propre à la consommation.
A Niamtougou, le préfet de Doufelgou, M. Kadjama Di-Rem a remercié les organisateurs de l’atelier pour avoir choisi sa préfecture comme cadre de travail de cette formation et pour l’initiative de SODIS, première du genre au Togo. Il a exhorté les participants à être des relais de cette formation auprès de leurs communautés respectives afin de faire reculer les maladies liées à l’eau.
Du matériel de sensibilisation et des attestations ont été distribués aux participants à la fin des ateliers.
Les promoteurs de la santé ainsi formés s’occuperont dans leurs localités, de cinquante familles qu’elles suivront dans l’expérimentation de la méthode.
ATOP/KBK/TD
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