Tabligbo, 18 déc. (ATOP) – Le préfet de Yoto, Gado Komlan Toudéka a remis le samedi 13
décembre à Togbui Sossou Frédéric Assignon III le décret le nommant chef du canton d’Ahépé à 12 km à l’ouest de Tabligbo.
C’était au cours d’une cérémonie à laquelle ont pris part plusieurs natifs de Yoto au rang
desquels, l’ancien Premier ministre, Me Yawovi Agboyibo, des députés, un collège de chefs
traditionnels sous la houlette du président des chefs traditionnels du Togo, Togbui Ewé-Fiagan
Fafagnon Agokoli IV, des amis et des sympathisants.
En remettant le décret, le préfet Toudéka a recommandé au nouveau chef du canton les bonnes
manières en sa qualité de conducteur de la population, de garant des us et coutumes, du miroir et porte-parole de la population d’Ahépé auprès du gouvernement. Il lui a souhaité du courage, le sacrifice de soi et de bons rapports avec les responsables de la préfecture et avec sa population qu’il est appelé à écouter, pour promouvoir le développement du milieu.
Le préfet Toudéka a convié la population à une franche collaboration avec le chef du canton, le respect des obligations traditionnelles et à élaborer une nouvelle dynamique de développement du milieu.
De leur côté, Togbui Agokoli IV et Togbui Soléssodji Viagbo V, président de l’Union des
chefs Traditionnels de Yoto (UCTY) ont réitéré les bons comportements d’un chef de canton et les bons rapports qui doivent exister entre la population et lui. Ils ont demandé aux natifs d’Ahépé de faire fi des querelles intestines, de promouvoir la paix, l’union et le développement.
Né le 6 février 1926 à Ahépé, Togbui Sossou Frédéric Assignon III a commencé en 1939 ses
études primaires à l’Ecole régionale du village, aujourd’hui EPP Centrale. En 1943 il quitta
l’établissement pour l’école officielle de Zébévi à Aného où il obtint son CEPE en 1945. Après 10
ans au Ghana, il revint en 1958 succédé jusqu’à ce jour à son grand frère Togbui Amouzou Assignon II décédé.
ATOP/AZ/MEK/MD
samedi 20 décembre 2008
LES ELEVES DES PREFECTURES SENSIBILISES SUR LA DIGNITE DE LA PERSONNE HUMAINE
Lomé, 18 déc. (ATOP) – La commémoration du 60 ème anniversaire de la Déclaration
Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) a été marquée dans les préfectures par les
sensibilisations des élèves sur le contenu de la Déclaration animées par des délégations du ministère des Droits de l’Homme, de la Consolidation de la Démocratie et de la Formation civique ainsi que par des associations.
Placées sous le thème « la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et le droit à
l’éducation, aux droits de l’homme et à la démocratie », ces manifestations ont pour objectif de faire connaître aux élèves les droits proclamés dans la DUDH en vue de favoriser la culture de la paix et l’éducation aux droits de l’homme et à la démocratie.
*Dans le Zio, l’association VIVA-Togo et une délégation du ministère des Droits de
l’Homme et de la Consolidation de la Démocratie ont animé les manifestations les 9, 10 et 11
décembre aux lycées de Gbatopé, de Tsévié et au CEG de Tsévié ville I et de Tsévié.
Partout où la délégation s’est rendue, le directeur de la Promotion des Droits de l’Homme,
Ewomsan Kokou a, au cours de son exposé aux lycées de Gbatopé et de Tsévié signifié que les droits de l’homme sont des droits inaliénables et inhérents à chaque être humain avec des principes selon lesquels les individus peuvent agir.
Il a fait remarquer que les droits proclamés dans la DUDH sont regroupés en deux catégories.
La première est relative aux droits civils et politiques qui englobent le droit à la vie, à la liberté, à la protection et la seconde concerne les droits sociaux, économiques et culturels constitués par le droit à la sécurité sociale, au travail et à l’éducation.
M. Ewomsan a souligné que l’éducation aux droits de l’homme vise le plein épanouissement de la personne humaine et le renforcement du respect des droits et libertés fondamentaux de l’homme en vue de favoriser la compréhension, le développement des activités et le maintien de la paix.
Au CEG ville I le président de VIVA-Togo, M. Adédjé Kwami a souligné qu’à travers cette
manifestation, son association veut contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations.
*A Aného dans les Lacs, le bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Droits
de l’Homme (HCDH), a édifié le vendredi 12 décembre des élèves lors d’une conférence-débats sur le thème « Droits de l’Homme : dignité et justice pour nous tous ».
La rencontre a rassemblé près d’une centaine d’élèves des classes de terminale de cinq
différents établissements. Elle a permis de les édifier sur entre autres la genèse des Droits de
l’Homme, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, les avancées actuelles au Togo.
La conférence a été coanimée par le point focal du HCDH-Lacs, Félix Anoumou Dossavi, et
par les professeurs de philosophie Wilson Adjévi Gérard et Agankou Emmanuel. Pour les conférenciers, les Droits de l’Homme sont l’ensemble des droits et des libertés fondamentales et inaliénables inhérents à chaque individu. Aussi ont-ils parlé de l’égalité des sexes et des races, ainsi que des divers droits reconnus à chaque individu. Ils ont affirmé qu’à côté des droits, il y a aussi des devoirs qui concourent à la garantie de la dignité humaine, à l’égalité et à la justice
sociale.
Dans le message du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, lui à cette occasion,
celui-ci a indiqué que la DUDH est un élément essentiel de l’identité même de son organisation.
Selon lui, les défis majeurs actuels sont, entre autres, la crise alimentaire et financière internationale, la destruction de l’environnement, les répressions politiques dans plusieurs pays. Il a exhorté « les plus chanceux » à ne pas rester indifférents à ces situations qui risquent de s’étendre à toute la planète.
Le préfet des Lacs, Adossi Komi Séna, a exprimé sa gratitude au HCDH et aux conférenciers
pour leur engagement à la cause des Droits de l’Homme.
*A Blitta, la délégation du ministère qui est arrivée le 11 décembre était conduite par M. Odié
Kossi qui a invité les élèves à adopter des comportements responsables traduisant la maîtrise des vertus de paix, de justice, du respect de soi et de l’autre ainsi que de l’environnement.
Des documents visant la vulgarisation de droits de l’Homme et de la démocratie en milieux
scolaires ont été remis au proviseur du lycée.
La délégation a bouclé sa tournée le vendredi 12 décembre par les Lycées de Pagala-Gare et
d’Agbandi.
*Dans l’Oti, la délégation conduite par le secrétaire général du ministère, Atcholé Essodong,
a entretenu les 11 et 12 décembre, les enseignants et élèves des lycées de Barkoissi, Gando et Mongo dans leurs établissements respectifs sur la DUDH. Dans son exposé, l’orateur a expliqué qu’au même moment où l’homme a le droit à l’éducation et autres droits, il a le devoir de mettre en pratique les vertus sociales et valeurs démocratiques relatives au respect de la loi étatique, au respect de l’autre, à la tolérance, à l’amour pour le travail, au savoir-vivre et au respect du bien public, etc.
M. Atcholé a enfin invité les enseignants et élèves à créer au sein de leurs établissements, les
clubs de droits de l’Homme à travers lesquels, ils pourront se familiariser avec les concepts de droits et de démocratie.
*A Sokodé dans le Tchaoudjo, la délégation du ministère a été conduite par le directeur de
renforcement démocratique, N’Kpako kossi Emmanuel Odé. Celui-ci a entretenu le 9 décembre au lycée moderne de Sokodé les élèves et le corps enseignant des lycées modernes et de Kpangalam, sur la DUDH et l’éducation aux droits de l’Homme et à la démocratie.
*Dans le Tône, les élèves du lycée de Nassablé et de Dapaong ont été sensibilisés le 9 décembre par la délégation du ministère conduite par M. Atcholé Essodong.
Au terme des débats, la délégation a demandé à l’assistance de traduire les valeurs des droits
de l’Homme dans son comportement de tous les jours et de vulgariser les notions reçues au sein de la communauté.
Des tableaux et des exemplaires de la déclaration ont été remis aux deux lycées pour mieux
faire connaître le contenu de la déclaration.
*A Danyi, les élèves des 2e et 3e degrés d’Apéyémé ont été sensibilisés le 10 décembre par
Pierrette d’Almeida et Zéwuzé Yao Abotchi dépêchés par le ministère.
Ils ont expliqué l’engagement du Togo dans l’édification de l’Etat de droit, au respect des
valeurs démocratiques et des idéaux des droits de l’Homme en ratifiant les instruments internationaux relatifs aux droits de l’Homme, c’est pourquoi, ont-ils dit, tout individu a le droit à la liberté d’opinion et d’expression, sans être inquiété, pourvu qu’il respecte les autres et les institutions de la République.
Le secrétaire général de la préfecture, Bedou Owoussou a remercié la délégation et exhorté les
élèves à mettre en pratique les enseignements reçus et de les diffuser afin que les populations des villes et des campagnes en soient imprégnées.
*Dans le Kloto, ce sont les élèves des lycées de Zomayi et de Kpodzi qui ont été sensibilisés
les 11 et 12 décembre par la même délégation qui s’est rendue à Danyi.
Les proviseurs des lycées sensibilisés respectivement Djiba Koudema de Zomayi et Mawulé
Lawson de Kpodzi ont félicité les initiateurs pour le choix porté sur leurs établissements et demandé aux élèves de mettre en pratiques les enseignements reçus.
ATOP/KEK/MD
Universelle des Droits de l’Homme (DUDH) a été marquée dans les préfectures par les
sensibilisations des élèves sur le contenu de la Déclaration animées par des délégations du ministère des Droits de l’Homme, de la Consolidation de la Démocratie et de la Formation civique ainsi que par des associations.
Placées sous le thème « la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme et le droit à
l’éducation, aux droits de l’homme et à la démocratie », ces manifestations ont pour objectif de faire connaître aux élèves les droits proclamés dans la DUDH en vue de favoriser la culture de la paix et l’éducation aux droits de l’homme et à la démocratie.
*Dans le Zio, l’association VIVA-Togo et une délégation du ministère des Droits de
l’Homme et de la Consolidation de la Démocratie ont animé les manifestations les 9, 10 et 11
décembre aux lycées de Gbatopé, de Tsévié et au CEG de Tsévié ville I et de Tsévié.
Partout où la délégation s’est rendue, le directeur de la Promotion des Droits de l’Homme,
Ewomsan Kokou a, au cours de son exposé aux lycées de Gbatopé et de Tsévié signifié que les droits de l’homme sont des droits inaliénables et inhérents à chaque être humain avec des principes selon lesquels les individus peuvent agir.
Il a fait remarquer que les droits proclamés dans la DUDH sont regroupés en deux catégories.
La première est relative aux droits civils et politiques qui englobent le droit à la vie, à la liberté, à la protection et la seconde concerne les droits sociaux, économiques et culturels constitués par le droit à la sécurité sociale, au travail et à l’éducation.
M. Ewomsan a souligné que l’éducation aux droits de l’homme vise le plein épanouissement de la personne humaine et le renforcement du respect des droits et libertés fondamentaux de l’homme en vue de favoriser la compréhension, le développement des activités et le maintien de la paix.
Au CEG ville I le président de VIVA-Togo, M. Adédjé Kwami a souligné qu’à travers cette
manifestation, son association veut contribuer à l’amélioration des conditions de vie des populations.
*A Aného dans les Lacs, le bureau du Haut Commissariat des Nations Unies pour les Droits
de l’Homme (HCDH), a édifié le vendredi 12 décembre des élèves lors d’une conférence-débats sur le thème « Droits de l’Homme : dignité et justice pour nous tous ».
La rencontre a rassemblé près d’une centaine d’élèves des classes de terminale de cinq
différents établissements. Elle a permis de les édifier sur entre autres la genèse des Droits de
l’Homme, la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme, les avancées actuelles au Togo.
La conférence a été coanimée par le point focal du HCDH-Lacs, Félix Anoumou Dossavi, et
par les professeurs de philosophie Wilson Adjévi Gérard et Agankou Emmanuel. Pour les conférenciers, les Droits de l’Homme sont l’ensemble des droits et des libertés fondamentales et inaliénables inhérents à chaque individu. Aussi ont-ils parlé de l’égalité des sexes et des races, ainsi que des divers droits reconnus à chaque individu. Ils ont affirmé qu’à côté des droits, il y a aussi des devoirs qui concourent à la garantie de la dignité humaine, à l’égalité et à la justice
sociale.
Dans le message du secrétaire général des Nations Unies, Ban Ki-Moon, lui à cette occasion,
celui-ci a indiqué que la DUDH est un élément essentiel de l’identité même de son organisation.
Selon lui, les défis majeurs actuels sont, entre autres, la crise alimentaire et financière internationale, la destruction de l’environnement, les répressions politiques dans plusieurs pays. Il a exhorté « les plus chanceux » à ne pas rester indifférents à ces situations qui risquent de s’étendre à toute la planète.
Le préfet des Lacs, Adossi Komi Séna, a exprimé sa gratitude au HCDH et aux conférenciers
pour leur engagement à la cause des Droits de l’Homme.
*A Blitta, la délégation du ministère qui est arrivée le 11 décembre était conduite par M. Odié
Kossi qui a invité les élèves à adopter des comportements responsables traduisant la maîtrise des vertus de paix, de justice, du respect de soi et de l’autre ainsi que de l’environnement.
Des documents visant la vulgarisation de droits de l’Homme et de la démocratie en milieux
scolaires ont été remis au proviseur du lycée.
La délégation a bouclé sa tournée le vendredi 12 décembre par les Lycées de Pagala-Gare et
d’Agbandi.
*Dans l’Oti, la délégation conduite par le secrétaire général du ministère, Atcholé Essodong,
a entretenu les 11 et 12 décembre, les enseignants et élèves des lycées de Barkoissi, Gando et Mongo dans leurs établissements respectifs sur la DUDH. Dans son exposé, l’orateur a expliqué qu’au même moment où l’homme a le droit à l’éducation et autres droits, il a le devoir de mettre en pratique les vertus sociales et valeurs démocratiques relatives au respect de la loi étatique, au respect de l’autre, à la tolérance, à l’amour pour le travail, au savoir-vivre et au respect du bien public, etc.
M. Atcholé a enfin invité les enseignants et élèves à créer au sein de leurs établissements, les
clubs de droits de l’Homme à travers lesquels, ils pourront se familiariser avec les concepts de droits et de démocratie.
*A Sokodé dans le Tchaoudjo, la délégation du ministère a été conduite par le directeur de
renforcement démocratique, N’Kpako kossi Emmanuel Odé. Celui-ci a entretenu le 9 décembre au lycée moderne de Sokodé les élèves et le corps enseignant des lycées modernes et de Kpangalam, sur la DUDH et l’éducation aux droits de l’Homme et à la démocratie.
*Dans le Tône, les élèves du lycée de Nassablé et de Dapaong ont été sensibilisés le 9 décembre par la délégation du ministère conduite par M. Atcholé Essodong.
Au terme des débats, la délégation a demandé à l’assistance de traduire les valeurs des droits
de l’Homme dans son comportement de tous les jours et de vulgariser les notions reçues au sein de la communauté.
Des tableaux et des exemplaires de la déclaration ont été remis aux deux lycées pour mieux
faire connaître le contenu de la déclaration.
*A Danyi, les élèves des 2e et 3e degrés d’Apéyémé ont été sensibilisés le 10 décembre par
Pierrette d’Almeida et Zéwuzé Yao Abotchi dépêchés par le ministère.
Ils ont expliqué l’engagement du Togo dans l’édification de l’Etat de droit, au respect des
valeurs démocratiques et des idéaux des droits de l’Homme en ratifiant les instruments internationaux relatifs aux droits de l’Homme, c’est pourquoi, ont-ils dit, tout individu a le droit à la liberté d’opinion et d’expression, sans être inquiété, pourvu qu’il respecte les autres et les institutions de la République.
Le secrétaire général de la préfecture, Bedou Owoussou a remercié la délégation et exhorté les
élèves à mettre en pratique les enseignements reçus et de les diffuser afin que les populations des villes et des campagnes en soient imprégnées.
*Dans le Kloto, ce sont les élèves des lycées de Zomayi et de Kpodzi qui ont été sensibilisés
les 11 et 12 décembre par la même délégation qui s’est rendue à Danyi.
Les proviseurs des lycées sensibilisés respectivement Djiba Koudema de Zomayi et Mawulé
Lawson de Kpodzi ont félicité les initiateurs pour le choix porté sur leurs établissements et demandé aux élèves de mettre en pratiques les enseignements reçus.
ATOP/KEK/MD
UN CULTE D’ACTION DE GRACE MARQUE LA CELEBRATION
Kpalimé, 18 déc. (ATOP)-L’Eglise Evangélique Presbytérienne du Togo (EEPT) paroisse de
Womé dans le Kloto a célébré le dimanche 14 décembre les cent ans d’implantation de cette paroisse par les pionniers de la mission de Brême en Allemagne.
Cette célébration qui a débuté par le dévoilement du monument du centenaire a été marquée
par un culte d’action de grâce concélébré par des pasteurs et des prêtres avec à leur tête le modérateur de l’EEPT, le pasteur Agbénoxévi Awanyoh.
Au cours du culte, l’histoire de cette paroisse qui a connu des épisodes difficiles et des temps
de succès a été retracée.
Le modérateur Awanyoh dans sa prédication, s’est inspiré du thème de cette célébration « Que
ta lumière brille aux yeux des Hommes » tiré de l’évangile de Jésus Christ selon saint Mathieu, au chapitre 5 versets 13 à 16. Celui-ci a rendu grâce à Dieu pour les oeuvres accomplies dans ladite paroisse. Pour lui, une année jubilaire est une année de libération, d’allégresse, de paix et d’amour. Il a fait remarquer que le texte du sermon interpelle tous les chrétiens à produire de bons fruits. Le pasteur Awanyoh a également invité son auditoire à être des artisans de la paix en se débarrassant des actes des ténèbres pour embrasser la lumière du Seigneur Jésus qui doit briller aux yeux de tous les Hommes à travers la pratique de bonnes oeuvres selon l’enseignement du Seigneur.
ATOP/AKM/MEK/PM
par un culte d’action de grâce concélébré par des pasteurs et des prêtres avec à leur tête le modérateur de l’EEPT, le pasteur Agbénoxévi Awanyoh.
Au cours du culte, l’histoire de cette paroisse qui a connu des épisodes difficiles et des temps
de succès a été retracée.
Le modérateur Awanyoh dans sa prédication, s’est inspiré du thème de cette célébration « Que
ta lumière brille aux yeux des Hommes » tiré de l’évangile de Jésus Christ selon saint Mathieu, au chapitre 5 versets 13 à 16. Celui-ci a rendu grâce à Dieu pour les oeuvres accomplies dans ladite paroisse. Pour lui, une année jubilaire est une année de libération, d’allégresse, de paix et d’amour. Il a fait remarquer que le texte du sermon interpelle tous les chrétiens à produire de bons fruits. Le pasteur Awanyoh a également invité son auditoire à être des artisans de la paix en se débarrassant des actes des ténèbres pour embrasser la lumière du Seigneur Jésus qui doit briller aux yeux de tous les Hommes à travers la pratique de bonnes oeuvres selon l’enseignement du Seigneur.
ATOP/AKM/MEK/PM
LE DEPUTE YABRE OFFRE DES SEMENCES DE CULTURES MARAICHERES AUX JARDINIERS DE LA SOUS-PREFECTURE DE CINKASSE
Cinkassé, 18 déc. (ATOP) – Les maraîchers de la sous-préfecture de Cinkassé ont bénéficié
le mardi 9 décembre de semences de cultures maraîchères.
Offert par le député Yabre Dago par le truchement de l’ONG Rafia, ce don est composé de graines de tomate, de piment, d’oignon et de gombo.
Il est estimé à 700.000F CFA et permettra aux jardiniers de Cinkassé de développer les
cultures de contre saison.
En réceptionnant ces semences, le sous-préfet de Cinkassé, Nabagou Kangoume, a au nom des
bénéficiaires, exprimé sa gratitude au donateur pour son geste qui répond aux aspirations des
jardiniers. Il a indiqué que le don vient à point nommé soutenir les efforts du gouvernement en
faveur de l’autosuffisance alimentaire au Togo. Il a demandé aux bénéficiaires d’utiliser à bon escient ces graines pour le bien-être de toute la population.
ATOP/DAK/MEK/GL
le mardi 9 décembre de semences de cultures maraîchères.
Offert par le député Yabre Dago par le truchement de l’ONG Rafia, ce don est composé de graines de tomate, de piment, d’oignon et de gombo.
Il est estimé à 700.000F CFA et permettra aux jardiniers de Cinkassé de développer les
cultures de contre saison.
En réceptionnant ces semences, le sous-préfet de Cinkassé, Nabagou Kangoume, a au nom des
bénéficiaires, exprimé sa gratitude au donateur pour son geste qui répond aux aspirations des
jardiniers. Il a indiqué que le don vient à point nommé soutenir les efforts du gouvernement en
faveur de l’autosuffisance alimentaire au Togo. Il a demandé aux bénéficiaires d’utiliser à bon escient ces graines pour le bien-être de toute la population.
ATOP/DAK/MEK/GL
L’ASSOCIATION “ASSADE” PORTEE SUR LES FONTS BAPTISMAUX A GANDO
Mango, 18 déc. (ATOP) – L’« Association pour le Soutien des Actions de Développement et de protection de l’Environnement » (ASSADE) a été portée le dimanche 14 décembre sur les fonts
baptismaux à Gando, dans la préfecture de l’Oti à l’issue d’une assemblée générale constitutive.
Celle-ci a regroupé les responsables des comités de gestion-eau, des Comités villageois de
Développement (CVD) et des comités des Parents d’Elèves (CPE) de l’Oti-sud.
Les travaux ont porté sur l’adoption des statuts et du règlement intérieur, l’élection d’un
conseil d’administration de sept membres présidé par M. Tatchani Dambolé pour trois ans et la mise en place d’un commissariat au compte.
« ASSADE » entend oeuvrer pour le développement socio-économique de l’Oti-Sud en apportant son appui aux communautés dans la conception des plans d’action pour le développement
notamment dans la production et la gestion des produits agro-pastorales et halieutiques. Elle se
propose également de contribuer à la protection de l’environnement, la scolarisation des enfants
surtout des jeunes filles et l’alphabétisation en milieu rural. Cette association sensibilisera la
population dans le cadre de la lutte contre le VIH/SIDA, le paludisme, le trafic d’enfants, le mariage forcé et recherchera auprès des partenaires locaux et internationaux des appuis techniques et financiers pour la réalisation des actions communautaires.
ATOP/KE/AYH/GL
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baptismaux à Gando, dans la préfecture de l’Oti à l’issue d’une assemblée générale constitutive.
Celle-ci a regroupé les responsables des comités de gestion-eau, des Comités villageois de
Développement (CVD) et des comités des Parents d’Elèves (CPE) de l’Oti-sud.
Les travaux ont porté sur l’adoption des statuts et du règlement intérieur, l’élection d’un
conseil d’administration de sept membres présidé par M. Tatchani Dambolé pour trois ans et la mise en place d’un commissariat au compte.
« ASSADE » entend oeuvrer pour le développement socio-économique de l’Oti-Sud en apportant son appui aux communautés dans la conception des plans d’action pour le développement
notamment dans la production et la gestion des produits agro-pastorales et halieutiques. Elle se
propose également de contribuer à la protection de l’environnement, la scolarisation des enfants
surtout des jeunes filles et l’alphabétisation en milieu rural. Cette association sensibilisera la
population dans le cadre de la lutte contre le VIH/SIDA, le paludisme, le trafic d’enfants, le mariage forcé et recherchera auprès des partenaires locaux et internationaux des appuis techniques et financiers pour la réalisation des actions communautaires.
ATOP/KE/AYH/GL
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LA POPULATION DU CANTON DE LANDA SENSIBILISEE SUR LES DANGERS DES IST/VIH/SIDA LIES AU LEVIRAT
Lomé, 18 déc. (ATOP) – Le Centre de Formation pour le Développement des Ruraux (CFDR) en collaboration avec la direction préfectorale de la Santé de la Kozah et l’ONG « Population Service International au Togo (PSI-Togo) a sensibilisé à travers un concours de danses folkloriques le lundi 8 décembre, la population de Landa à 20 km à l’est de Kara sur les dangers des IST/VIH/SIDA liés à la pratique du lévirat.
Placée sous le thème « La pratique du lévirat sans test de dépistage est source de propagation
des IST/VIH/SIDA », cette campagne vise à conscientiser la population sur les comportements à
adopter afin que la pratique du lévirat ne soit pas source de propagation du virus du SIDA et des IST au sein de leur communauté.
Les concurrents par leurs danses ont véhiculé des messages sur les conséquences du lévirat
sans test de dépistage. Ce concours a été également marqué par des sketchs animés par des Agents de la Santé Communautaire (ASC) et des jeux questions-réponses dotées de prix. Quatre groupes du canton ont participé à cette compétition. Il s’agit de Kpadja de Kadja, Ninaou de Panalo, Kondona de Landa-centre et Essekpa de Dewa classés respectivement 1er, 2e, 3eet 4e au terme de leurs prestations. Des prix composés d’enveloppes, T-shirts, de casquettes, cartons de savons et préservatifs ont été distribués aux différents concurrents.
Le chef du village de Kadja, Awadji Tchowou représentant le chef canton de Landa, a exprimé
sa gratitude au CFDR et à ses partenaires pour cette initiative qui vient appuyer les actions de lutte engagées par le gouvernement sur les IST/VIH/SIDA. Il a exhorté le public à en faire une large diffusion.
Le secrétaire général du CFDR, Pirali Kofi à de son côté exprimé la préoccupation de son
institution qui vise à promouvoir un comportement sain au sein de la communauté. Le CFDR intervient aussi dans le domaine de l’agriculture, l’élevage et le commerce.
ATOP/AP/AYH/GL
Placée sous le thème « La pratique du lévirat sans test de dépistage est source de propagation
des IST/VIH/SIDA », cette campagne vise à conscientiser la population sur les comportements à
adopter afin que la pratique du lévirat ne soit pas source de propagation du virus du SIDA et des IST au sein de leur communauté.
Les concurrents par leurs danses ont véhiculé des messages sur les conséquences du lévirat
sans test de dépistage. Ce concours a été également marqué par des sketchs animés par des Agents de la Santé Communautaire (ASC) et des jeux questions-réponses dotées de prix. Quatre groupes du canton ont participé à cette compétition. Il s’agit de Kpadja de Kadja, Ninaou de Panalo, Kondona de Landa-centre et Essekpa de Dewa classés respectivement 1er, 2e, 3eet 4e au terme de leurs prestations. Des prix composés d’enveloppes, T-shirts, de casquettes, cartons de savons et préservatifs ont été distribués aux différents concurrents.
Le chef du village de Kadja, Awadji Tchowou représentant le chef canton de Landa, a exprimé
sa gratitude au CFDR et à ses partenaires pour cette initiative qui vient appuyer les actions de lutte engagées par le gouvernement sur les IST/VIH/SIDA. Il a exhorté le public à en faire une large diffusion.
Le secrétaire général du CFDR, Pirali Kofi à de son côté exprimé la préoccupation de son
institution qui vise à promouvoir un comportement sain au sein de la communauté. Le CFDR intervient aussi dans le domaine de l’agriculture, l’élevage et le commerce.
ATOP/AP/AYH/GL
DES PROFESSIONNELS DE LA SANTE ONT RENFORCE LEURS CONNAISSANCES SUR LA PREVENTION ET LA PRISE EN CHARGE DU HANDICAP
Billta-Gare, 16 déc. (ATOP) – Dans le cadre de l’exécution du projet intitulé : « Intégration socio-économique des enfants en situation de handicap », des professionnels de la santé de Blitta ont pris part du 1er au 6 décembre à Blitta-Gare à l’atelier de formation sur « la prévention et la prise en charge du handicap ».
Cette formation qui s’inscrit dans le cadre de l’exécution du projet « Intégration socio-économique des enfants en situation de handicap » s’est déroulée en deux sessions (du 1er au 3 décembre et du 3 au 6 décembre). Elle a été initiée par les ONG ENVOL et Plan Togo. Trente-trois agents de santé des structures sanitaires pilotes de la préfecture de Blitta ont pris part à ces sessions.
Au cours des travaux, les participants ont été instruits sur le concept de handicap et ses différentes formes afin d’être capables de les dépister de façon précoce pour mieux les prévenir.
Ils ont également exploré des voies et moyens permettant d’harmoniser une stratégie de prise en charge des enfants en situation de handicap dans les centres pilotes. Plusieurs ommunications portant sur les différents types de handicaps la prévention , la prise en charge et la réadaptation à base communautaire ont permis aux bénéficiaires d’être édifiés pour mieux répondre aux attentes de l’atelier.
A l’ouverture des travaux, le chef de l’unité de programme de Plan Togo à Sotouboua, Désiré Essossinam Adjoké a rappelé le rôle du personnel de la santé dans la phase opérationnelle du projet et invité les participants à s’investir pour atteindre les objectifs escomptés.
Pour sa part, le représentant du directeur préfectoral de la Santé de Blitta, l’assistant médical, Kwami Torkoh a remercié les organisateurs pour leur initiative qui vise à améliorer les conditions de vie des handicapés.
ATOP/KA/KEK/GL
Cette formation qui s’inscrit dans le cadre de l’exécution du projet « Intégration socio-économique des enfants en situation de handicap » s’est déroulée en deux sessions (du 1er au 3 décembre et du 3 au 6 décembre). Elle a été initiée par les ONG ENVOL et Plan Togo. Trente-trois agents de santé des structures sanitaires pilotes de la préfecture de Blitta ont pris part à ces sessions.
Au cours des travaux, les participants ont été instruits sur le concept de handicap et ses différentes formes afin d’être capables de les dépister de façon précoce pour mieux les prévenir.
Ils ont également exploré des voies et moyens permettant d’harmoniser une stratégie de prise en charge des enfants en situation de handicap dans les centres pilotes. Plusieurs ommunications portant sur les différents types de handicaps la prévention , la prise en charge et la réadaptation à base communautaire ont permis aux bénéficiaires d’être édifiés pour mieux répondre aux attentes de l’atelier.
A l’ouverture des travaux, le chef de l’unité de programme de Plan Togo à Sotouboua, Désiré Essossinam Adjoké a rappelé le rôle du personnel de la santé dans la phase opérationnelle du projet et invité les participants à s’investir pour atteindre les objectifs escomptés.
Pour sa part, le représentant du directeur préfectoral de la Santé de Blitta, l’assistant médical, Kwami Torkoh a remercié les organisateurs pour leur initiative qui vise à améliorer les conditions de vie des handicapés.
ATOP/KA/KEK/GL
PLUS DE 8000 PATIENTS TRAITES PAR L’AMP
Niamtougou, 16 déc. (ATOP) – Une équipe de vingt-cinq médecins originaires de la préfecture de Doufelgou, assistée de leurs collègues de la région de la Kara a organisé du 27 novembre au 10 décembre des consultations foraines et de soins gratuits dans les treize cantons de la préfecture.
Cette campagne a été initiée par l’ « Association Médecins du Peuple » (AMP) en exécution du projet « Santé Sans Frontière » et placée sous le parrainage du président de la République Faure Gnassingbé.
Les médecins de l’AMP ont, lors des consultations, insisté sur le traitement de l’hypertension artérielle et les autres maladies cardio-vasculaires, ainsi que sur la prévention de ces maladies, la lutte contre le VIH/SIDA et le choléra. Plus de 8000 patients ont été consultés et traités gratuitement selon le président de l’ « Association Médecins du Peuple », Dr. Baragou René.
Le préfet de Doufelgou, Kadjama Di-Rem, les députés Kadjaka Kpidiba et Biolo Matchaton et le directeur préfectoral de la Santé Dr. Pkla Palakassi ont salué cette initiative qui vise amélioration de la santé des populations. Ils ont rendu hommage au chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, pour son implication personnelle dans l’organisation de ces consultations.
ATOP/PK/GL
Cette campagne a été initiée par l’ « Association Médecins du Peuple » (AMP) en exécution du projet « Santé Sans Frontière » et placée sous le parrainage du président de la République Faure Gnassingbé.
Les médecins de l’AMP ont, lors des consultations, insisté sur le traitement de l’hypertension artérielle et les autres maladies cardio-vasculaires, ainsi que sur la prévention de ces maladies, la lutte contre le VIH/SIDA et le choléra. Plus de 8000 patients ont été consultés et traités gratuitement selon le président de l’ « Association Médecins du Peuple », Dr. Baragou René.
Le préfet de Doufelgou, Kadjama Di-Rem, les députés Kadjaka Kpidiba et Biolo Matchaton et le directeur préfectoral de la Santé Dr. Pkla Palakassi ont salué cette initiative qui vise amélioration de la santé des populations. Ils ont rendu hommage au chef de l’Etat, Faure Gnassingbé, pour son implication personnelle dans l’organisation de ces consultations.
ATOP/PK/GL
DES SACS DE CEREALES SAISIS PAR LES FORCES DE L’ORDREA IGBOLOUDJA
Atakpamé, 16 déc. (ATOP)-Deux véhicules poids lourd d’immatriculation béninoise interpellés la semaine dernière avec des cargaisons de céréales destinés à l’étranger ont été présentés à la presse le 10 décembre à Atakpamé.
Au total, 240 sacs de mais, de haricot et de soja ont été saisis dans le village d’Igboloudja sur la frontière Est du Togo, dans la préfecture de l’Est- Mono.
Selon les enquêtes de la compagnie de gendarmerie des Plateaux nord, « C’est un groupe de commerçants étrangers qui, sous prétexte d’acheter des céréales au profit du Programme Alimentaire Mondial (PAM), les convoyaient en réalité pour des sociétés étrangères hors du territoire national ».
Pour le chef de la compagnie Plateaux nord, Lt Labanté Nikabou, cette opération entre dans le cadre des actions de sécurité des frontières engagées au terme de l’arrêté interministériel interdisant l’exportation illicite des céréales du pays.
Les céréales saisies ont été convoyées aux magasins de l’Agence Nationale pour la Sécurité Alimentaire d’Atakpamé. ATOP/PE/AYH/CY
CONCERTATION POUR LA MISE EN PLACE DES ANTENNES DE RENOP-TOGO DANS LES LACS ET ZIO
Lomé, 16 déc. (ATOP) – Le Réseau National des Organisations Paysannes (RENOP-Togo) a sensibilisé les unions et groupements des préfectures des Lacs et du Zio respectivement le mardi 9 décembre à Glidji et le vendredi 12 décembre à Tsévié.
Les entretiens ont pour but l’étude d’une éventualité de mise en place des antennes
préfectorales du réseau.
Au terme des discussions, deux unités de cinq membres dirigés par Atchou Théophile pour les Lacs et Agbagou Adjéoda pour le Zio ont été mis sur pied. Ils ont pour mission de continuer les tractations en vue d’élaborer des plates- formes et d’instituer les réseaux locaux. En outre, ils doivent sensibiliser les unions et faire émerger d’autres unions au sein des groupements de producteurs. Créé le 15 janvier 2004, le RENOP-Togo est implanté dans toutes les régions économiques à l’exception de la Maritime où il vient de démarrer avec l’atelier des Lacs. Il vise surtout la synergie d’action et l’échange entre les Organisations Paysannes (OP) togolaises pour mieux valoriser les expériences internes tout en favorisant la réalisation actions communes. ATOP/NG/GL
Les entretiens ont pour but l’étude d’une éventualité de mise en place des antennes
préfectorales du réseau.
Au terme des discussions, deux unités de cinq membres dirigés par Atchou Théophile pour les Lacs et Agbagou Adjéoda pour le Zio ont été mis sur pied. Ils ont pour mission de continuer les tractations en vue d’élaborer des plates- formes et d’instituer les réseaux locaux. En outre, ils doivent sensibiliser les unions et faire émerger d’autres unions au sein des groupements de producteurs. Créé le 15 janvier 2004, le RENOP-Togo est implanté dans toutes les régions économiques à l’exception de la Maritime où il vient de démarrer avec l’atelier des Lacs. Il vise surtout la synergie d’action et l’échange entre les Organisations Paysannes (OP) togolaises pour mieux valoriser les expériences internes tout en favorisant la réalisation actions communes. ATOP/NG/GL
LES PARTICIPANTS EDIFIES SUR LA CONTRIBUTION DE LA CULTUREAU DEVELOPPEMENT
Sokodé, 16 déc. (ATOP)- Un atelier de formation sur l’importance de la culture dans le développement local s’est tenu le jeudi 11 décembre à Sokodé à l’intention des présidents des délégations spéciales des communes du Togo.
Cet atelier est initié par l’Association des Rencontres Théâtrales de Sokodé (ARETHES) avec l’appui financier de l’UEMOA dans le cadre de la cinquième édition de ces rencontres théâtrales qui se déroule du 12 au 19 décembre à Sokodé. Il vise à améliorer le niveau de connaissance des participants sur l’importance de la dimension culturelle dans le développement économique puis les inciter à disposer des politiques culturelles locales intégrées aux plans de développement.
Les participants ont été instruits sur la typologie des biens et services culturels, l’élaboration des politiques culturelles et la contribution de la culture au développement économique et sociale des collectivités locales.
Le président de la délégation spéciale de la commune de Sokodé, Tchakpédéou Alassane a relevé le risque de marginalisation culturelle de l’Afrique eu égard au peu d’intérêt qu’accordent les collectivités locales aux politiques culturelles et patrimoniales dans leurs stratégies de développement par rapport aux défis jugés prioritaires de la faim, de la maladie et de la pauvreté. Il s’est réjoui de la tenue de ces assises qui, selon lui, marque un premier pas vers la recherche des solutions aux difficultés majeures dans le secteur culturel avec l’implication des collectivités locales dans la gestion et l’animation culturelle.
Le président de l’ARETHES, Teko Folly Kudunudji a souligné qu’il est aujourd’hui indéniable que le développement d’un pays passe par la culture. Ainsi, il a exprimé sa gratitude aux plus hautes autorités de l’Etat pour les nouvelles orientations données à ce secteur. Il a particulièrement remercié l’UEMOA pour son soutien financier et exhorté les bénéficiaires à valoriser les enseignements reçus pour une éclosion de l’industrie culturelle au Togo.
ATOP/KBB/MEK/CA
Cet atelier est initié par l’Association des Rencontres Théâtrales de Sokodé (ARETHES) avec l’appui financier de l’UEMOA dans le cadre de la cinquième édition de ces rencontres théâtrales qui se déroule du 12 au 19 décembre à Sokodé. Il vise à améliorer le niveau de connaissance des participants sur l’importance de la dimension culturelle dans le développement économique puis les inciter à disposer des politiques culturelles locales intégrées aux plans de développement.
Les participants ont été instruits sur la typologie des biens et services culturels, l’élaboration des politiques culturelles et la contribution de la culture au développement économique et sociale des collectivités locales.
Le président de la délégation spéciale de la commune de Sokodé, Tchakpédéou Alassane a relevé le risque de marginalisation culturelle de l’Afrique eu égard au peu d’intérêt qu’accordent les collectivités locales aux politiques culturelles et patrimoniales dans leurs stratégies de développement par rapport aux défis jugés prioritaires de la faim, de la maladie et de la pauvreté. Il s’est réjoui de la tenue de ces assises qui, selon lui, marque un premier pas vers la recherche des solutions aux difficultés majeures dans le secteur culturel avec l’implication des collectivités locales dans la gestion et l’animation culturelle.
Le président de l’ARETHES, Teko Folly Kudunudji a souligné qu’il est aujourd’hui indéniable que le développement d’un pays passe par la culture. Ainsi, il a exprimé sa gratitude aux plus hautes autorités de l’Etat pour les nouvelles orientations données à ce secteur. Il a particulièrement remercié l’UEMOA pour son soutien financier et exhorté les bénéficiaires à valoriser les enseignements reçus pour une éclosion de l’industrie culturelle au Togo.
ATOP/KBB/MEK/CA
TRENTE ANIMATEURS DES CLAC DU TOGO RENFORCENT LEURS CAPACITES A SOKODE
Sokodé, 16 déc. (ATOP)- Une trentaine d’animateurs des Centres de Lecture et d’Animation Culturelle (CLAC) du Togo ont renforcé du 9 au 12 décembre à Sokodé leurs capacités lors d’un séminaire national initié à leur intention par le ministère de la Communication et de la Culture en partenariat avec l’Organisation Internationale de la Francophonie (OIF).
Ce séminaire, le cinquième du genre, a permis aux participants de se familiariser avec l’outil informatique, les recherches par Internet, l’animation documentaire et l’identification des projets culturels dans les milieux d’implantation des centres.
Ils ont également réfléchi sur les solutions idoines aux problèmes que rencontrent
les animateurs à l’ère des nouvelles technologies de la communication.
Le préfet de Tchaoudjo, Batandéo M’Ba a salué l’existence des CLAC car ils permettent le développement de la culture locale, empêchent l’exode rurale, la délinquance, l’oisiveté et d’autres maux de la société. Il a exalté la lecture qui seule permet la défense de la personnalité et de la liberté humaine. Elle est également selon lui, le meilleur antidote contre la passivité et la vie standardisée et mécanisée d’aujourd’hui.
Auparavant, le directeur régional de la Culture du Centre Koutom Essohanam avait convié les animateurs à redynamiser les bibliothèques par une réflexion sur l’importance de la lecture dans les sociétés actuelles. Une bibliothèque mal gérée conduit à une désorganisation de la chaîne de l’animation et empêche les bénéficiaires de disposer des connaissances indispensables à leur épanouissement a-t-il déclaré.
Les Centres de Lecture et d’Animation Culturelle ont vu le jour au Togo en 1999 à la suite d’une convention signée entre l’OIF et le ministère en charge de la Culture. Les localités bénéficiaires sont Aného, Kévé, Notsé, Atakpamé, Badou, Sotouboua, Sokodé, Tchamba, Pya et Pagouda.
ATOP/MK/MEK/GL
ASSIOMTE M’BA REMPORTE LE CROSS COUNTRY ANTI SIDA DE LIASM
Badou, 16 déc. (ATOP) – Assiomté M’ba du 3e RIA de Témédja a remporté le dimanche 7 décembre à Badou, le marathon dénommé « Cross country anti Sida » de la Ligue Internationale des Affaires Sociales et Matrimoniales (LIASM).
Assiomté M’ba a bouclé les 12 km de ce marathon en 39’ 23 suivi d’Adonou Eric en
40’ 23. Mlle Atala Téma remporte les 8 km chez les filles en 37’ 49.
1700 coureurs ont participé à cette compétition initiée dans le cadre de la 21e journée mondiale de lutte contre le SIDA avec pour objectif de rompre la chaîne de transmission de ce mal.
A l’issue de la course, qui a eu pour point de chute le terrain de l’Ecole Primaire Publique de Badou, différents intervenants dont le député Adadé Koffi et le président de la Ligue de Wawa, M. Sédo Tino Justin ont invité les participants à se faire dépister pour connaître leur sérologie.
Ils ont condamné la stigmatisation et la discrimination des personnes vivant avec le VIH.
Outre des prix spéciaux pour les vainqueurs, les 30 premiers ont reçu chacun un paquet de préservatifs, un tee-shirt, des cahiers et un dépliant offert par la LIASM.
Une messe célébrée à la fin de la course au Centre Culturel Catholique de Badou a permis de collecter des dons pour le soutien des malades du VIH/SIDA.
ATOP/AK/TD/MD
Assiomté M’ba a bouclé les 12 km de ce marathon en 39’ 23 suivi d’Adonou Eric en
40’ 23. Mlle Atala Téma remporte les 8 km chez les filles en 37’ 49.
1700 coureurs ont participé à cette compétition initiée dans le cadre de la 21e journée mondiale de lutte contre le SIDA avec pour objectif de rompre la chaîne de transmission de ce mal.
A l’issue de la course, qui a eu pour point de chute le terrain de l’Ecole Primaire Publique de Badou, différents intervenants dont le député Adadé Koffi et le président de la Ligue de Wawa, M. Sédo Tino Justin ont invité les participants à se faire dépister pour connaître leur sérologie.
Ils ont condamné la stigmatisation et la discrimination des personnes vivant avec le VIH.
Outre des prix spéciaux pour les vainqueurs, les 30 premiers ont reçu chacun un paquet de préservatifs, un tee-shirt, des cahiers et un dépliant offert par la LIASM.
Une messe célébrée à la fin de la course au Centre Culturel Catholique de Badou a permis de collecter des dons pour le soutien des malades du VIH/SIDA.
ATOP/AK/TD/MD
DES MEMBRES DES SYNDICATS DE BASE DE LA CSTT FORMESA L’ELABORATION DE PROJETS
Kpalimé, 16 déc. (ATOP) – La Confédération Syndicale des Travailleurs du Togo (CSTT) a formé les 8 et 9 décembre à Kpalimé des membres de ses syndicats de base sur les techniques d’élaboration et de gestion des projets.
Cette action vise à outiller les participants pour leur permettre d’élaborer des projets
en vue de leur prise en charge individuelle.
Au cours des travaux, les participants ont rédigé des projets qu’ils ont soumis à la plénière pour appréciation. Ils ont également planché sur les éléments clés de l’évaluation d’un projet.
Le chargé des normes de l’OIT et des droits humains à la CSTT, Emmanuel Agbénou a, à cette occasion, félicité les participants pour le sérieux et l’endurance qu’ils ont affichés. Il leur a demandé de mettre en pratique les connaissances acquises pour améliorer leurs conditions de vie. ATOP/AKM/KEK/GL
Cette action vise à outiller les participants pour leur permettre d’élaborer des projets
en vue de leur prise en charge individuelle.
Au cours des travaux, les participants ont rédigé des projets qu’ils ont soumis à la plénière pour appréciation. Ils ont également planché sur les éléments clés de l’évaluation d’un projet.
Le chargé des normes de l’OIT et des droits humains à la CSTT, Emmanuel Agbénou a, à cette occasion, félicité les participants pour le sérieux et l’endurance qu’ils ont affichés. Il leur a demandé de mettre en pratique les connaissances acquises pour améliorer leurs conditions de vie. ATOP/AKM/KEK/GL
LES FEMMES DES SAVANES SENSIBILISEES SUR LA DIGNITEDE LA PERSONNE ET LA JUSTICE
Dapang, 16 déc. (ATOP) – Le Réseau Femme et Développement des Savanes (REFED) a sensibilisé les femmes de Tône sur la dignité et la justice pour tous le 11 décembre à Dapaong dans le cadre de la célébration du 60e anniversaire de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme.
Il a été appuyé par le bureau Togo du Haut Commissariat des Nations Unies aux
Droits de l’Homme.
La rencontre a pour but de sensibiliser le public de Tône et particulièrement les femmes sur l’importance du contenu de la déclaration universelle des droits de l’homme et de les conscientiser sur le respect de la personne humaine.
Le REFED a profité de l’occasion pour rappeler aux femmes leurs droits afin qu’elles puissent mieux les défendre.
La coordinatrice du réseau, Kabissa Confort a invité ses consoeurs à une mobilisation pour le respect des droits de l’homme et ceux de la femme en particulier dans la région des Savanes.
Le préfet de Tône, El Hadj Mossyamba Ali Seydou a demandé à l’assistance de sauvegarder tous les droits auxquels l’être humain aspire à savoir : le droit à la vie, à la nourriture saine, à l’éducation et à la santé.
La rencontre a pris fin avec la lecture de la déclaration universelle des droits de
l’Homme et le message du Haut commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme
suivie d’un débat.
ATOP/BB/NG/GL
Il a été appuyé par le bureau Togo du Haut Commissariat des Nations Unies aux
Droits de l’Homme.
La rencontre a pour but de sensibiliser le public de Tône et particulièrement les femmes sur l’importance du contenu de la déclaration universelle des droits de l’homme et de les conscientiser sur le respect de la personne humaine.
Le REFED a profité de l’occasion pour rappeler aux femmes leurs droits afin qu’elles puissent mieux les défendre.
La coordinatrice du réseau, Kabissa Confort a invité ses consoeurs à une mobilisation pour le respect des droits de l’homme et ceux de la femme en particulier dans la région des Savanes.
Le préfet de Tône, El Hadj Mossyamba Ali Seydou a demandé à l’assistance de sauvegarder tous les droits auxquels l’être humain aspire à savoir : le droit à la vie, à la nourriture saine, à l’éducation et à la santé.
La rencontre a pris fin avec la lecture de la déclaration universelle des droits de
l’Homme et le message du Haut commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme
suivie d’un débat.
ATOP/BB/NG/GL
L’ASSOCIATION PADHS SENSIBILISE LES POPULATIONSSUR L’INTEGRATION SOCIALE DES PERSONNES HANDICAPEES
Apéyémé, 16 déc. (ATOP) – L’association Programme d’Appui pour le Développement Humanitaire et Social (PADHS) basée à Danyi a organisée le vendredi 5 décembre à Apéyémé en collaboration avec Handicap International et la direction préfectorale de l’Action sociale, une causerie-débat sur « Les droits et la vie associative des personnes handicapées ».
Cette manifestation, se situe dans le cadre de la commémoration de la journée internationale des personnes handicapées.
Il s’agit de permettre aux personnes vivant avec un handicap de se faire entendre et connaître par la société qui souvent les ignore ou les relègue au second plan.
Dans son exposé, M. Kodzo Attisso, directeur de l’ONG PADHS/Amlamé, a rappelé certains droits des personnes handicapées notamment les droits à l’éducation, la santé, à l’emploi, etc. Il a expliqué que la société au sein de laquelle vit une personne handicapée doit lui offrir l’occasion de jouir et de partager à égalité de chance avec ses pairs valides tous les droits et devoirs ; ce qui selon lui signifie l’intégration sociale de cette personne.
Les directeurs de programmes de Handicap International et de la Fédération Togolaise des Associations de Personnes Handicapées (FETAPH) respectivement Patrick Sena et Palacbawy Katatchom ont félicité l’association PADHS pour son initiative en faveur des personnes handicapées et pris l’engagement de lui apporter leurs appuis.
Au nom des personnes handicapées de la préfecture de Danyi, Mlle Ama Aluku a remercié l’association PADHS et ses partenaires pour leurs gestes.
Elle a saisi cette occasion pour présenter des doléances au gouvernement et aux ONG, relatives entre autres à la distribution gratuite des tricycles, des béquilles, des appareils orthopédiques, aux personnes handicapées.
Pour sa part, le secrétaire général de la préfecture de Danyi, Bédou Owoussou a salué les actions des associations qui oeuvrent pour l’intégration sociale des personnes handicapées.
Il a rassuré que l’Etat ne ménagera aucun effort pour améliorer les conditions de vie des personnes handicapées, soulignant que le gouvernement a inscrit en bonne place dans sa politique sociale la cause des personnes handicapées.
Auparavant, le directeur préfectoral de l’Action sociale et le président de PADHS
respectivement Kodzo Donyo et Kodzo Aziave ont témoigné leur gratitude aux partenaires qui accompagnent le gouvernement dans sa lutte contre la marginalisation des personnes
handicapées.
ATOP/AA/KEK/GL
Cette manifestation, se situe dans le cadre de la commémoration de la journée internationale des personnes handicapées.
Il s’agit de permettre aux personnes vivant avec un handicap de se faire entendre et connaître par la société qui souvent les ignore ou les relègue au second plan.
Dans son exposé, M. Kodzo Attisso, directeur de l’ONG PADHS/Amlamé, a rappelé certains droits des personnes handicapées notamment les droits à l’éducation, la santé, à l’emploi, etc. Il a expliqué que la société au sein de laquelle vit une personne handicapée doit lui offrir l’occasion de jouir et de partager à égalité de chance avec ses pairs valides tous les droits et devoirs ; ce qui selon lui signifie l’intégration sociale de cette personne.
Les directeurs de programmes de Handicap International et de la Fédération Togolaise des Associations de Personnes Handicapées (FETAPH) respectivement Patrick Sena et Palacbawy Katatchom ont félicité l’association PADHS pour son initiative en faveur des personnes handicapées et pris l’engagement de lui apporter leurs appuis.
Au nom des personnes handicapées de la préfecture de Danyi, Mlle Ama Aluku a remercié l’association PADHS et ses partenaires pour leurs gestes.
Elle a saisi cette occasion pour présenter des doléances au gouvernement et aux ONG, relatives entre autres à la distribution gratuite des tricycles, des béquilles, des appareils orthopédiques, aux personnes handicapées.
Pour sa part, le secrétaire général de la préfecture de Danyi, Bédou Owoussou a salué les actions des associations qui oeuvrent pour l’intégration sociale des personnes handicapées.
Il a rassuré que l’Etat ne ménagera aucun effort pour améliorer les conditions de vie des personnes handicapées, soulignant que le gouvernement a inscrit en bonne place dans sa politique sociale la cause des personnes handicapées.
Auparavant, le directeur préfectoral de l’Action sociale et le président de PADHS
respectivement Kodzo Donyo et Kodzo Aziave ont témoigné leur gratitude aux partenaires qui accompagnent le gouvernement dans sa lutte contre la marginalisation des personnes
handicapées.
ATOP/AA/KEK/GL
L’USINE « BB-RIZ » CEDE AU GROUPEMENT « VAPE –RIZ » DE MANGO
Kara, 16 déc. (ATOP)- La Brasserie BB-Lomé a cédé le vendredi 5 décembre son
usine (BB-riz) de Kara au groupement Valorisation de l’Agriculture et Promotion de
l’Elevage (VAPE-riz) basé à Mango dans la préfecture de l’Oti.
Cette cérémonie de cession et d’inauguration tient lieu de partenariat entre la Brasserie BB et le groupement VAPE-riz. Elle s’est déroulée en présence du ministre d’Etat en charge de l’Industrie, de l’Artisanat et des Innovations technologiques, Pr Léopold Messan Gnininvi, des représentants des ministères du Commerce et de l’Agriculture ainsi que des autorités administratives locales, cadres et responsables d’établissements financiers et des membres du groupement bénéficiaire.
Le ministre d’Etat, Gnininvi a félicité les bénéficiaires pour leur esprit d’innovation et les a invités à honorer leur engagement vis-à-vis de la Brasserie BB pour la bonne marche du partenariat.
Le directeur général de la Brasserie BB-Lomé, Emmanuel De Tailly s’est réjoui du partenariat né entre sa société et le groupement. Il a souligné que le développement d’un pays passe par l’agriculture et surtout du partenariat entre l’agriculture et l’industrie. Selon lui, ce type de partenariat permettra à la brasserie du Togo d’être moins dépendante de l’extérieur et pourra de ce fait contribuer à l’autosuffisance alimentaire dans le pays.
Quant au président du groupement VAPE, Djabakatié Baba, il a exprimé sa gratitude aux membres de son organisation puis rendu un hommage au directeur général de la Brasserie BB-Lomé pour l’intérêt qu’il accorde au partenariat BB/VAPE-Riz et à la promotion du monde paysan. Il a salué les efforts du gouvernement qui, selon lui, met tout en oeuvre pour valoriser l’agriculture togolaise et demandé son soutien afin que le rêve du groupement de servir le marché national devienne une réalité.
Le groupement VAPE créé en mars 1999 rassemble plus de deux cents agriculteurs de la vallée de l’Oti avec une production de riz paddy de quatre mille tonnes par an. Outre le riz, le groupement cultive le maïs et le soja.
La coupure du ruban symbolique par le ministre d’Etat Gnininvi suivie de la remise des clés de l’usine par le DG de la Brasserie BB-Lomé au président du groupement et la visite de l’usine ont mis fin à cette cérémonie.
ATOP/LMO/MEK/CA
usine (BB-riz) de Kara au groupement Valorisation de l’Agriculture et Promotion de
l’Elevage (VAPE-riz) basé à Mango dans la préfecture de l’Oti.
Cette cérémonie de cession et d’inauguration tient lieu de partenariat entre la Brasserie BB et le groupement VAPE-riz. Elle s’est déroulée en présence du ministre d’Etat en charge de l’Industrie, de l’Artisanat et des Innovations technologiques, Pr Léopold Messan Gnininvi, des représentants des ministères du Commerce et de l’Agriculture ainsi que des autorités administratives locales, cadres et responsables d’établissements financiers et des membres du groupement bénéficiaire.
Le ministre d’Etat, Gnininvi a félicité les bénéficiaires pour leur esprit d’innovation et les a invités à honorer leur engagement vis-à-vis de la Brasserie BB pour la bonne marche du partenariat.
Le directeur général de la Brasserie BB-Lomé, Emmanuel De Tailly s’est réjoui du partenariat né entre sa société et le groupement. Il a souligné que le développement d’un pays passe par l’agriculture et surtout du partenariat entre l’agriculture et l’industrie. Selon lui, ce type de partenariat permettra à la brasserie du Togo d’être moins dépendante de l’extérieur et pourra de ce fait contribuer à l’autosuffisance alimentaire dans le pays.
Quant au président du groupement VAPE, Djabakatié Baba, il a exprimé sa gratitude aux membres de son organisation puis rendu un hommage au directeur général de la Brasserie BB-Lomé pour l’intérêt qu’il accorde au partenariat BB/VAPE-Riz et à la promotion du monde paysan. Il a salué les efforts du gouvernement qui, selon lui, met tout en oeuvre pour valoriser l’agriculture togolaise et demandé son soutien afin que le rêve du groupement de servir le marché national devienne une réalité.
Le groupement VAPE créé en mars 1999 rassemble plus de deux cents agriculteurs de la vallée de l’Oti avec une production de riz paddy de quatre mille tonnes par an. Outre le riz, le groupement cultive le maïs et le soja.
La coupure du ruban symbolique par le ministre d’Etat Gnininvi suivie de la remise des clés de l’usine par le DG de la Brasserie BB-Lomé au président du groupement et la visite de l’usine ont mis fin à cette cérémonie.
ATOP/LMO/MEK/CA
LE MINISTRE KEYEWA CONTACTE LES POPULATIONS DE LA BINAH
Kara, 16 déc. (ATOP)- Le ministre de la Communication et de la Culture, Georges Oulégoh Kéyéwa, natif de la Binah a effectué du 5 au 7 décembre une tournée dans les cantons de Sirka, Kémérida, Kétao, Farendè, Pessaré, Pagouda, Boufalé et Sola.
Au cours de la tournée, le ministre a sensibilisé les populations sur la politique du gouvernement fondée sur la réconciliation nationale et le développement à la base. Il a exhorté les élèves au travail bien fait et les parents à scolariser leurs enfants surtout les filles.
Partout les porte-paroles des cantons se sont déclarés satisfaits de sa visite et lui ont soumis des doléances. Au nombre de celles-ci, l’électrification, la construction de centres de santé, de ponts et la réhabilitation du marché de Kétao.
Le ministre Kéyéwa a promis d’oeuvrer avec ses collègues des départements concernés pour trouver des approches de solutions. Il était accompagné dans sa tournée du député Ataba Abalounoyou, du préfet de la Binah N’Faba N’Bighé.
ATOP/TK/NG/MD
Au cours de la tournée, le ministre a sensibilisé les populations sur la politique du gouvernement fondée sur la réconciliation nationale et le développement à la base. Il a exhorté les élèves au travail bien fait et les parents à scolariser leurs enfants surtout les filles.
Partout les porte-paroles des cantons se sont déclarés satisfaits de sa visite et lui ont soumis des doléances. Au nombre de celles-ci, l’électrification, la construction de centres de santé, de ponts et la réhabilitation du marché de Kétao.
Le ministre Kéyéwa a promis d’oeuvrer avec ses collègues des départements concernés pour trouver des approches de solutions. Il était accompagné dans sa tournée du député Ataba Abalounoyou, du préfet de la Binah N’Faba N’Bighé.
ATOP/TK/NG/MD
LE FONDS DE DEVELOPPEMENT DE LA COMMUNE D’ANEHO VALIDE
Aného, 16 déc. (ATOP) – La création du Fonds de Développement de la Commune (FDC) d’Aného a été validée le jeudi 11 décembre à Aného lors d’une cérémonie placée sous le patronage du ministère de l’Administration territoriale, de la Décentralisation et des Collectivités locales.
Ce fonds est créé par la commune d’Aného en collaboration avec le groupe Azur Développement International (ADI), un organisme privé de développement communautaire implanté dans les pays de l’UEMOA.
Il est destiné à financer le Plan de Développement de la commune (PDC) d’Aného validé le 14 avril dernier.
Ce PDC est un document de planification et de gestion, de renforcement des capacités des agents administratifs et de développement durable de la commune d’Aného. Il identifie les besoins économiques dans tous les domaines de 2008-2012 qui nécessitent un budget à révisionnel de 14. 211. 415. 000 F CFA.
Pour la mobilisation des ressources économiques et financières, l’institution privée de consultation ADI a donc été commise pour des études de faisabilité. Les résultats de cette étude ont conduit à la création du FDC. Dans le cadre de la politique de décentralisation, cette structure sera chargée de mobiliser les subventions de l’Etat, des partenaires au développement, de la commune elle-même, les redevances de diverses concessions d’activités et réalisations accordées aux opérateurs privés ainsi que les dons émanant des populations, de la diaspora. Il est habilité à négocier et à contracter auprès des banques ou institutions financières publiques ou privées, nationales ou étrangères des emprunts pour la réalisation des investissements communaux, promouvoir des activités de micro-finance et de société d’investissement à capital variable. Pour ce faire, le FDC aura son siège dans la commune et disposera d’un conseil d’administration, d’un comité consultatif, d’un directoire exécutif, d’un département technique, d’une comptabilité, d’un organe de contrôle financier et de tutelle ainsi que d’un contrôle externe.
Le préfet des Lacs, Adossi Komi Séna a invité la population d’Aného à s’investir pour la réussite du FDC, principal outil de développement dans la politique de décentralisation à la base. « Le rêve doit devenir réalité et nous n’avons pas droit à l’échec », a-t-il recommandé appelant à oeuvrer de concert avec tous les acteurs impliqués.
De leur côté, le président de la délégation spéciale de la commune d’Aného, Patrice Ayayi Ayivi et le chef traditionnel de la ville d’Aného, Togbé Savado Zankli Lawson VIII, ont exprimé leur gratitude au chef de l’Etat pour sa politique de décentralisation et aux acteurs qui ont oeuvré à la création du FDC. Ils ont félicité le groupe ADI, le ministère de l’Administration territoriale et tous ceux qui se sont impliqués pour que le FDC devienne une réalité. Ils ont demandé à l’Etat, aux partenaires en développement, aux associations et ONG, aux institutions bancaires et à la diaspora de contribuer à la réussite du FDC par leurs contributions et dons divers.
Pour leur part, le directeur régional Maritime du Développement et de l’Aménagement du Territoire, Agagah Kwam, et le président du « Holding Azur Développement International », Dékpémou Christophe ont respectivement présenté le PDC et le FDC ont indiqué que le FDC.
Le FDC est, selon eux, une réponse adéquate aux défis de développement de la commune car il constitue un cadre de mobilisation conséquente de fonds.
La remise de diplômes d’honneur à des personnalités du Bénin et du Togo, les prestations des Kélégbéto et du groupe folklorique « Guindoua » ainsi qu’une cérémonie de libation pour invoquer les mânes des ancêtres pour la réussite du FDC ont également marqués cette cérémonie.
ATOP/KAA/AYH
Le préfet des Lacs, Adossi Komi Séna a invité la population d’Aného à s’investir pour la réussite du FDC, principal outil de développement dans la politique de décentralisation à la base. « Le rêve doit devenir réalité et nous n’avons pas droit à l’échec », a-t-il recommandé appelant à oeuvrer de concert avec tous les acteurs impliqués.
De leur côté, le président de la délégation spéciale de la commune d’Aného, Patrice Ayayi Ayivi et le chef traditionnel de la ville d’Aného, Togbé Savado Zankli Lawson VIII, ont exprimé leur gratitude au chef de l’Etat pour sa politique de décentralisation et aux acteurs qui ont oeuvré à la création du FDC. Ils ont félicité le groupe ADI, le ministère de l’Administration territoriale et tous ceux qui se sont impliqués pour que le FDC devienne une réalité. Ils ont demandé à l’Etat, aux partenaires en développement, aux associations et ONG, aux institutions bancaires et à la diaspora de contribuer à la réussite du FDC par leurs contributions et dons divers.
Pour leur part, le directeur régional Maritime du Développement et de l’Aménagement du Territoire, Agagah Kwam, et le président du « Holding Azur Développement International », Dékpémou Christophe ont respectivement présenté le PDC et le FDC ont indiqué que le FDC.
Le FDC est, selon eux, une réponse adéquate aux défis de développement de la commune car il constitue un cadre de mobilisation conséquente de fonds.
La remise de diplômes d’honneur à des personnalités du Bénin et du Togo, les prestations des Kélégbéto et du groupe folklorique « Guindoua » ainsi qu’une cérémonie de libation pour invoquer les mânes des ancêtres pour la réussite du FDC ont également marqués cette cérémonie.
ATOP/KAA/AYH
L’ONG «LES ONDES DE KELEGOUGAN » OFFRE DES TABLE-BANCSAUX ECOLES PRIMAIRES DE DJETA ET D’ADAME
Aného, 16 déc. (ATOP) – L’ONG « Les ondes de Kélégougan » a affert le jeudi 11décembre des tables-bancs aux écoles primaires publiques de Djéta et d’Adamé situées respectivement à 17 et 25 km à l’est d’Aného.
Outre les deux localités de la préfecture des Lacs, l’ONG a également donné le même jour des table-bancs à l’école primaire publique de Klobatémé dans la préfecture du Golfe.
Evalués à près de 1.600.000 F CFA, les quatre-vingt tables-bancs dont 30 pour Djéta et 20 pour Adamé ont été offerts grâce à été offerts grâce l’appui financier des Ewé du Bénin, du Togo et du Ghana résidant en Italie. Le don permettra aux écoles bénéficiaires de soulager les élèves dont le nombre pléthorique empêchent les enseignants de leur octroyer des places assises suffisantes
afin de travailler dans de bonnes conditions.
Pour le secrétaire général des « Ondes de Kélégougan », Bucknor Romuald, le geste de son ONG est une contribution aux efforts du gouvernement et des acteurs en développement. Appréciant la décision de la gratuité des frais scolaires dans les cours primaires publiques, il a encouragé le corps enseignant à exceller pour la réussite des enfants malgré les conditions de travail difficiles.
M. Bucknor a également exprimé sa gratitude aux donateurs et les a encouragés à
continuer leurs aides afin de relever d’autres défis majeurs.
Pour leur part, le chef du village de Djéta, Togbé Assama Netey-Koumou XI, et le régent d’Adamé, Viho Kodjo, ont exprimé leur gratitude à leurs bienfaiteurs pour l’amélioration des conditions difficiles de scolarité de leurs enfants. Ils les ont priés de trouver également des solutions à leurs problèmes d’infrastructures scolaires et routières dégradées.
Créée en 1994 à Lomé, l’ONG « Les Ondes de Kélégougan » intervient dans le renforcement des capacités des communautés à la base pour un développement humain durable et
l’épanouissement socio-économique et culturel des populations à travers un appui à l’éducation scolaire.
ATOP/KAA/KEK
ATOP/KAA/KEK
DES LAMPADAIRES PUBLICS INAUGURES A GLIDJI
Aného, 16 déc. (ATOP) – Des lampadaires publics ont été inaugurés le jeudi 11 décembre à Glidji, localité située à 2 km au nord-est d’Aného.
Implantés sur une distance de près de 5 km, la réalisation de ce projet a coûté environ 10.000.000 de FCFA, fruit des dons volontaires du chef traditionnel Folly Bébé XV, du consul de la Turquie au Togo, Franck Sessou, de M. Michel Messan Kangni, un homme d’affaires et de plusieurs autres bonnes volontés originaires du milieu.
Le payement des redevances mensuelles à la compagnie d’électricité sera assuré grâce
aux cotisations des populations elles-mêmes collectées par le comité villageois de
développement sous la supervision du palais de Glidji.
A cette occasion, le chef traditionnel de Glidji, Gê Fiogan Sédégbé Folly Bébé XV a
exprimé la gratitude du village à tous les donateurs et aux jeunes ouvriers ayant contribué
à l’achèvement des travaux. Il a invité les siens à la protection des ouvrages et demandé à
d’autres bonnes volontés de contribuer pour étendre le réseau à d’autres coins du village.
De leur côté, les présidents des délégations spéciales de la commune d’Aného et de la préfecture des Lacs, Ayivi Ayayi Patrice et Adjakly Eklou Eha, ont indiqué que l’Etat providence n’existe plus et demandé à la population de participer volontairement à tous les projets de développement soit par une mobilisation financière ou par l’exécution des travaux communautaires.
La coupure du ruban et la mise en marche de l’éclairage ont clôturé cette manifestation.
ATOP/KAA
aux cotisations des populations elles-mêmes collectées par le comité villageois de
développement sous la supervision du palais de Glidji.
A cette occasion, le chef traditionnel de Glidji, Gê Fiogan Sédégbé Folly Bébé XV a
exprimé la gratitude du village à tous les donateurs et aux jeunes ouvriers ayant contribué
à l’achèvement des travaux. Il a invité les siens à la protection des ouvrages et demandé à
d’autres bonnes volontés de contribuer pour étendre le réseau à d’autres coins du village.
De leur côté, les présidents des délégations spéciales de la commune d’Aného et de la préfecture des Lacs, Ayivi Ayayi Patrice et Adjakly Eklou Eha, ont indiqué que l’Etat providence n’existe plus et demandé à la population de participer volontairement à tous les projets de développement soit par une mobilisation financière ou par l’exécution des travaux communautaires.
La coupure du ruban et la mise en marche de l’éclairage ont clôturé cette manifestation.
ATOP/KAA
LA MINISTRE KOUEVI AMÉDJOGBÉ A BOUCLÉ SA TOURNÉEDE PRISE DE CONTACT AU CRETFP D’ATAKPAMÉ
Atakpamé, 11 déc (ATOP)-La ministre de l’Enseignement technique et de la Formation
professionnelle, Henriette Kouévi Amédjogbé a rencontré le jeudi 4 décembre à Atakpamé le personnel du Centre Régional d’Enseignement Technique et de Formation Professionnelle (CRETFP) d’Atakpamé.
Cette étape, la dernière d’une tournée de prise de contact avec ses services à l’intérieur du pays, a permis à la ministre de s’informer des difficultés auxquelles est confronté le personnel afin de trouver des approches de solutions.
Les agents ont évoqué des problèmes relatifs au manque de fournitures et matériel didactique, au renouvellement des programmes, à la mise en place des infrastructures adaptées au centre ainsi qu’au recyclage des formateurs. Le problème des enseignants auxiliaires et l’insuffisance du personnel ont également meublé les discussions.
La ministre Amédjogbé qui a aussi visité les ateliers du centre, a félicité ses administrés pour le
travail qu’ils fournissent et a promis de trouver des solutions à leurs doléances dès l’année prochaine. Le directeur du CRETFP-Atakapmé, Bokorvi Kossi Mawulé a, présenté à la ministre et à sa suite, les différents types de formations que reçoivent les apprenants dans le centre.
ATOP/SKD/MEK/RV
professionnelle, Henriette Kouévi Amédjogbé a rencontré le jeudi 4 décembre à Atakpamé le personnel du Centre Régional d’Enseignement Technique et de Formation Professionnelle (CRETFP) d’Atakpamé.
Cette étape, la dernière d’une tournée de prise de contact avec ses services à l’intérieur du pays, a permis à la ministre de s’informer des difficultés auxquelles est confronté le personnel afin de trouver des approches de solutions.
Les agents ont évoqué des problèmes relatifs au manque de fournitures et matériel didactique, au renouvellement des programmes, à la mise en place des infrastructures adaptées au centre ainsi qu’au recyclage des formateurs. Le problème des enseignants auxiliaires et l’insuffisance du personnel ont également meublé les discussions.
La ministre Amédjogbé qui a aussi visité les ateliers du centre, a félicité ses administrés pour le
travail qu’ils fournissent et a promis de trouver des solutions à leurs doléances dès l’année prochaine. Le directeur du CRETFP-Atakapmé, Bokorvi Kossi Mawulé a, présenté à la ministre et à sa suite, les différents types de formations que reçoivent les apprenants dans le centre.
ATOP/SKD/MEK/RV
AIMSS-AFRIQUE/TOGO AU CHEVET DES MALADES DE L’OGOU ET D’AMOU
Atakpamé, 11 déc. (ATOP) – L’opération de consultation médicale gratuite démarrée le 24
novembre dans les préfectures de l’Ogou et d’Amou, sur initiative du chef de l’Etat, a pris fin le 29 novembre à Atakpamé et le 30 novembre à Amlamé.
Plusieurs équipes médicales de l’Association Internationale des Médecins pour la Promotion de
l’Education et la Santé en Afrique, (AIMES-Afrique) section Togo ont pendant une semaine, consulté et soigné gratuitement plusieurs patients des hameaux les plus reculés de ces deux préfectures.
Des médicaments ont été offerts à ces malades souffrant de maladies diverses notamment, des
maux d’yeux, d’oreilles, de gorge, de diabète, d’hypertension, d’hernie.
Selon le chef de cette mission médicale, Dr Kossi Sama, les malades ont également reçu des
conseils pour l’amélioration de leur santé et les cas chirurgicaux recensés seront pris en charge le premier trimestre 2009 au CHR d’Atakpamé.
ATOP/SKD/AYH/GL
novembre dans les préfectures de l’Ogou et d’Amou, sur initiative du chef de l’Etat, a pris fin le 29 novembre à Atakpamé et le 30 novembre à Amlamé.
Plusieurs équipes médicales de l’Association Internationale des Médecins pour la Promotion de
l’Education et la Santé en Afrique, (AIMES-Afrique) section Togo ont pendant une semaine, consulté et soigné gratuitement plusieurs patients des hameaux les plus reculés de ces deux préfectures.
Des médicaments ont été offerts à ces malades souffrant de maladies diverses notamment, des
maux d’yeux, d’oreilles, de gorge, de diabète, d’hypertension, d’hernie.
Selon le chef de cette mission médicale, Dr Kossi Sama, les malades ont également reçu des
conseils pour l’amélioration de leur santé et les cas chirurgicaux recensés seront pris en charge le premier trimestre 2009 au CHR d’Atakpamé.
ATOP/SKD/AYH/GL
jeudi 11 décembre 2008
UN ATELIER DE FORMATION DES POINTS FOCAUX DU PLAN ORSEC S’EST TENU A KPALIME
Kpalimé, 9 déc. (ATOP) – Un atelier de renforcement des capacités des acteurs opérationnels des régions Maritimes et des Plateaux impliqués dans la gestion des catastrophes au Togo s’est tenu du 3 au 5 décembre à Kpalimé.
Organisé par le gouvernement togolais, avec l’appui technique et financier du Programme de Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’atelier se situe dans le cadre du plan d’Organisation de Secours, «Plan ORSEC », mis en place pour la gestion des calamités naturelles au Togo.
La présente assise a mobilisé une soixante de participants dont des préfets, des officiers des forces de l’ordre et de sécurité, des chefs traditionnels et de services, des représentants religieux, et d’ONG des préfectures et sous-préfectures des régions concernées.
L’objectif est d’œuvrer pour une meilleure compréhension et maîtrise des différents aspects et des techniques clés de gestion des catastrophes. Aussi est-il spécifiquement question de jeter les bases d’un réseau d’acteurs afin de les familiariser avec les concepts de base, les outils, les mécanismes et les techniques de gestion au niveau régional et local.
Les participants ont partagé leurs expériences dans le domaine de la gestion des catastrophes et ont approfondi leurs connaissances sur le rôle des différents acteurs intervenant lors de ces catastrophes. Ceux-ci ont été également renseignés davantage sur les instruments disponibles pour la préparation d’une réponse dans la perspective de la mise en place du réseau.
Les participants ont discuté des thèmes, tels que « types d’aléas récurrent au Togo, effets et mesures prises pour la réduction des risques, la préparation face aux inondations », «Importance du plan de contingence dans le cadre de la préparation aux catastrophes » et « Importance de la collecte des données et de la présentation des informations utiles pour une évaluation de la situation et la transformation des priorités en projets ». Ces acteurs ont aussi planché sur les enjeux et l’importance de la coordination humanitaire et sur la relation civile-militaire dans la gestion des catastrophes.
Le préfet de Kloto, Pilakani Lémou a rendu hommage au ministre de la Sécurité et de la Protection civile pour ses efforts en faveur du renforcement de la sécurité des personnes et des biens conformément à la vision sociale du chef de l’Etat Faure Gnassingbé et a félicité tous les partenaires impliqués dans la gestion des catastrophes. Il a déclaré que c’est une nécessité pour chaque participant de tirer profit de la rencontre en faisant sien les connaissances acquises pour raviver l’espoir des populations devant toutes éventualités.
Pour sa part, la représentante du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) au Togo, Una Mac Couley, au nom du coordonnateur résident des activités opérationnelles du système des Nations Unies au Togo, a relevé l’importance de ces assises dont les acquis permettront aux bénéficiaires de donner des réponses face aux catastrophes.
ATOP/AAA/MEK/MD
Organisé par le gouvernement togolais, avec l’appui technique et financier du Programme de Nations Unies pour le Développement (PNUD), l’atelier se situe dans le cadre du plan d’Organisation de Secours, «Plan ORSEC », mis en place pour la gestion des calamités naturelles au Togo.
La présente assise a mobilisé une soixante de participants dont des préfets, des officiers des forces de l’ordre et de sécurité, des chefs traditionnels et de services, des représentants religieux, et d’ONG des préfectures et sous-préfectures des régions concernées.
L’objectif est d’œuvrer pour une meilleure compréhension et maîtrise des différents aspects et des techniques clés de gestion des catastrophes. Aussi est-il spécifiquement question de jeter les bases d’un réseau d’acteurs afin de les familiariser avec les concepts de base, les outils, les mécanismes et les techniques de gestion au niveau régional et local.
Les participants ont partagé leurs expériences dans le domaine de la gestion des catastrophes et ont approfondi leurs connaissances sur le rôle des différents acteurs intervenant lors de ces catastrophes. Ceux-ci ont été également renseignés davantage sur les instruments disponibles pour la préparation d’une réponse dans la perspective de la mise en place du réseau.
Les participants ont discuté des thèmes, tels que « types d’aléas récurrent au Togo, effets et mesures prises pour la réduction des risques, la préparation face aux inondations », «Importance du plan de contingence dans le cadre de la préparation aux catastrophes » et « Importance de la collecte des données et de la présentation des informations utiles pour une évaluation de la situation et la transformation des priorités en projets ». Ces acteurs ont aussi planché sur les enjeux et l’importance de la coordination humanitaire et sur la relation civile-militaire dans la gestion des catastrophes.
Le préfet de Kloto, Pilakani Lémou a rendu hommage au ministre de la Sécurité et de la Protection civile pour ses efforts en faveur du renforcement de la sécurité des personnes et des biens conformément à la vision sociale du chef de l’Etat Faure Gnassingbé et a félicité tous les partenaires impliqués dans la gestion des catastrophes. Il a déclaré que c’est une nécessité pour chaque participant de tirer profit de la rencontre en faisant sien les connaissances acquises pour raviver l’espoir des populations devant toutes éventualités.
Pour sa part, la représentante du Fonds des Nations Unies pour l’Enfance (UNICEF) au Togo, Una Mac Couley, au nom du coordonnateur résident des activités opérationnelles du système des Nations Unies au Togo, a relevé l’importance de ces assises dont les acquis permettront aux bénéficiaires de donner des réponses face aux catastrophes.
ATOP/AAA/MEK/MD
DES MEMBRES DU RESEAU DES OSC FORMES SUR LA CULTURE DEMOCRATIQUE
Kpalimé, 9 déc. (ATOP)- Une trentaine de membres du réseau des Organisations de la Société Civile (OSC) ont été formés les 4 et 5 décembre à Kpalimé sur la culture démocratique et les droits de l’Homme.
Initié par le Centre d’Observation et de Promotion de l’Etat de Droit (COPED) en collaboration avec l’ONG Action pour la Promotion de l’Enfant Rural (APER) et l’association des femmes pour la promotion des droits citoyens, la démocratie et le développement (Centre Sogolon), cette formation s’inscrit dans la première phase d’exécution du projet « Droits et Libertés pour Tous au Togo » (DL2T), dont les activités ont été lancées le 24 novembre à Lomé. Financé par le Fonds des Nations Unies pour la Démocratie (FNUD), le projet entend promouvoir la culture démocratique dans toutes les composantes dans la société.
La formation a permis aux participants de mieux s’informer et de comprendre le projet et de discuter de son exécution.
Les participants se sont également imprégnés de nouvelles techniques en matière d’animation civique. Ils ont aussi débattu des thèmes relatifs au travail en réseau, les atouts et exigences, la planification organisationnelle, le partage des tâches et l’animation d’une réunion.
Outre ces thèmes, les bénéficiaires ont fait des exercices pratiques d’animation leur permettant d’être mieux outillés pour leurs interventions sur le terrain.
Le président du COPED, Koffi Toussah à l’occasion, a présenté les objectifs et les actions de ce projet de deux ans.
Il a précisé qu’il permettra de réaliser les activités de sensibilisation, de formation des populations sur les thèmes de la démocratie, de la citoyenneté et des droits de l’homme à travers tout le pays, renforçant ainsi les capacités d’intervention des participants sur le terrain.
ATOP/AKS/AYH/MD
Initié par le Centre d’Observation et de Promotion de l’Etat de Droit (COPED) en collaboration avec l’ONG Action pour la Promotion de l’Enfant Rural (APER) et l’association des femmes pour la promotion des droits citoyens, la démocratie et le développement (Centre Sogolon), cette formation s’inscrit dans la première phase d’exécution du projet « Droits et Libertés pour Tous au Togo » (DL2T), dont les activités ont été lancées le 24 novembre à Lomé. Financé par le Fonds des Nations Unies pour la Démocratie (FNUD), le projet entend promouvoir la culture démocratique dans toutes les composantes dans la société.
La formation a permis aux participants de mieux s’informer et de comprendre le projet et de discuter de son exécution.
Les participants se sont également imprégnés de nouvelles techniques en matière d’animation civique. Ils ont aussi débattu des thèmes relatifs au travail en réseau, les atouts et exigences, la planification organisationnelle, le partage des tâches et l’animation d’une réunion.
Outre ces thèmes, les bénéficiaires ont fait des exercices pratiques d’animation leur permettant d’être mieux outillés pour leurs interventions sur le terrain.
Le président du COPED, Koffi Toussah à l’occasion, a présenté les objectifs et les actions de ce projet de deux ans.
Il a précisé qu’il permettra de réaliser les activités de sensibilisation, de formation des populations sur les thèmes de la démocratie, de la citoyenneté et des droits de l’homme à travers tout le pays, renforçant ainsi les capacités d’intervention des participants sur le terrain.
ATOP/AKS/AYH/MD
jeudi 4 décembre 2008
UNE UNION DES ORGANISATION PAYSANNES DE SOTOUBOUA A VU LE JOUR
Sotouboua, 4 déc. (ATOP) – L’Union Préfectorale des Organisations Paysannes de Sotouboua (UPOPS) a tenu le vendredi 28 novembre son assemblée générale constitutive à Adjengré.
Cette union est constituée de huit groupements agricoles des cantons de Aouda, Adjengré, Fazao, Titigbé et de Tchébébé.
L’objectif est la collecte des problèmes qui minent les productions agricoles, en vue de leur trouver des solutions.
Les travaux ont été consacrés à l’examen et à l’adoption des statuts de l’union et à la mise sur pied d’un conseil d’administration. Celui-ci est composé de cinq membres avec à sa tête M. Ago Bazaa Tew-Véma pour un mandat de deux ans.
La création de l’UPOPS est mue par la nécessité d’avoir une stratégie de collecte des renseignements sur les caprices saisonnières, de mécanisation de l’agriculture, d’utilisation adéquate des engrais et pesticides. Actuellement les paysans pratiquent une agriculture extensive avec des rendements médiocres faisant d’eux les premiers acheteurs sur les marchés locaux. L’union permettra aux huit groupements d’adhérer au Réseau National des Organisations Paysannes du Togo (RENOR-Togo) qui dispose des moyens pour les aider dans leurs tâches.
Les travaux de cette assise ont été ouverts par le chef canton de Titigbé, M. Tabati Bodjona Félix. Celui-ci a, au nom du préfet, souhaité que cette union réussisse dans son entreprise afin que la préfecture de Sotouboua devienne le premier grenier du Togo.
Le président d’organisation Kili Lazabalo a déploré le fait qu’un agriculteur de profession n’arrive pas à joindre les deux bouts faute d’avoir eu un bon rendement ou ayant vendu trop tôt sa récolte aux commerçants.
Le Technicien Spécialisé des Organisations Paysannes, Economiques Agricoles (TS-OPEA) à l’ICAT-Sotouboua, Nabedé Kondo Bawibadi a demandé aux membres de l’union d’être exemplaires, assidus et honnêtes pour la bonne marche de l’union.
ATOP/TK/NG/MD
Cette union est constituée de huit groupements agricoles des cantons de Aouda, Adjengré, Fazao, Titigbé et de Tchébébé.
L’objectif est la collecte des problèmes qui minent les productions agricoles, en vue de leur trouver des solutions.
Les travaux ont été consacrés à l’examen et à l’adoption des statuts de l’union et à la mise sur pied d’un conseil d’administration. Celui-ci est composé de cinq membres avec à sa tête M. Ago Bazaa Tew-Véma pour un mandat de deux ans.
La création de l’UPOPS est mue par la nécessité d’avoir une stratégie de collecte des renseignements sur les caprices saisonnières, de mécanisation de l’agriculture, d’utilisation adéquate des engrais et pesticides. Actuellement les paysans pratiquent une agriculture extensive avec des rendements médiocres faisant d’eux les premiers acheteurs sur les marchés locaux. L’union permettra aux huit groupements d’adhérer au Réseau National des Organisations Paysannes du Togo (RENOR-Togo) qui dispose des moyens pour les aider dans leurs tâches.
Les travaux de cette assise ont été ouverts par le chef canton de Titigbé, M. Tabati Bodjona Félix. Celui-ci a, au nom du préfet, souhaité que cette union réussisse dans son entreprise afin que la préfecture de Sotouboua devienne le premier grenier du Togo.
Le président d’organisation Kili Lazabalo a déploré le fait qu’un agriculteur de profession n’arrive pas à joindre les deux bouts faute d’avoir eu un bon rendement ou ayant vendu trop tôt sa récolte aux commerçants.
Le Technicien Spécialisé des Organisations Paysannes, Economiques Agricoles (TS-OPEA) à l’ICAT-Sotouboua, Nabedé Kondo Bawibadi a demandé aux membres de l’union d’être exemplaires, assidus et honnêtes pour la bonne marche de l’union.
ATOP/TK/NG/MD
DES NEO-ALPHABETES DE SOTOUBOUA ONT REÇU LEURS CERTIFICATS DE FIN DE FORMATION
Sotouboua, 4 déc. (ATOP) – Cent soixante dix-sept néo-alphabètes issus de dix villages de la préfecture de Sotouboua, ont reçu les 26 et 27 novembre leurs certificats de fin d’apprentissage. C’est à l’issue d’une formation de dix mois sur l’écriture et la lecture de la langue Kabyè couplée de l’enseignement sur l’hygiène, la santé, les MST/VIH/SIDA, les techniques agricoles et le reboisement.
La formation a été pilotée par l’ONG Education-Santé-Développement (ESD) ayant son siège à Sotouboua, avec l’appui technique et financier de la direction préfectorale et desAffaires sociales et du 5e Programme Pluriannuel de Microfinance (PPMR).
La formation a été pilotée par l’ONG Education-Santé-Développement (ESD) ayant son siège à Sotouboua, avec l’appui technique et financier de la direction préfectorale et desAffaires sociales et du 5e Programme Pluriannuel de Microfinance (PPMR).
L’objectif est de promouvoir chez des adultes analphabètes le goût de l’écriture et de lecture en langue locale. Cela leur permettra également de s’informer, de savoir compter pour éviter d’être trichés lors de la vente de leurs produits champêtres.
La remise de ces certificats a été présidée par Mme Yaye Djagne, assistante technique en appui capitalisation au 5e PPMR à Lomé.
Le directeur adjoint des Affaires sociales de Sokodé, Kpabou Kalinwou et le chef d’unité suivi accompagnement capitalisation au PPMR-Kara ont assisté à cet événement.
ATOP/TK/AYH/GL
La remise de ces certificats a été présidée par Mme Yaye Djagne, assistante technique en appui capitalisation au 5e PPMR à Lomé.
Le directeur adjoint des Affaires sociales de Sokodé, Kpabou Kalinwou et le chef d’unité suivi accompagnement capitalisation au PPMR-Kara ont assisté à cet événement.
ATOP/TK/AYH/GL
UN CENTRE DES JEUNES INAUGURE DANS LAVIE
Kpalimé, 4 déc. (ATOP) – Un centre de Jeunes à Lavié à une dizaine de km au nord de Kpalimé a été inauguré le vendredi 27 novembre par le préfet de Kloto, Lémou Pilakani. Ce centre est l’une des composantes du premier volet du projet « Santé, Education et Revenus » des jeunes de Lavié initié par l’ONG Service, Information, Logistique et Développement (SILD), avec l’appui du partenaire allemand « Chances de Vivre International » (CVI) ou Lebenschancen International.
La réalisation de ce projet qui a coûté soixante millions de F CFA vise la lutte contre les grossesses non désirées et le VIH/SIDA chez les jeunes et adolescents de 10 à 25 ans dans les cantons de Lavié, de Kpimé et d’Akata.
A cette fin, les initiateurs œuvreront pour l’introduction des notions de santé reproductive dans les écoles, le renforcement et la qualité des soins de santé et la promotion d’activités génératrices de revenus.
Le centre comporte un bâtiment avec une grande salle de réunion, une salle de conseil et d’entretien, une autre de consultation et d’examen, deux salles de livres et de lecture, une cafétéria, un bureau et un magasin avec à côté une aire polyvalente de jeux et spectacles.
Le préfet de Kloto, Lemou Pilakani a adressé sa gratitude et celle du gouvernement aux ONGs SILD et CVI pour ce don et les a rassurés que ce centre sera utilisé pour l’épanouissement de la jeunesse.
Les autres intervenants notamment le représentant du directeur général de la Santé, Dr Botchi Djababou, la présidente de « Chances de Vivre International », Mme Gudrun Eger-Harsch, le secrétaire général de SILD, Dr John Agbodjavou et le chef canton de Lavié Togbui Gbaga VII, se sont réjouis de la construction du centre qui permettra une ouverture de la jeunesse sur le monde. Ils ont demandé aux populations de prendre soin des infrastructures afin que les objectifs du projet soient atteints.
ATOP/AKA/NG/GL
A cette fin, les initiateurs œuvreront pour l’introduction des notions de santé reproductive dans les écoles, le renforcement et la qualité des soins de santé et la promotion d’activités génératrices de revenus.
Le centre comporte un bâtiment avec une grande salle de réunion, une salle de conseil et d’entretien, une autre de consultation et d’examen, deux salles de livres et de lecture, une cafétéria, un bureau et un magasin avec à côté une aire polyvalente de jeux et spectacles.
Le préfet de Kloto, Lemou Pilakani a adressé sa gratitude et celle du gouvernement aux ONGs SILD et CVI pour ce don et les a rassurés que ce centre sera utilisé pour l’épanouissement de la jeunesse.
Les autres intervenants notamment le représentant du directeur général de la Santé, Dr Botchi Djababou, la présidente de « Chances de Vivre International », Mme Gudrun Eger-Harsch, le secrétaire général de SILD, Dr John Agbodjavou et le chef canton de Lavié Togbui Gbaga VII, se sont réjouis de la construction du centre qui permettra une ouverture de la jeunesse sur le monde. Ils ont demandé aux populations de prendre soin des infrastructures afin que les objectifs du projet soient atteints.
ATOP/AKA/NG/GL
L’ASSOCIATION “GENS DES MEDIAS DE LA REGION DES SAVANES” CREEE A DAPAONG
Dapaong, 4 déc. (ATOP)- L’association Gens des Médias de la Région des Savanes (GEMESA) a été créée le samedi 29 novembre à Dapaong, à l’issue d’une assemblée générale constitutive qui a regroupé des délégués de tous les médias de proximité de la région.
Ceux-ci ont adopté les statuts et le règlement intérieur de l’association et mis en place un bureau exécutif de sept membres dirigé par M. Tiem Sounguedjoa Roger pour un mandat de deux ans.
Le préfet de Tône, El Hadj Mossyamba Ali Seydou, a salué la naissance de cette association qui va cimenter l’union et la solidarité entre les communicateurs des Savanes.
Le président élu a remercié l’assemblée pour la confiance placée en lui, promettant d’œuvrer pour la promotion et l’enracinement de l’Etat de droit en inculquant aux populations les valeurs citoyennes.
ATOP/AE/MEK/CA
Ceux-ci ont adopté les statuts et le règlement intérieur de l’association et mis en place un bureau exécutif de sept membres dirigé par M. Tiem Sounguedjoa Roger pour un mandat de deux ans.
Le préfet de Tône, El Hadj Mossyamba Ali Seydou, a salué la naissance de cette association qui va cimenter l’union et la solidarité entre les communicateurs des Savanes.
Le président élu a remercié l’assemblée pour la confiance placée en lui, promettant d’œuvrer pour la promotion et l’enracinement de l’Etat de droit en inculquant aux populations les valeurs citoyennes.
ATOP/AE/MEK/CA
LE MINISTRE DAMMIPI NOUPOKOU VISITE DES FORAGES DANS LES PREFECTURES DE TONE ET TANDJOUARE
Dapaong, 4 déc. (ATOP) – Le ministre des Mines, de l’Energie et de l’Eau, Noupokou Dammipi a visité le vendredi 28 novembre, trois forages dont deux à Waganté et à Nabagou dans les cantons de Nioukprouma et de Louanga (préfecture de Tône) et un autre, le tout premier dans le canton de Nandoga dans la préfecture de Tandjouaré.
Il s’agissait pour lui de s’assurer de l’état d’avancement des travaux de cent forages équipés de pompes à motricité humaine financés par l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) dans la région des Savanes.
L’objectif de ce projet est de contribuer à l’amélioration de conditions de vie des populations en leur fournissant de l’eau potable.
Le ministre Noupokou s’est réjoui du bon déroulement des travaux de ces deux points d’eau puis remercié les populations pour leur mobilisation et leur dévouement. Il leur a prodigué des conseils relatifs à l’entretien des forages et à la bonne gestion de l’eau, soulignant que de l’utilisation judicieuse de ces ouvrages dépendra la réalisation d’autres infrastructures.
Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude au gouvernement et à travers lui, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé pour ses efforts en faveur du bien-être des populations.
ATOP/BB/MEK/MD
Il s’agissait pour lui de s’assurer de l’état d’avancement des travaux de cent forages équipés de pompes à motricité humaine financés par l’Union Economique et Monétaire Ouest Africaine (UEMOA) dans la région des Savanes.
L’objectif de ce projet est de contribuer à l’amélioration de conditions de vie des populations en leur fournissant de l’eau potable.
Le ministre Noupokou s’est réjoui du bon déroulement des travaux de ces deux points d’eau puis remercié les populations pour leur mobilisation et leur dévouement. Il leur a prodigué des conseils relatifs à l’entretien des forages et à la bonne gestion de l’eau, soulignant que de l’utilisation judicieuse de ces ouvrages dépendra la réalisation d’autres infrastructures.
Les bénéficiaires ont exprimé leur gratitude au gouvernement et à travers lui, le chef de l’Etat Faure Gnassingbé pour ses efforts en faveur du bien-être des populations.
ATOP/BB/MEK/MD
UN CENTRE CULTUREL ISLAMIQUE INAUGURE A TABLIGBO
Tabligbo, 4 déc. (ATOP)- Le centre culturel islamique de Tabligbo a été inauguré le vendredi 28 novembre.
Bâti à l’entrée de la ville sur plus d’un hectare, ce centre a coûté globalement 25 millions de franc CFA. Il comprend une mosquée de 2000 places, une clinique, trois salles de classe de 80 élèves chacune, un logement pour l’imam, quatre toilettes et des robinets pour les ablutions.
Il servira à donner une éducation franco-arabo-islamique aux élèves et des soins médicaux aux malades sans distinction de religion. Ce centre sera également un lieu de prière.
La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence du directeur général du centre culturel islamique de Lomé, El Hadj Abdellarf Oulad Aouid, des dignitaires musulmans au Togo et du président de l’Union Musulmane du Togo, El Hadj Inoussa Bouraïma.
Celui-ci a fait l’historique de la bâtisse et remercié tous ceux qui se sont impliqués dans la construction de ce joyau notamment la Libye et l’Arabie Saoudite qui ont conjugué leurs efforts avec les musulmans d’Asie et d’Afrique pour l’expansion de l’islam dans le monde.
Il a rappelé le comportement que doit avoir un fidèle musulman et plaidé pour la tolérance pour éviter de se faire taxer de violents et d’extrémistes.
M. Bouraïma a exhorté les parents à inscrire leurs enfants à l’école pour leur réussite sociale.
L’orateur a insisté sur l’entretien du centre et sa bonne gestion et demandé à Allah de bénir ses usagers.
Avant la coupure du ruban symbolique par le président de l’Union Musulmane du Togo, l’imam principal de la grande mosquée de Tabligbo, El Hadj Gamadokou Adamou a présenté le nouvel imam, El hadj Gamadokou Mohamed Kabir qui va diriger le centre.
Le représentant du préfet, Djiffa Mawuna a exprimé la fierté de la population de Tabligbo et de Yoto d’abriter ce centre qui dispose de plusieurs atouts. Il a remercié l’organisme commun pour la création des centres culturels islamiques au monde et exhorté la population à en faire bon usage.
ATOP/AZ/KEK/CA
Bâti à l’entrée de la ville sur plus d’un hectare, ce centre a coûté globalement 25 millions de franc CFA. Il comprend une mosquée de 2000 places, une clinique, trois salles de classe de 80 élèves chacune, un logement pour l’imam, quatre toilettes et des robinets pour les ablutions.
Il servira à donner une éducation franco-arabo-islamique aux élèves et des soins médicaux aux malades sans distinction de religion. Ce centre sera également un lieu de prière.
La cérémonie d’inauguration s’est déroulée en présence du directeur général du centre culturel islamique de Lomé, El Hadj Abdellarf Oulad Aouid, des dignitaires musulmans au Togo et du président de l’Union Musulmane du Togo, El Hadj Inoussa Bouraïma.
Celui-ci a fait l’historique de la bâtisse et remercié tous ceux qui se sont impliqués dans la construction de ce joyau notamment la Libye et l’Arabie Saoudite qui ont conjugué leurs efforts avec les musulmans d’Asie et d’Afrique pour l’expansion de l’islam dans le monde.
Il a rappelé le comportement que doit avoir un fidèle musulman et plaidé pour la tolérance pour éviter de se faire taxer de violents et d’extrémistes.
M. Bouraïma a exhorté les parents à inscrire leurs enfants à l’école pour leur réussite sociale.
L’orateur a insisté sur l’entretien du centre et sa bonne gestion et demandé à Allah de bénir ses usagers.
Avant la coupure du ruban symbolique par le président de l’Union Musulmane du Togo, l’imam principal de la grande mosquée de Tabligbo, El Hadj Gamadokou Adamou a présenté le nouvel imam, El hadj Gamadokou Mohamed Kabir qui va diriger le centre.
Le représentant du préfet, Djiffa Mawuna a exprimé la fierté de la population de Tabligbo et de Yoto d’abriter ce centre qui dispose de plusieurs atouts. Il a remercié l’organisme commun pour la création des centres culturels islamiques au monde et exhorté la population à en faire bon usage.
ATOP/AZ/KEK/CA
JOURNEES PORTES OUVERTES SUR L’ALLEMAGNEA SOKODE
Sokodé, 4 déc. (ATOP) – L’Association des Stagiaires et Etudiants Togolais Revenus d’Allemagne (ASTRA) section de Sokodé et le Centre Culturel Allemand « Goethe Institut » de Lomé, ont organisé du 26 au 29 novembre à Sokodé pour la deuxième fois consécutive, des journées portes ouvertes sur l’Allemagne.
Ces journées qui s’inscrivent dans le cadre des semaines culturelles allemandes prévues du 3 octobre au 20 décembre au Togo, ont permis à la Jeunesse de Tchaoudjo de découvrir l’Allemagne et de susciter un intérêt pour la maîtrise de la langue et la culture Allemande auprès de cette jeunesse. Elles ont fait connaître ASTRA et donné des informations sur l’histoire de l’Allemagne avec le Togo.
Plusieurs manifestations sportives et culturelles notamment des matches de football, une course marathon à travers la ville de Sokodé, une conférence-débat, une projection de film, des représentations théâtrales et une soirée dansante ont meublé le programme de cette édition.
A l’occasion, le représentant du directeur du Centre Culturel Allemand « Goethe Institut », M. Séraphin Adjogah, situant l’importance de ces journées, a indiqué que le rendez-vous de Sokodé entre dans le cadre de la coopération décentralisée en vue de promouvoir le développement Aussi, a-t-il exposé aux jeunes de Tchaoudjo, les opportunités de la culture et la nécessité de s’intéresser à l’apprentissage de la langue allemande.
Le préfet de Tchaoudjo, Batandéo M’Ba s’est réjoui de la tenue de cette rencontre qui réconforte l’ASTRA et honore la préfecture de Tchaoudjo qui regorge de vestiges de l’époque coloniale allemande.
Il a salué les liens historiques qui unissent les nations allemande et togolaise.
Auparavant, le président de l’ASTRA Sokodé, M. Tchakondo Sidibé avait exprimé sa gratitude à l’Institut Goethe dont la collaboration a permis la tenue de ces assises. Il a réitéré son désir de voir se renforcer davantage les relations de partenariat entre le Togo et l’Allemagne ainsi que entre les organisations allemandes de développement et ASTRA Sokodé en vue de créer un cadre culturel à Sokodé permettant de réhabiliter les vestiges allemands dans la région Centrale.
ATOP/KBB/AYH/MDdes communautés à la base.
Ces journées qui s’inscrivent dans le cadre des semaines culturelles allemandes prévues du 3 octobre au 20 décembre au Togo, ont permis à la Jeunesse de Tchaoudjo de découvrir l’Allemagne et de susciter un intérêt pour la maîtrise de la langue et la culture Allemande auprès de cette jeunesse. Elles ont fait connaître ASTRA et donné des informations sur l’histoire de l’Allemagne avec le Togo.
Plusieurs manifestations sportives et culturelles notamment des matches de football, une course marathon à travers la ville de Sokodé, une conférence-débat, une projection de film, des représentations théâtrales et une soirée dansante ont meublé le programme de cette édition.
A l’occasion, le représentant du directeur du Centre Culturel Allemand « Goethe Institut », M. Séraphin Adjogah, situant l’importance de ces journées, a indiqué que le rendez-vous de Sokodé entre dans le cadre de la coopération décentralisée en vue de promouvoir le développement Aussi, a-t-il exposé aux jeunes de Tchaoudjo, les opportunités de la culture et la nécessité de s’intéresser à l’apprentissage de la langue allemande.
Le préfet de Tchaoudjo, Batandéo M’Ba s’est réjoui de la tenue de cette rencontre qui réconforte l’ASTRA et honore la préfecture de Tchaoudjo qui regorge de vestiges de l’époque coloniale allemande.
Il a salué les liens historiques qui unissent les nations allemande et togolaise.
Auparavant, le président de l’ASTRA Sokodé, M. Tchakondo Sidibé avait exprimé sa gratitude à l’Institut Goethe dont la collaboration a permis la tenue de ces assises. Il a réitéré son désir de voir se renforcer davantage les relations de partenariat entre le Togo et l’Allemagne ainsi que entre les organisations allemandes de développement et ASTRA Sokodé en vue de créer un cadre culturel à Sokodé permettant de réhabiliter les vestiges allemands dans la région Centrale.
ATOP/KBB/AYH/MDdes communautés à la base.
LA SECRETAIRE D’ETAT, NATHALIE BITHO A VISITE LES OEUVRES DE LA 10e FOIRE ET DE L’ONG FSF DE SOKODE
Sokodé, 4 (ATOP) – Le secrétaire d’Etat auprès du Premier ministre chargée de la Jeunesse et de l’Emploi des Jeunes, Nathalie Manzinéwé Bitho, en tournée à l’intérieur du Togo était le lundi 1er décembre à Sokodé où elle a visité les installations et les produits artisanaux de l’ONG Forge Sans Frontière (FSF) ainsi que les différents stands de la 10e foire artisanale de Sokodé.
A la Foire, Madame Bitho a visité tous les stands et apprécier le génie créateur, la dextérité et le savoir-faire des exposants du Togo et des pays voisins. Au nom du président de la République et du gouvernement elle a soutenu ceux-ci en insistant sur la culture de l’excellence, afin que les produits fabriqués soient vraiment concurrentiels non seulement sur le territoire national mais aussi au plan international.
Elle a conseillé les organisateurs et les exposants de faire en sorte que les prochaines foires artisanales connaissent un plus grand rayonnement.
Dans les différents ateliers de « Forges Sans Frontière », la secrétaire d’Etat s’est montrée également émerveillée par la gamme de matériels répondant aux besoins des mondes rural et urbain. Des charrues complètes, une presse à huile de palme, une pompe hydraulique, un concasseur de noix palmistes mais aussi des cantines, un table-banc semi-métallique, un brancard, un réchaud figurent parmi les produits de l’ONG.
Mme Bitho a demandé aux artisans de trouver des moyens et des mécanismes pour produire en série des outils et à la portée de tous et pouvant contribuer à la mécanisation de l’agriculture.
La Forge Sans Frontière (FSF) est une structure privée au service des artisans dont les activités sont orientées vers la production d’outils et de machines pour l’agriculture et les activités connexes.
ATOP/MK/NG/GL
A la Foire, Madame Bitho a visité tous les stands et apprécier le génie créateur, la dextérité et le savoir-faire des exposants du Togo et des pays voisins. Au nom du président de la République et du gouvernement elle a soutenu ceux-ci en insistant sur la culture de l’excellence, afin que les produits fabriqués soient vraiment concurrentiels non seulement sur le territoire national mais aussi au plan international.
Elle a conseillé les organisateurs et les exposants de faire en sorte que les prochaines foires artisanales connaissent un plus grand rayonnement.
Dans les différents ateliers de « Forges Sans Frontière », la secrétaire d’Etat s’est montrée également émerveillée par la gamme de matériels répondant aux besoins des mondes rural et urbain. Des charrues complètes, une presse à huile de palme, une pompe hydraulique, un concasseur de noix palmistes mais aussi des cantines, un table-banc semi-métallique, un brancard, un réchaud figurent parmi les produits de l’ONG.
Mme Bitho a demandé aux artisans de trouver des moyens et des mécanismes pour produire en série des outils et à la portée de tous et pouvant contribuer à la mécanisation de l’agriculture.
La Forge Sans Frontière (FSF) est une structure privée au service des artisans dont les activités sont orientées vers la production d’outils et de machines pour l’agriculture et les activités connexes.
ATOP/MK/NG/GL
DES LEADERS COMMUNAUTAIRES DE VO ET DE YOTO FORMES POUR ABOLIR LES RITES DE VEUVAGE PROPAGATEURS DU VIH/SIDA
Vo, 4 déc. (ATOP)- Un séminaire-atelier a regroupé les 27 et 28 novembre à Vogan, les autorités administratives, traditionnelles et religieuses des préfectures de Vo et de Yoto sur les rites de veuvage propagateurs du VIH/SIDA.
Organisée par le Groupe de réflexion Femme Démocratie et Développement (GF2D) et l’ONG ALAFIA, avec l’appui financier du Fonds de Développement des Nations Unies pour la Femme (UNIFEM), cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet « Trois ans pour réduire les violences faites aux femmes liées aux rites de veuvage, pour une réductionde la vulnérabilité des femmes au VIH/SIDA ». Il veut amener les participants à s’engager pour une réduction, et voire une abolition des pratiques de veuvage propagatrices du VIH/SIDA.
Les résultats de l’étude sur les rites de veuvage propagateurs du VIH/SIDA et des activités de plaidoyers entreprises dans le cadre de ce projet ont été présentés aux participants.
Ils ont en outre échangé sur les problèmes liés aux droits successoraux. A cette occasion, les leaders communautaires ont réfléchi sur les pratiques coutumières favorables à l’épanouissement de la femme.
Le préfet de Vo, Kokou Agbédidi Gangan a invité l’auditoire à trouver ensemble des stratégies d’éradication ou de réduction des rites de veuvage qui exposent les femmes à l’infection au VIH/SIDA.
Auparavant, la représentante de la secrétaire générale du GF2D, Mme Amendah Rita avait présenté la situation des rites néfastes du veuvage au Togo et souhaité une prise de conscience des leaders communautaires en vue d’éradiquer les violences que subissent les femmes.
Le secrétaire général de la préfecture de Yoto, Kugnido Ablam et la chargée du projet, Antoinette Mbrou ont assisté à l’ouverture du séminaire.
ATOP/JA/KEK/CA
Organisée par le Groupe de réflexion Femme Démocratie et Développement (GF2D) et l’ONG ALAFIA, avec l’appui financier du Fonds de Développement des Nations Unies pour la Femme (UNIFEM), cette rencontre s’inscrit dans le cadre du projet « Trois ans pour réduire les violences faites aux femmes liées aux rites de veuvage, pour une réductionde la vulnérabilité des femmes au VIH/SIDA ». Il veut amener les participants à s’engager pour une réduction, et voire une abolition des pratiques de veuvage propagatrices du VIH/SIDA.
Les résultats de l’étude sur les rites de veuvage propagateurs du VIH/SIDA et des activités de plaidoyers entreprises dans le cadre de ce projet ont été présentés aux participants.
Ils ont en outre échangé sur les problèmes liés aux droits successoraux. A cette occasion, les leaders communautaires ont réfléchi sur les pratiques coutumières favorables à l’épanouissement de la femme.
Le préfet de Vo, Kokou Agbédidi Gangan a invité l’auditoire à trouver ensemble des stratégies d’éradication ou de réduction des rites de veuvage qui exposent les femmes à l’infection au VIH/SIDA.
Auparavant, la représentante de la secrétaire générale du GF2D, Mme Amendah Rita avait présenté la situation des rites néfastes du veuvage au Togo et souhaité une prise de conscience des leaders communautaires en vue d’éradiquer les violences que subissent les femmes.
Le secrétaire général de la préfecture de Yoto, Kugnido Ablam et la chargée du projet, Antoinette Mbrou ont assisté à l’ouverture du séminaire.
ATOP/JA/KEK/CA
POUR LUTTER CONTRE LA PAUVRETE ET LA FAIM LA FeGAPF-VO PORTEE SUR LES FONTS BAPTISMAUX
Vogan, 4 déc. (ATOP) – La Fédération des Groupements en Action contre la Pauvreté et la Faim (FeGAPF) a été portée sur les fonts baptismaux, à l’issue de l’assemblée générale constitutive tenue le samedi 29 novembre à Vogan.
La fédération se propose d’unir tous les Groupements d’Intérêt Economique (GIE) de la préfecture de Vo, évoluant dans l’agriculture, l’élevage et la transformation des produits agricoles pour un partage d’expériences et une synergie d’actions dans la lutte contre la faim et la pauvreté. Au cours des travaux, les participants ont adopté les statuts et le règlement intérieur de leur fédération et élu un bureau du conseil d’administration de cinq membres dirigé par M. Kpotogbé Fogan pour un mandat de trois ans.
Outre ce bureau, un comité de surveillance de trois membres a été mis en place.
Le secrétaire général de la préfecture de Vo, Koupogbé Manèkpo a salué l’initiative de cette fédération et invité les participants à mettre en valeur leurs talents pour sa réussite.
La fédération se propose d’unir tous les Groupements d’Intérêt Economique (GIE) de la préfecture de Vo, évoluant dans l’agriculture, l’élevage et la transformation des produits agricoles pour un partage d’expériences et une synergie d’actions dans la lutte contre la faim et la pauvreté. Au cours des travaux, les participants ont adopté les statuts et le règlement intérieur de leur fédération et élu un bureau du conseil d’administration de cinq membres dirigé par M. Kpotogbé Fogan pour un mandat de trois ans.
Outre ce bureau, un comité de surveillance de trois membres a été mis en place.
Le secrétaire général de la préfecture de Vo, Koupogbé Manèkpo a salué l’initiative de cette fédération et invité les participants à mettre en valeur leurs talents pour sa réussite.
Le président du conseil d’administration a remercié les groupements pour leur disponibilité et les a invités à la collaboration afin de trouver ensemble les moyens de lutter contre la faim et la pauvreté.
ATOP/JA/KEK/MD
ATOP/JA/KEK/MD
mardi 2 décembre 2008
DES LEADERS COMMUNAUTAIRES FORMES SUR LES ENJEUX DE LA DECENTRALISATION
Kpalimé, 2 déc. (ATOP) – La deuxième phase du projet de formation des leaders communautaires du canton de Lavié sur les enjeux de la décentralisation s’est déroulée du 17 au 29 novembre à Kpalimé et a concerné les chefs traditionnels et religieux, les jeunes et les femmes.
A travers cette session initiée par le Centre International de Recherche Action pour un Développement Durable (CIRADD), avec l’appui du Service Allemand de Développement (ded), les organisateurs entendent accompagner les populations dans le processus de développement local.
Elle a permis de renseigner la soixantaine de participants sur les principes de la démocratie à la base et les enjeux de la décentralisation en cours au Togo. Les bénéficiaires ont été également été instruits sur l’établissement de la carte synoptique, les rôles et responsabilités des acteurs, les sources de recettes des communautés, leur mobilisation et gestion. Les conditions de réussite de la décentralisation et du développement local leur ont été aussi présentées.
A cette occasion, le directeur exécutif de CIRADD, Edoevi Agbodjan a fait valoir que cette formation permettra aux leaders communautaires du milieu d’embrasser la décentralisation avec assez de clairvoyance pour l’amorce d’un développement local durable.
ATOP/AKM/MEK/MD
A travers cette session initiée par le Centre International de Recherche Action pour un Développement Durable (CIRADD), avec l’appui du Service Allemand de Développement (ded), les organisateurs entendent accompagner les populations dans le processus de développement local.
Elle a permis de renseigner la soixantaine de participants sur les principes de la démocratie à la base et les enjeux de la décentralisation en cours au Togo. Les bénéficiaires ont été également été instruits sur l’établissement de la carte synoptique, les rôles et responsabilités des acteurs, les sources de recettes des communautés, leur mobilisation et gestion. Les conditions de réussite de la décentralisation et du développement local leur ont été aussi présentées.
A cette occasion, le directeur exécutif de CIRADD, Edoevi Agbodjan a fait valoir que cette formation permettra aux leaders communautaires du milieu d’embrasser la décentralisation avec assez de clairvoyance pour l’amorce d’un développement local durable.
ATOP/AKM/MEK/MD
DES RESPONSABLE D’ONG ET ASSOCIATIONS DE KARA INSTRUITS
Kara, 2 déc. (ATOP)-L’Union des Organisations Non Gouvernementales du Togo (U.ONG.TO), avec l’appui financier de sa partenaire suédoise « OLF Palm Center » a organisé du 25 au 27 novembre à Kara, un atelier de formation sur la création et la gestion des Activités Génératrices de Revenus (AGR) à l’intention des responsables d’ONG et des associations œuvrant dans la lutte contre le Sida et ou appuyant les groupements féminins.
Cet atelier s’inscrit dans le cadre du programme d’appui à la réduction de la prévalence du VIH/SIDA chez les filles et les femmes. Il a permis de donner aux vingt-huit délégués des connaissances en montage et gestion des AGR ; connaissances qu’ils devront restituer aux groupements féminins pour accroître les revenus de ces organisations appelées à contribuer à la prise en charge économique et sociale des femmes vivant avec le VIH/SIDA.
Pour le président du conseil d’administration de l’UONGTO, Abiyi Awakina, la propagation du Sida chez la femme est liée à sa situation économique. Selon lui, pour lutter contre ce fléau, il s’avère nécessaire de développer les perspectives économiques des femmes par le micro financement des AGR (production animale et végétale, artisanat et le petit commerce) à travers des groupements féminins, et par la transmission d’un savoir-faire (formation et alphabétisation) pour que la femme acquière les outils de l’autonomie financière et sociale.
Il a noté que les actions à caractère social et les campagnes de sensibilisation sur le Sida ne répondent toujours pas à un besoin réel et immédiat des femmes qui les rendraient moins vulnérables. C’est pourquoi, dira-t-il, les ONG membres de U.ONG.TO et leurs partenaires accordent la priorité à la mise en place d’activités tendant à améliorer la rentabilité du travail des femmes et partant à accroître leurs revenus.
Le représentant du ministère de l’Action sociale, de la Promotion de la Femme, de la Protection de l’Enfant et des Personnes âgées, Daouh Aklesso et celui de plan-Togo, Agbandja Omar ont relevé l’importance du programme précité, soulignant qu’une femme ne jouissant pas d’une autonomie financière ou n’ayant pas d’activités l’occupant régulièrement est exposée à cette pandémie. ATOP/AP/MEK/PM
Cet atelier s’inscrit dans le cadre du programme d’appui à la réduction de la prévalence du VIH/SIDA chez les filles et les femmes. Il a permis de donner aux vingt-huit délégués des connaissances en montage et gestion des AGR ; connaissances qu’ils devront restituer aux groupements féminins pour accroître les revenus de ces organisations appelées à contribuer à la prise en charge économique et sociale des femmes vivant avec le VIH/SIDA.
Pour le président du conseil d’administration de l’UONGTO, Abiyi Awakina, la propagation du Sida chez la femme est liée à sa situation économique. Selon lui, pour lutter contre ce fléau, il s’avère nécessaire de développer les perspectives économiques des femmes par le micro financement des AGR (production animale et végétale, artisanat et le petit commerce) à travers des groupements féminins, et par la transmission d’un savoir-faire (formation et alphabétisation) pour que la femme acquière les outils de l’autonomie financière et sociale.
Il a noté que les actions à caractère social et les campagnes de sensibilisation sur le Sida ne répondent toujours pas à un besoin réel et immédiat des femmes qui les rendraient moins vulnérables. C’est pourquoi, dira-t-il, les ONG membres de U.ONG.TO et leurs partenaires accordent la priorité à la mise en place d’activités tendant à améliorer la rentabilité du travail des femmes et partant à accroître leurs revenus.
Le représentant du ministère de l’Action sociale, de la Promotion de la Femme, de la Protection de l’Enfant et des Personnes âgées, Daouh Aklesso et celui de plan-Togo, Agbandja Omar ont relevé l’importance du programme précité, soulignant qu’une femme ne jouissant pas d’une autonomie financière ou n’ayant pas d’activités l’occupant régulièrement est exposée à cette pandémie. ATOP/AP/MEK/PM
DES POINT FOCAUX DU SEPTENTRION FORMES
Kara, 2 déc. (ATOP) – Une soixantaine de délégués des points focaux des régions Centrale, de la Kara et des Savanes impliqués dans la gestion des catastrophes ont pris part du 26 au 28 novembre à Kara à un atelier de renforcement de capacité organisé à leur intention par le gouvernement en collaboration avec le Programme des Nations Unies pour le Développement (PNUD).
La rencontre a permis aux participants d’échanger leurs expériences en matière de gestion des catastrophes. Ils ont également été édifiés sur leur rôle en cas de catastrophe naturelle et pris connaissance des instruments de travail. Ils ont par ailleurs convenu de rendre opérationnel au Togo le plan Organisation des Secours en cas de Catastrophe (ORSEC) et la plate forme nationale pour la prévention des catastrophes.
Le secrétaire général de la préfecture de la Kozah, Palanga Kolou Edjowou a remercié le PNUD et les partenaires qui ont aidé le Togo lors des récentes inondations survenues dans les Savanes et au sud du pays.
Auparavant, le représentant de la représentante-résidente du Système des Nations-Unies au Togo, M. Gerson Tamakloe avait convié les séminaristes à une bonne utilisation des outils acquis au cours de cet atelier. ATOP/EAE/SAS/MD
La rencontre a permis aux participants d’échanger leurs expériences en matière de gestion des catastrophes. Ils ont également été édifiés sur leur rôle en cas de catastrophe naturelle et pris connaissance des instruments de travail. Ils ont par ailleurs convenu de rendre opérationnel au Togo le plan Organisation des Secours en cas de Catastrophe (ORSEC) et la plate forme nationale pour la prévention des catastrophes.
Le secrétaire général de la préfecture de la Kozah, Palanga Kolou Edjowou a remercié le PNUD et les partenaires qui ont aidé le Togo lors des récentes inondations survenues dans les Savanes et au sud du pays.
Auparavant, le représentant de la représentante-résidente du Système des Nations-Unies au Togo, M. Gerson Tamakloe avait convié les séminaristes à une bonne utilisation des outils acquis au cours de cet atelier. ATOP/EAE/SAS/MD
DES CONSULTATIONS FORAINES DE L’ASSOCIATION MEDECINS DU PEUPLE OUVERTES A NIAMTOUGOU
Niamtougou, 2 déc. (ATOP) – Une équipe de vingt cinq médecins spécialistes et généralistes originaires de la préfecture de Doufelgou ainsi que de leurs amis étrangers regroupés au sein de « l’Association Médecins du Peuple » (AMP) consultent et soignent gratuitement depuis le 27 novembre jusqu’au 10 décembre les populations malades des treize cantons de la préfecture à l’hôpital de Niamtougou.
Cette campagne de consultations et de soins gratuits s’inscrit dans le cadre du projet « Santé sans frontière » placé sous le haut patronage du président de la République, Faure Gnassingbé qui appuie le ministère de la Santé et les députés élus dans la circonscription de Doufelgou.
Au cours des consultations et des soins l’accent sera essentiellement mis sur l’hypertension artérielle et les maladies cardio-vasculaires, leur prévention, la lutte contre le VIH/SIDA et les maladies des mains sales.
Selon le chef de l’équipe médecin cardiologue et président de l’Association « Médecin du Peuple », Dr Baragou Réné, 8000 patients à raison de 600 par canton pourront bénéficier de ces consultations et soins gratuits.
La cérémonie de lancement de cette campagne a été présidée par le préfet de Doufelgou, Kadjama Di-Rem, en présence des députés Kadjaka Komi et Bielo Matchatom, du directeur préfectoral de la Santé, Dr P’Kla Palakassi, du personnel soignant et d’une foule nombreuse de patients.
Le préfet et le directeur préfectoral de la Santé se sont félicités de cette initiative et ont remercié les accompagnateurs du processus en particulier le chef de l’Etat, parrain de l’opération qui a inscrit dans ses priorités la santé des populations. Ils ont convié les populations des différents cantons à se mobiliser pour bénéficier de ces consultations et soins destinés à améliorer leur état de santé.
ATOP/PK/KEK/MD
Cette campagne de consultations et de soins gratuits s’inscrit dans le cadre du projet « Santé sans frontière » placé sous le haut patronage du président de la République, Faure Gnassingbé qui appuie le ministère de la Santé et les députés élus dans la circonscription de Doufelgou.
Au cours des consultations et des soins l’accent sera essentiellement mis sur l’hypertension artérielle et les maladies cardio-vasculaires, leur prévention, la lutte contre le VIH/SIDA et les maladies des mains sales.
Selon le chef de l’équipe médecin cardiologue et président de l’Association « Médecin du Peuple », Dr Baragou Réné, 8000 patients à raison de 600 par canton pourront bénéficier de ces consultations et soins gratuits.
La cérémonie de lancement de cette campagne a été présidée par le préfet de Doufelgou, Kadjama Di-Rem, en présence des députés Kadjaka Komi et Bielo Matchatom, du directeur préfectoral de la Santé, Dr P’Kla Palakassi, du personnel soignant et d’une foule nombreuse de patients.
Le préfet et le directeur préfectoral de la Santé se sont félicités de cette initiative et ont remercié les accompagnateurs du processus en particulier le chef de l’Etat, parrain de l’opération qui a inscrit dans ses priorités la santé des populations. Ils ont convié les populations des différents cantons à se mobiliser pour bénéficier de ces consultations et soins destinés à améliorer leur état de santé.
ATOP/PK/KEK/MD
UNE CARAVANE ET PLUSIEURS ACTIVITES DE SENSIBILISATION ORGANISEES A LA SNPT A KPEME
Aného, 2 déc. (ATOP) – La Société Nouvelle des Phosphates du Togo (SNPT) a organisé, le 1er décembre à Kpémé, une caravane et plusieurs activités de sensibilisation pour marquer la 21e journée mondiale de lutte contre les IST/VIH/SIDA dont le thème cette année est « Leadership: mener, s’activer et responsabiliser».
La célébration de cette journée a été l’occasion pour la direction générale d’organiser des dépistages volontaires, d’ouvrir un stand d’exposition de dépliants et des préservatifs et de sensibiliser les travailleurs à travers un meeting dans l’enceinte de l’usine.
La célébration de cette journée a été l’occasion pour la direction générale d’organiser des dépistages volontaires, d’ouvrir un stand d’exposition de dépliants et des préservatifs et de sensibiliser les travailleurs à travers un meeting dans l’enceinte de l’usine.
Dans un message du directeur général de la SNPT lu par le directeur administratif et financier, Agbokou Kodjo Sényon, la direction exhorte les travailleurs à la vigilance afin de ne pas contracter le virus du VIH, car il constitue une menace permanente pour les travailleurs et leurs familles. Il a rassuré les Personne Vivant avec le VIH (PVVIH) en indiquant, selon le slogan de sa société, que « Séropositif ou pas la SNPT a besoin de vous ». Invitant les travailleurs à éviter la stigmatisation et la discrimination, il leur a demandé de soutenir leurs camarades infectés. M. Agbokou a félicité le gouvernement pour la gratuité des ARV dans la prise en charge des PVVIH ; et le comité de lutte contre les IST/VIH/SIDA de la SNPT pour ses conseils et campagne de sensibilisation. Il a exprimé la gratitude de la SNPT au PSI, PNLS, CNLS et à l’Organisation du Corridor Abidjan-Lagos (OCAL) pour leurs soutiens dans la lutte contre le VIH.
De leur côté, les membres du comité de lutte, Douga Badjadouna, Dr Pékpéli Maïrésiwa et Mme Thérèse Gnaku, ont instruit leurs collègues de service sur, entre autres, le mode de transmission et de prévention du VIH/SIDA, la nécessité de connaître son statut sérologique, la prise en charge des PVVIH au sein de la SNPT, l’efficacité des préservatifs et l’indispensable prudence dans le traitement du VIH/SIDA auprès les tradipraticiens. Ils ont convié le personnel à adopter de bons comportements par l’abstinence, la fidélité dans le couple et l’utilisation correcte des préservatifs.
Diverses questions posées par l’auditoire ont permis de les éclairer davantage sur les IST/VIH/SIDA.
Le comité de lutte contre les IST/VIH/SIDA de la SNPT se compose de quinze membres avec à sa tête le directeur général ; sept membres à l’usine de Kpémé et sept autres à la carrière de Hahotoé.
ATOP/KAA/AYH/KAA
De leur côté, les membres du comité de lutte, Douga Badjadouna, Dr Pékpéli Maïrésiwa et Mme Thérèse Gnaku, ont instruit leurs collègues de service sur, entre autres, le mode de transmission et de prévention du VIH/SIDA, la nécessité de connaître son statut sérologique, la prise en charge des PVVIH au sein de la SNPT, l’efficacité des préservatifs et l’indispensable prudence dans le traitement du VIH/SIDA auprès les tradipraticiens. Ils ont convié le personnel à adopter de bons comportements par l’abstinence, la fidélité dans le couple et l’utilisation correcte des préservatifs.
Diverses questions posées par l’auditoire ont permis de les éclairer davantage sur les IST/VIH/SIDA.
Le comité de lutte contre les IST/VIH/SIDA de la SNPT se compose de quinze membres avec à sa tête le directeur général ; sept membres à l’usine de Kpémé et sept autres à la carrière de Hahotoé.
ATOP/KAA/AYH/KAA
LE PREFET A SENSIBILISE LES ELEVES DU CEG ET DU LYCEE D’AGOU GADZEPE
Gadzépé, 2 déc. (ATOP) – Le préfet d’Agou, Nounyava Kokou, accompagné du président préfectoral du conseil de la jeunesse, a sensibilisé le jeudi 27 novembre les élèves du CEG et de lycée d’Agou Gadzépé sur les conditions d’obtention du certificat de nationalité togolaise.
Le préfet a fait remarquer que nombreux sont les élèves qui n’ont pas de certificat de nationalité togolaise et éprouvent d’énormes difficultés à l’obtenir.
Il les a alors informés sur les conditions d’obtention de cette pièce importante et les a exhortés à commencer dès à présent les démarches. Le préfet a prodigué des conseils aux élèves, leur demandant de bien travailler et de respecter les règlements scolaires en vigueur.
Pour sa part, le président préfectoral du Conseil de la jeunesse, Tossou Yawovi a édifié les élèves, sur l’existence de sa structure et expliqué qu’il est un cadre de concertation des organisations de la jeunesse mis sur pied par le gouvernement afin de promouvoir le développement des organisations des jeunes.
Le proviseur du lycée d’Agou, Siba Boukpata et le directeur du CEG Agou Gare Akobi Salami ont remercié le préfet pour cette initiative et surtout pour l’intérêt qu’il porte à l’égard de la jeunesse.
ATOP/AKA/MEK/GL
Le préfet a fait remarquer que nombreux sont les élèves qui n’ont pas de certificat de nationalité togolaise et éprouvent d’énormes difficultés à l’obtenir.
Il les a alors informés sur les conditions d’obtention de cette pièce importante et les a exhortés à commencer dès à présent les démarches. Le préfet a prodigué des conseils aux élèves, leur demandant de bien travailler et de respecter les règlements scolaires en vigueur.
Pour sa part, le président préfectoral du Conseil de la jeunesse, Tossou Yawovi a édifié les élèves, sur l’existence de sa structure et expliqué qu’il est un cadre de concertation des organisations de la jeunesse mis sur pied par le gouvernement afin de promouvoir le développement des organisations des jeunes.
Le proviseur du lycée d’Agou, Siba Boukpata et le directeur du CEG Agou Gare Akobi Salami ont remercié le préfet pour cette initiative et surtout pour l’intérêt qu’il porte à l’égard de la jeunesse.
ATOP/AKA/MEK/GL
LA POPULATION DE SOBORTOTI SENSIBILISEE SUR LES VIOLENCES FAITES AUX FEMMES
Dapaong, 2 déc. (ATOP) – L’association Réveil de la Femme (RF) en collaboration avec la direction régionale de l’Action sociale des Savanes et le réseau des Organisations Féminines de l’Afrique Francophone (ROFAF) a sensibilisé le mercredi 27 novembre la population du village de Sobortoti, dans la préfecture de Tône sur les violences faites aux femmes.
Cette séance de sensibilisation, dont le thème est « halte aux violences à l’égard des femmes », vise à impliquer la population de ce village dans la lutte contre ce phénomène. La présidente de RF, animatrice de la rencontre, Irène RF femmes comme tout acte infligeant un traumatisme
physique, sexuel et psychologique à la femme ; énuméré les différents types de violences à savoir les violences physiques, psychologiques, morales et sexuelles. Elle a mis aussi en exergue les violences économiques et institutionnelles qui reflètent les rapports sociaux entre les genres.
L’oratrice a entretenu l’assistance sur les causes culturelles, religieuses, économiques des violences faites aux femmes puis insisté sur les conséquences de ces souffrances infligées et des sévices imposés aux femmes.
A l’issue des débats, l’assistance a échangé sur les approches de solutions pour mettre fin aux violences faites aux femmes.
La députée Kpakpabia Arzouma, prenant part à la sensibilisation, a entretenu le public sur l’importance de la scolarisation des jeunes filles, exhortant les parents à inscrire tous leurs enfants à l’école. ATOP/AE/AYH/GLMoatre a défini les violences à l’égard des
Cette séance de sensibilisation, dont le thème est « halte aux violences à l’égard des femmes », vise à impliquer la population de ce village dans la lutte contre ce phénomène. La présidente de RF, animatrice de la rencontre, Irène RF femmes comme tout acte infligeant un traumatisme
physique, sexuel et psychologique à la femme ; énuméré les différents types de violences à savoir les violences physiques, psychologiques, morales et sexuelles. Elle a mis aussi en exergue les violences économiques et institutionnelles qui reflètent les rapports sociaux entre les genres.
L’oratrice a entretenu l’assistance sur les causes culturelles, religieuses, économiques des violences faites aux femmes puis insisté sur les conséquences de ces souffrances infligées et des sévices imposés aux femmes.
A l’issue des débats, l’assistance a échangé sur les approches de solutions pour mettre fin aux violences faites aux femmes.
La députée Kpakpabia Arzouma, prenant part à la sensibilisation, a entretenu le public sur l’importance de la scolarisation des jeunes filles, exhortant les parents à inscrire tous leurs enfants à l’école. ATOP/AE/AYH/GLMoatre a défini les violences à l’égard des
LE LYCEE DE BAFILO BENEFICIE D’UNE PORTION DE TERRE DE LA COLLECTIVITE LOCALE
Bafilo, 2 déc. (ATOP) – Les propriétaires terriens de Bafilo ont cédé le mercredi 26 novembre une portion de terre au lycée moderne de la localité.
La cérémonie s’est déroulée en présence du préfet d’Assoli, M. Nambiema Zakar, du président de la délégation spéciale de la préfecture d’Assoli, M. Zato Tchagafou, du chef de canton, M. Abdou Eratéi, des forces de sécurité, des représentants des collectivités locales et du corps enseignants.
Le préfet Nambiema et le chef de canton Abdou Eratéi ont à l’occasion, apprécié le geste des généreux donateurs qui selon eux témoigne du degré élevé de leur amour pour leur patrie.
Ils ont exhorté les propriétaires terriens à collaborer avec le corps enseignants afin que ces lieux ne soient pas détournés par des individus mal intentionnés. Auparavant, le proviseur dudit Lycée, M. Esso-Tsare Akondo et le président des parents d’élèves, M. Ouro-Tagba avaient remercié et félicité les signataires
La cérémonie s’est déroulée en présence du préfet d’Assoli, M. Nambiema Zakar, du président de la délégation spéciale de la préfecture d’Assoli, M. Zato Tchagafou, du chef de canton, M. Abdou Eratéi, des forces de sécurité, des représentants des collectivités locales et du corps enseignants.
Le préfet Nambiema et le chef de canton Abdou Eratéi ont à l’occasion, apprécié le geste des généreux donateurs qui selon eux témoigne du degré élevé de leur amour pour leur patrie.
Ils ont exhorté les propriétaires terriens à collaborer avec le corps enseignants afin que ces lieux ne soient pas détournés par des individus mal intentionnés. Auparavant, le proviseur dudit Lycée, M. Esso-Tsare Akondo et le président des parents d’élèves, M. Ouro-Tagba avaient remercié et félicité les signataires
LES RESPONSABLES DE L’ONG 2AD EVALUENTL’APPLICATION DE LA METHODE SODIS
Notsé, 2 déc. (ATOP) – Trois responsables de l’ONG « Amitié et Action pour le Développement » (2AD) qu’accompagnait la chargée du Programme SODIS-Suisse, Mme Monika Tobler ont effectué les 24 et 25 novembre des tournées de suivi-évaluation de l’application de la méthode de désinfection de l’eau par les rayons solaires (SODIS) dans les préfectures de Haho et de l’Avé.
Ces tournées les ont conduits dans les villages de Tsavé, Kpové, Djémégni et Gota dans la préfecture de Haho et Badja, Zogbékpimé, Yopé-Héviépé dans l’Avé.
Ces déplacements ont permis à la délégation de se rendre compte de l’application effective par les. populations de la méthode SODIS après trois
mois d’entretien et d’envisager l’avenir de ce projet.
Solar Water Disinfection (SODIS) ou désinfection de l’eau par les rayons solaires, consiste à remplir des bouteilles plastiques non colorées d’eau non trouble et à les exposer au soleil pendant au moins six heures. Les rayons solaires qui y pénètrent tuent à 99,99% les microbes pathogènes rendant ainsi potable l’eau de boisson.
La chargée du Programme SODIS –Suisse, Mme Monika Tobler s’est réjouie de l’intérêt que les populations visitées accordent à cette pratique qui permet d’obtenir de l’eau potable à moindre coût. Elle a insisté sur l’hygiène à observer et sensibilisé ceux qui ont déjà maîtrisé cette méthode à la divulguer.
De son côté, le directeur exécutif de l’ONG 2AD, Bogra Koumana a encouragé tous les promoteurs de Santé à poursuivre la sensibilisation des populations sur la méthode et témoigné sa reconnaissance aux bailleurs de fonds.
La méthode SODIS a été enseignée également les 13 et 20 novembre à deux écoles pilote du premier degré de la préfecture d’Assoli. Le superviseur John Garma et les promoteurs Tassou Saka et Bagna Moustafa ont entretenu les écoliers sur la méthode et les soins à observer pour ne pas de nouveau souiller l’eau qu’on prétend désinfecter. ATOP/AKS/GKJ/MD
Ces tournées les ont conduits dans les villages de Tsavé, Kpové, Djémégni et Gota dans la préfecture de Haho et Badja, Zogbékpimé, Yopé-Héviépé dans l’Avé.
Ces déplacements ont permis à la délégation de se rendre compte de l’application effective par les. populations de la méthode SODIS après trois
mois d’entretien et d’envisager l’avenir de ce projet.
Solar Water Disinfection (SODIS) ou désinfection de l’eau par les rayons solaires, consiste à remplir des bouteilles plastiques non colorées d’eau non trouble et à les exposer au soleil pendant au moins six heures. Les rayons solaires qui y pénètrent tuent à 99,99% les microbes pathogènes rendant ainsi potable l’eau de boisson.
La chargée du Programme SODIS –Suisse, Mme Monika Tobler s’est réjouie de l’intérêt que les populations visitées accordent à cette pratique qui permet d’obtenir de l’eau potable à moindre coût. Elle a insisté sur l’hygiène à observer et sensibilisé ceux qui ont déjà maîtrisé cette méthode à la divulguer.
De son côté, le directeur exécutif de l’ONG 2AD, Bogra Koumana a encouragé tous les promoteurs de Santé à poursuivre la sensibilisation des populations sur la méthode et témoigné sa reconnaissance aux bailleurs de fonds.
La méthode SODIS a été enseignée également les 13 et 20 novembre à deux écoles pilote du premier degré de la préfecture d’Assoli. Le superviseur John Garma et les promoteurs Tassou Saka et Bagna Moustafa ont entretenu les écoliers sur la méthode et les soins à observer pour ne pas de nouveau souiller l’eau qu’on prétend désinfecter. ATOP/AKS/GKJ/MD
DES ACTEURS DE LA READAPTATION DES PERSONNES HANDICAPEES FORMES A NOTSE
Notsé, 2 déc. (ATOP) – Un atelier de formation sur la réadaptation des handicapés s’est tenu du 19 au 21 novembre à Notsé.
A l’initiative l’ONG Handicap International en collaboration avec celle de Belle Porte. Financée par l’Union Européenne, cette rencontre a permis de renforcer les connaissances des acteurs de la réadaptation des personnes handicapées au Togo pour de meilleures prestations.
Une trentaine de délégués, orthoprothésistes, kinésithérapeutes, agents de promotion sociale, agents de réadaptation à base communautaire, et associations des personnes handicapées ont participé aux travaux consacrés à la problématique des droits des personnes handicapées et à la promotion de la qualité des prestations en matière de soins aux personnes handicapées.
Le représentant de Handicap International, Albert Winiga, a souligné l’importance de cet atelier car, il aura permis aux acteurs d’acquérir des connaissances leur permettant d’informer les personnes handicapées de leur droit et des possibilités de leur prise en charge
Le directeur préfectoral de la Santé, Dr Sodji Adolphe a, de son côté, révélé que le handicap constitue un problème de santé. Il a indiqué que cette rencontre a été une occasion de discuter des problèmes qui marginalisent les personnes handicapées et d’étudier les moyens de réadaptation.
ATOP/ATS/NG/CY
A l’initiative l’ONG Handicap International en collaboration avec celle de Belle Porte. Financée par l’Union Européenne, cette rencontre a permis de renforcer les connaissances des acteurs de la réadaptation des personnes handicapées au Togo pour de meilleures prestations.
Une trentaine de délégués, orthoprothésistes, kinésithérapeutes, agents de promotion sociale, agents de réadaptation à base communautaire, et associations des personnes handicapées ont participé aux travaux consacrés à la problématique des droits des personnes handicapées et à la promotion de la qualité des prestations en matière de soins aux personnes handicapées.
Le représentant de Handicap International, Albert Winiga, a souligné l’importance de cet atelier car, il aura permis aux acteurs d’acquérir des connaissances leur permettant d’informer les personnes handicapées de leur droit et des possibilités de leur prise en charge
Le directeur préfectoral de la Santé, Dr Sodji Adolphe a, de son côté, révélé que le handicap constitue un problème de santé. Il a indiqué que cette rencontre a été une occasion de discuter des problèmes qui marginalisent les personnes handicapées et d’étudier les moyens de réadaptation.
ATOP/ATS/NG/CY
L’ONG NAFA A LANCE SON PROJET « MICRO CREDIT AUX PLUS PAUVRES » A TSEVIE
Tsévié, 2 dec. (ATOP)- L’ONG Nouvelle Alliance Fafa-Alafia (NAFA) a lancé le jeudi 27 novembre à Tsévié, son projet pilote dénommé « micro crédit aux plus pauvres ».
Initié en partenariat avec le chef de l’Etat, le projet de micro crédit aux plus pauvres consiste à octroyer des prêts sans garantie avec un taux d’intérêt de 1% aux couches sociales les plus démunies, particulièrement les femmes en vue de promouvoir leurs activités génératrices de revenus. Il a également pour but de venir en aide aux femmes en situation difficile, de lutter contre la pauvreté et de contribuer à améliorer les conditions de vie des populations.
La cérémonie de lancement a été marquée par l’octroi de crédits à des groupements constitués de la commune de Tsévié et de la préfecture du Zio. C’était en présence du secrétaire général de la préfecture du Zio, Djobo Essofa, du président de la délégation spéciale de la commune de Tsévié, Loglo Bruno et de plusieurs personnalités administratives, politiques et traditionnelles.
M. Djobo Essofa a salué l’initiative de l’ONG NAFA qui vient en appui aux efforts du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté. Il a rendu hommage au chef de l’Etat Faure Gnassingbé qui ne ménage aucun effort pour le bien-être de la population et exhorté les bénéficiaires à une gestion saine du fonds qui leur est alloué pour un remboursement en vue de gagner la confiance des promoteurs.
La secrétaire générale de NAFA, Logan Ayawoa s’est réjouie du soutien des autorités locales et a indiqué que par ce projet, son association entend accompagner le gouvernement dans sa politique de lutte contre la pauvreté. Elle a exprimé sa gratitude au président de la République pour son appui financier et demandé aux femmes de la préfecture du Zio de s’organiser en groupements pour bénéficier des crédits de l’ONG NAFA.ATOP/DK/AYH
Initié en partenariat avec le chef de l’Etat, le projet de micro crédit aux plus pauvres consiste à octroyer des prêts sans garantie avec un taux d’intérêt de 1% aux couches sociales les plus démunies, particulièrement les femmes en vue de promouvoir leurs activités génératrices de revenus. Il a également pour but de venir en aide aux femmes en situation difficile, de lutter contre la pauvreté et de contribuer à améliorer les conditions de vie des populations.
La cérémonie de lancement a été marquée par l’octroi de crédits à des groupements constitués de la commune de Tsévié et de la préfecture du Zio. C’était en présence du secrétaire général de la préfecture du Zio, Djobo Essofa, du président de la délégation spéciale de la commune de Tsévié, Loglo Bruno et de plusieurs personnalités administratives, politiques et traditionnelles.
M. Djobo Essofa a salué l’initiative de l’ONG NAFA qui vient en appui aux efforts du gouvernement dans la lutte contre la pauvreté. Il a rendu hommage au chef de l’Etat Faure Gnassingbé qui ne ménage aucun effort pour le bien-être de la population et exhorté les bénéficiaires à une gestion saine du fonds qui leur est alloué pour un remboursement en vue de gagner la confiance des promoteurs.
La secrétaire générale de NAFA, Logan Ayawoa s’est réjouie du soutien des autorités locales et a indiqué que par ce projet, son association entend accompagner le gouvernement dans sa politique de lutte contre la pauvreté. Elle a exprimé sa gratitude au président de la République pour son appui financier et demandé aux femmes de la préfecture du Zio de s’organiser en groupements pour bénéficier des crédits de l’ONG NAFA.ATOP/DK/AYH
vendredi 28 novembre 2008
BREVES
AVE- L’Union des Pasteurs pour l’Intercession des Nation et le Réveil Spirituel (UPINRES) section Togo a prié pour « La restauration des normes immuables de vie au Togo » du 20 au 22 novembre à Kévé. Le président de UPINRES-Togo, l’apôtre Kloussè John a dans son prêche tiré du livre de Néhémie, au chapitre 1, versets 4 à 11, attiré l’attention des fidèles sur le pêché qui les éloigne de Dieu et appelé à la reconversion des cœurs pour avoir sa grâce. Cette séance de prière s’inscrit dans une campagne d’évangélisation à travers le pays que compte entreprendre UPINRES-Togo pour prêcher la réconciliation, la paix, l’amour entre Togolais.
SOTOUBOUA - L’Association des Artisans Professionnels pour l’Appui aux Orphelins et Enfants Déshérites (AAPAOED) basée à Kaniamboua dans la préfecture de Sotouboua a bénéficié de trois machines à coudre à usage multiple, don d’un partenaire français « Amis de Sotouboua » à travers l’ONG Regroupement des Associations pour le Développement Appliqués des Ruraux (RADAR). Ce don permettra aux apprentis démunis de s’initier à l’utilisation de machines sophistiquées en vue d’améliorer leur talent et réussir leur auto emploi à la fin de la formation.
SOTOUBOUA - L’Association des Artisans Professionnels pour l’Appui aux Orphelins et Enfants Déshérites (AAPAOED) basée à Kaniamboua dans la préfecture de Sotouboua a bénéficié de trois machines à coudre à usage multiple, don d’un partenaire français « Amis de Sotouboua » à travers l’ONG Regroupement des Associations pour le Développement Appliqués des Ruraux (RADAR). Ce don permettra aux apprentis démunis de s’initier à l’utilisation de machines sophistiquées en vue d’améliorer leur talent et réussir leur auto emploi à la fin de la formation.
LE DEPUTE KPOHOU A OFFERT DES TABLE-BANCS ET DES CARNETS DE SANTE RESPECTIVEMENT AU LYCEE DE LA VILLE ET AUX CINQ DISPENSAIRES DU CANTON DE TCHEBEBE
Sotouboua, 27 nov. (ATOP) – Le député Kpohou Sim de la circonscription électorale de Sotouboua a offert le lundi 24 novembre quinze table-bancs d’une valeur de 225.000 FCFA et des documents de philosophie, d’Education Civique et Morale (ECM) au lycée de la ville ainsi que des carnets de santé aux cinq unités de soins périphériques du canton de Tchébébé.
Au lycée de Sotuboua, les table-bancs et les documents de philosophie et de l’ECM ont été réceptionnés par le proviseur Ouro-Bodi Atchabawo entouré du corps professoral. Celui-ci a fait remarquer que désormais les élèves pourront s’asseoir à deux au lieu de trois par banc et leur a demandé de remercier le donateur en réussissant massivement à la fin de l’année scolaire.
De son côté, le député a convié les élèves à la discipline, au respect de leurs enseignants, leurs parents et d’entretenir entre eux des rapports cordiaux.
Au dispensaire de Tchébébé, les carnets de santé réceptionnés par le major Tchédou Méwékiwè sont destinés, selon le donateur, aux femmes enceintes qui se présenteront dans l’un des dispensaires du canton pour des consultations prénatales.
La veille, les femmes qui ont accouché dans le canton entre octobre 2007 et octobre 2008 avaient reçu chacune une somme de 3.000 F, une bourse mensuelle de 5000 F a été octroyé aux élèves ayant occupé le premier rang au CEPD dans leur établissement tandis qu’une autre de 10.000F est donnée à ceux du BEPC. Les frais d’inscription des bacheliers ont été pris en charge. Ces gestes viennent ainsi compléter l’exécution des promesses faites lors des campagnes électorales d’octobre 2007.
ATOP/TK/NG/MD
Au lycée de Sotuboua, les table-bancs et les documents de philosophie et de l’ECM ont été réceptionnés par le proviseur Ouro-Bodi Atchabawo entouré du corps professoral. Celui-ci a fait remarquer que désormais les élèves pourront s’asseoir à deux au lieu de trois par banc et leur a demandé de remercier le donateur en réussissant massivement à la fin de l’année scolaire.
De son côté, le député a convié les élèves à la discipline, au respect de leurs enseignants, leurs parents et d’entretenir entre eux des rapports cordiaux.
Au dispensaire de Tchébébé, les carnets de santé réceptionnés par le major Tchédou Méwékiwè sont destinés, selon le donateur, aux femmes enceintes qui se présenteront dans l’un des dispensaires du canton pour des consultations prénatales.
La veille, les femmes qui ont accouché dans le canton entre octobre 2007 et octobre 2008 avaient reçu chacune une somme de 3.000 F, une bourse mensuelle de 5000 F a été octroyé aux élèves ayant occupé le premier rang au CEPD dans leur établissement tandis qu’une autre de 10.000F est donnée à ceux du BEPC. Les frais d’inscription des bacheliers ont été pris en charge. Ces gestes viennent ainsi compléter l’exécution des promesses faites lors des campagnes électorales d’octobre 2007.
ATOP/TK/NG/MD
UN CULTE D’ACTION DE GRACE MARQUE L’EVENEMENT
Amlamé, 27 nov. (ATOP)- Les fidèles de l’Eglise Evangélique Presbytérienne du Togo (EEPT) de Sodo ont célébré le dimanche 16 novembre, en différé, le centenaire de leur paroisse (1902-2008) par un culte d’action de grâce, concélébré par le modérateur, pasteur Agbénoxévi Mawuli Awanyoh et une dizaine de pasteurs togolais et allemands.
Le culte qui a été animé par une vingtaine de chorales a drainé de milliers de fidèles parmi lesquels, le ministre d’Etat, Komlan Mally et d’autres ministres, des députés et une forte délégation de Hanovre en Allemagne. Ceux-ci ont loué par des chants et danses les bienfaits du Tout-puissant qui a conduit d’une main providentielle la paroisse.
Les paroissiens ont également prié pour les dirigeants du pays et pour le peuple togolais, implorant la miséricorde et la grâce divine sur chacun et l’assistance du Saint Esprit en vue de promouvoir la paix, l’amour du prochain et la réconciliation nationale.
Le célébrant s’est inspiré du Psaume 126 pour magnifier le Seigneur Jésus-Christ et exhorté l’assistance à le confesser comme Sauveur.
Le thème de cette célébration « L’Eternel a fait pour nous de grandes choses, nous sommes dans la joie » a été gravé sur le monument des jubilés. Celui-ci renseigne également que cette paroisse à fêter ses 25 ans en 1927, 50 ans en 1953, 75 ans en 1983 et 100 ans le 16 novembre 2008.
Démarrée avec douze fidèles, la paroisse de Sodo en compte aujourd’hui plus de mille avec quatre stations secondaires. ATOP/AKA/MEK/MEK
Le culte qui a été animé par une vingtaine de chorales a drainé de milliers de fidèles parmi lesquels, le ministre d’Etat, Komlan Mally et d’autres ministres, des députés et une forte délégation de Hanovre en Allemagne. Ceux-ci ont loué par des chants et danses les bienfaits du Tout-puissant qui a conduit d’une main providentielle la paroisse.
Les paroissiens ont également prié pour les dirigeants du pays et pour le peuple togolais, implorant la miséricorde et la grâce divine sur chacun et l’assistance du Saint Esprit en vue de promouvoir la paix, l’amour du prochain et la réconciliation nationale.
Le célébrant s’est inspiré du Psaume 126 pour magnifier le Seigneur Jésus-Christ et exhorté l’assistance à le confesser comme Sauveur.
Le thème de cette célébration « L’Eternel a fait pour nous de grandes choses, nous sommes dans la joie » a été gravé sur le monument des jubilés. Celui-ci renseigne également que cette paroisse à fêter ses 25 ans en 1927, 50 ans en 1953, 75 ans en 1983 et 100 ans le 16 novembre 2008.
Démarrée avec douze fidèles, la paroisse de Sodo en compte aujourd’hui plus de mille avec quatre stations secondaires. ATOP/AKA/MEK/MEK
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