Vo, 4 déc. (ATOP)- Un séminaire-atelier a regroupé les 27 et 28 novembre à Vogan, les autorités administratives, traditionnelles et religieuses des préfectures de Vo et de Yoto sur les rites de veuvage propagateurs du VIH/SIDA.
Organisée par le Groupe de réflexion Femme Démocratie et Développement (GF2D) et l’ONG ALAFIA, avec l’appui financier du Fonds de Développement des Nations Unies pour la Femme (UNIFEM), cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet « Trois ans pour réduire les violences faites aux femmes liées aux rites de veuvage, pour une réductionde la vulnérabilité des femmes au VIH/SIDA ». Il veut amener les participants à s’engager pour une réduction, et voire une abolition des pratiques de veuvage propagatrices du VIH/SIDA.
Les résultats de l’étude sur les rites de veuvage propagateurs du VIH/SIDA et des activités de plaidoyers entreprises dans le cadre de ce projet ont été présentés aux participants.
Ils ont en outre échangé sur les problèmes liés aux droits successoraux. A cette occasion, les leaders communautaires ont réfléchi sur les pratiques coutumières favorables à l’épanouissement de la femme.
Le préfet de Vo, Kokou Agbédidi Gangan a invité l’auditoire à trouver ensemble des stratégies d’éradication ou de réduction des rites de veuvage qui exposent les femmes à l’infection au VIH/SIDA.
Auparavant, la représentante de la secrétaire générale du GF2D, Mme Amendah Rita avait présenté la situation des rites néfastes du veuvage au Togo et souhaité une prise de conscience des leaders communautaires en vue d’éradiquer les violences que subissent les femmes.
Le secrétaire général de la préfecture de Yoto, Kugnido Ablam et la chargée du projet, Antoinette Mbrou ont assisté à l’ouverture du séminaire.
ATOP/JA/KEK/CA
Organisée par le Groupe de réflexion Femme Démocratie et Développement (GF2D) et l’ONG ALAFIA, avec l’appui financier du Fonds de Développement des Nations Unies pour la Femme (UNIFEM), cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet « Trois ans pour réduire les violences faites aux femmes liées aux rites de veuvage, pour une réductionde la vulnérabilité des femmes au VIH/SIDA ». Il veut amener les participants à s’engager pour une réduction, et voire une abolition des pratiques de veuvage propagatrices du VIH/SIDA.
Les résultats de l’étude sur les rites de veuvage propagateurs du VIH/SIDA et des activités de plaidoyers entreprises dans le cadre de ce projet ont été présentés aux participants.
Ils ont en outre échangé sur les problèmes liés aux droits successoraux. A cette occasion, les leaders communautaires ont réfléchi sur les pratiques coutumières favorables à l’épanouissement de la femme.
Le préfet de Vo, Kokou Agbédidi Gangan a invité l’auditoire à trouver ensemble des stratégies d’éradication ou de réduction des rites de veuvage qui exposent les femmes à l’infection au VIH/SIDA.
Auparavant, la représentante de la secrétaire générale du GF2D, Mme Amendah Rita avait présenté la situation des rites néfastes du veuvage au Togo et souhaité une prise de conscience des leaders communautaires en vue d’éradiquer les violences que subissent les femmes.
Le secrétaire général de la préfecture de Yoto, Kugnido Ablam et la chargée du projet, Antoinette Mbrou ont assisté à l’ouverture du séminaire.
ATOP/JA/KEK/CA
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